Bonjour tout le monde,

Hé bien, le blog n’aura pas fait une trop longue pause. Il faut croire que vous me manquez trop. Surtout que ces derniers jours j’ai rencontré de nouvelles amies ici. C’est grâce à tout ça que la motivation est revenue.

J’ai toujours des soucis dans ma vie privée, mais qui a le bonheur de ne pas en avoir, hein ? Et puis, j’ai eu une bonne nouvelle il y a une semaine, et une autre bonne nouvelle samedi. Donc quelques soucis de moins.

Ma vie n’est toujours pas rose, c’est vrai. Mais j’ai compris que j’étais la seule à pouvoir la repeindre.

Donc tout ça pour vous dire que je suis de retour.

Aujourd’hui, une journée rien que pour moi. Réveillée à 12H57. Sortie du lit à 13H20. Hé oui, mais je le mérite bien.

Du coup, vu l’heure, je me suis fait une espèce de brunch. Et je ne me suis privée de rien. En photo : Un café avec de la stévia, une orange pressée, j’ai ajouté une douzaine de raisins parce le jus faisait un peu pitié (il ne me restait qu’une orange). À cela s’ajoute un yaourt nature 0 % périmé depuis le 7 juillet de cette année(hé non, rassurez-vous, ceci n’est pas une tentative de suicide, j’avais juste envie de vivre dangereusement). Pour le plat : un œuf frit avec un peu d’huile d’olive, sel, poivre + 2 tranches de bacon (ho, la gourmande) + une demi-portion de camembert. Le tout accompagné de pain complet (4 tranches), de laitue et de tomate, avec un filet de sauce Amora (aujourd’hui dimanche, grasse matinée, donc paresseuse jusqu’au bout).

Et là, je surfe un peu sur le net. Je regarde des vidéos marrantes sur youtube, des recettes, des vlogs régime…

Au programme pour cette fin d’après-midi ? Un bon bain, gommage et masque du visage. Premier lavage de mes cheveux depuis que je suis allée chez le coiffeur. Je vais voir à quoi je ressemble avec ma nouvelle coupe sans brushing, et j’en tremble d’avance, lol. Si j’ai le temps, une pose de vernis aussi, ça pourrait être pas mal.

Je vais aussi très certainement passer une commande de bento. Ce sera motivant pour mon rééquilibrage alimentaire. Et faire le planning de ce que j’ai envie de manger cette semaine, pour pouvoir faire quelques courses demain.

Ce soir en tout cas, certainement une bonne soupe (en brique, hé oui, paresse aujourd’hui j’ai dit !), un DVD, et au dodo.

Bon, devant ce programme chargé, je vais devoir y aller. Merci pour vos encouragements, ça fait un bien fou.

Et attention ! Demain est un grand jour ! Je me remets à la marche ! Yoooou – hoooooou ! J’en frissonne déjà de plaisir ! Lol. Il faut dire que la balance de ce matin a annoncé 83 kilos. Ce qui n’est pas si décourageant vu que la dernière fois que je suis montée dessus j’en étais à 84.

PS : Le petit plaisir du jour : dormir jusqu’à midi ! Et même plus tard, dans mon cas.

Bon courage aussi à celles qui vivent dans une région un peu orageuse. Pour vous consoler, sachez qu’il y a plein de trucs sympas à faire quand il fait mauvais dehors. Regarder un bon film ou lire un bon livre si vous avez peur de griller votre télé. Et puis si vous avez un Jules, il y a plein de trucs sympas à faire avec lui par temps orageux… comme jouer à la belote (vous avez compris les raisons de mon célibat ?)

Bisous doux !

Bon. J'ai dit que je ne parlais pas de ma vie privée, mais j'y arriverai pas.

Mon poids ce n'est plus ma priorité.

Du coup si c'est pour enchaîner les "re" et les coups de blues, c'est pas la peine.

Je reviendrai peut-être si ça va mieux. En attendant je ne ferme pas complètement le blog, je veux pouvoir continuer venir visiter les vôtres.

Bises.

Une petite pensée toute particulière à Ollive.

Un petit moment que je ne suis pas venue. Je n’étais pas chez moi. Et si je vous disais que finalement, maintenant que je suis en congé, quelque part, le boulot me manque ?  Jamais contente ? Moi ? C’est vrai. Mais bon, en même temps j’ai vraiment besoin d’être disponible en ce moment, donc ce congé est quand même une bonne chose. Il faut juste que je trouve un moyen de m’occuper l’esprit.

Ma vie privée est désastreuse en ce moment, mais ça pourrait être pire. Il faut que j’arrête de parler de ça ici. Nous ne sommes pas là pour ça, n’est-ce pas ?

Dans un moment, je vais aller me préparer pour aller à la salle de sport. Je ne croule pas sous l’argent, alors pour me motiver je me dis que je n’ai pas les moyens de payer un abonnement dans le vide. En fait j’avoue que j’ai un peu honte d’y retourner. Les coaches me vannent un peu quand je reviens après de si longues absences.

Mais là, j’ai décidé de me forcer. Ici il est 12H20. J’aimerais y être vers 13H00. J’espère qu’il n’y aura pas foule. Et puis je n’ai plus envie de me préoccuper de ce que peuvent penser les autres. Je fais ce que je veux.

Sur ce, je file.

Bises.

Coucou.

Hier soir, je me suis endormie sur le canapé. Pas fraîche du tout ce matin.

Une soirée passée entre filles qui ne m’a au final pas fait tant de bien que ça moralement, j’ai même davantage de complexes.

Je me rends compte encore une fois que je suis très influençable. L’opinion des autres compte trop pour moi, au point de me faire renoncer à la mienne. Je suis faible, dépendante et impuissante. J’ai peur de tout, y compris d’effectuer mes propres choix. Je recherche toujours l’approbation des autres quand je dois en faire. Et je culpabilise toujours ensuite quelque soit le choix.

J’aimerais tellement ne pas essayer d’être comme les autres, ne pas essayer de faire ce que les autres feraient à ma place. Les conseils, c’est bien. Mais si ça n’est pas ce que j’ai envie de faire… À quoi bon ?

Rien fait aujourd’hui. Je me rends compte que je suis en train de payer un abonnement en salle de sport pour rien. Je voulais y aller cet après-midi, mais j’ai dormi. Je me suis réveillée à 17H30. Et là je vais profiter qu’il n’est pas encore trop tard pour faire un peu le ménage. L’évier est plein. Et l’appart a besoin d’un petit coup d’aspirateur. Hors de question de me réveiller encore comme ça demain.

Alors parlons ce pourquoi nous sommes là. Ce matin, je me suis réveillée en milieu de matinée. Je n’avais pas faim, j’ai traîné. Donc rien mangé.

Pour le déjeuner, je me suis préparé un bento.

Dans le compartiment du haut : riz blanc, sauté de champignons de Paris et de tofu (avec gingembre, ail, sauce soja…), du piment confit, une daube de courgette et de chouchou (christophine).

Dans le compartiment du bas : tomates cerises, salade de carottes râpées avec une vinaigrette au sésame du commerce (2 c.c.), des feuilles de menthe, deux ha kao aux crevettes cuits à la vapeur, une banane mignonne (les plus petites), quelques cerises.

Je voulais quelque chose de varié. Entrée, plat, dessert. C’est trop ? Pour avoir une idée des quantités, comparez avec la taille des tomates cerise.

Et là tout de suite ? Ben je n’ai pas vraiment faim, mais j’ai une grosse envie de cerises. Alors je craque. Et sans complexes parce qu’il y a pire pour un craquage. Les cerises font partie de mes fruits préférés avec entre autre, la mangue. Malheureusement, les cerises sont très rares et très chères. Au marché dimanche, le kilo s’élevait à 18 euros !

Ensuite, je ferai le ménage. Et je reviendrai poster la fin de la journée et vous rendre une petite visite sur vos blogs.       

Bonsoir.

Oui, je sais, ça fait un moment.

Je suis toujours là. J’ai tout repris avec les intérêts, mais je ne désespère pas.

Je ne suis toujours pas bien en ce moment.

Le positif, c’est que niveau boulot, je m’en suis sortie. J’ai pu terminer tout ce que j’avais à faire. Bon, j’ai dû faire des concessions mais c’était au profit de mon bien être. J’ai lâché prise et ça m’a fait du bien.  Ça m’a permis de relativiser.

Par contre, niveau vie privée, c’est difficile en ce moment. Je suis en congé, et quelque part, ça ne m’arrange pas. Quand il y a le boulot, même si je me prends la tête, au moins ça m’occupe l’esprit, vous voyez ? Je ne suis jamais contente.

J’ai peur de tout et de rien. J’ai l’impression de ne pas vivre ma vie. Elle est pourtant si courte. Mes problèmes actuels (vous aurez compris que je n’ai pas envie de détailler) font que je ne profite même pas de mon congé. Un sentiment épouvantable de solitude, de dépendance et d’impuissance. Plein de choses à faire. Les amis qui ne répondent présents que pour aller au restaurant, pour aller au cinéma ou pour faire du shopping. Impossibilité de se lancer dans des activités en ce moment de toutes façons.

En tout cas, quelques soient les problèmes, il ne faut pas que cela soit une excuse pour repousser mon rééquilibrage alimentaire. Quand j’étais débordée au boulot, je me suis dit que j’allais attendre que ça aille mieux. Maintenant que ça va mieux de ce côté-là, dois-je attendre que ça aille mieux au niveau privé ? Je crois que ma vie ne sera jamais parfaite et qu’elle sera toujours semée d’embuches. Alors je ne dois pas attendre.

J’ai vu mon médecin récemment. Il a enfoncé le clou en me disant que même le sport ne changerait rien à un affaissement de mon corps dans le cadre d’une perte de poids. Pour lui, il ne faut pas aller plus vite que 250 g par semaine. Je trouve ça décourageant. Je me demande s’il s’y connaît vraiment et s’il n’exagère pas.

Après tout, n’est-ce pas ce même médecin qui m’a orientée vers une esthéticienne quand je lui ai parlé des petits boutons que j’avais sur les jambes après le rasage ? Un médecin qui ne sait pas traiter les petits boutons et qui malgré ses nombreuses années d’études me demande de demander conseil à une esthéticienne plutôt qu'à lui…

N’est-ce pas lui aussi qui m’a dit que la cause de mes irritations au niveau des aisselles était le déodorant que j’utilisais ? Je précise juste que j’utilisais ce déodorant depuis plusieurs années et que mes irritations dataient de quelques mois… Ha oui. Son conseil pour que ça s’arrête ? N’utiliser aucun déodorant et laisser les poils pousser. Utiliser des ciseaux pour les couper quand ils sont trop longs. Je ne mens pas, je vous assure. Vé-ri-dique! Ce sont ses mots.

Et puis il faut avouer que je lui ai parlé de mes problèmes personnels, et que je n'ai pas trouvé le réconfort que je cherchais. Ce n'est pas son rôle après tout.

C’est dur. Je vais essayer d’aller au-delà de tout ça, et essayer une perte de poids malgré tout. Par contre difficile de faire du sport en ce moment. Mais je ferai de mon mieux. J’aimerais laisser mes soucis personnels à la porte lorsque je viens ici, mais c’est plus fort que moi…

Vu ma longue absence, il y a-t-il seulement quelqu’un pour me lire ? Ha oui. Je fais 84 kilos. Quelqu'un peut-il m'expliquer comment utiliser cette satanée réglette ?!

Ca fait longtemps que je ne me suis pas connectée. Je suis débordée, proche du burn out. L'impression qu'il est trop tard et que je ne m'en sortirai jamais.

Je suis à fleur de peau. Stressée. Donc je mange. Je mange, je mange et je grossis. De retour à 82 kilos.

Chez moi c'est une déchetterie. Evier plein, pas une assiette propre et tellement débordée que je n'ai plus le temps de m'en occuper pour le moment.

Et je me sens tellement seule. Tellement inutile. Tellement incompétente. Tellement pathétique. Tellement laide.

Ma famille ne vient pas ce weekend. Je me sens abandonnée. Envie de disparaître pour que toute cette souffrance s'en aille aussi.

Mais c'est juste une envie. Et pas d'inquiétude, je n'y cèderai pas car il y a des gens qui ont besoin de moi et je ne leur ferai jamais ça.

Aujourd’hui, nous sommes lundi. C’est plus facile à supporter.

Je prends les mauvaises décisions en ce moment. Je délaisse ma famille alors que j’ai vraiment envie d’être avec elle. C’est compliqué.

Sinon, j’ai craqué et regrossi. Mais ça ne fait rien. Je m’y remets et c’est tout. Je n’ai pas tout repris.

J’espère que ça va de votre côté. Je vous embrasse.

Salut tout le monde,

Hé bien mal dormi hier soir et toujours dans le coaltar ce matin. Levée, petit-déjeuné, et re dodo.

Bon. Que voulez-vous ? Sentiments d’incapacité, de débordement et de culpabilité toujours aussi présents.

Culpabilité à cause des écarts et du fait que j'ai la flemme de sortir de mon lit et de me mettre un peu à la tâche (impôts, courrier, coups de tél à passer, et autres trucs bien plus importants qui traînent depuis un bon moment et donc de plus en plus urgents...). Il faut que j’apprenne à me réorganiser au fur et à mesure. Il faut que j’apprenne à relativiser aussi. C'est dur aussi. Ici, c'est le début de l'hiver. Il fait frais, alors pour quitter sa couette...

J’ai la capacité de concentration d’un gamin de 3 ans en ce moment.

Je me suis achetée un bouquin sur la méditation en 5 ou 10 min par jour, tout simple. Ca m’aidera peut-être. Et c’est peut-être une raison de plus de me remettre au dessin. Je suis vraiment concentrée quand je m’y mets.

Quand je vous dis que je suis de moins en moins sociable ? Quelqu’un a sonné à la porte il y a vingt minutes. Et comme je n’ai envie de voir personne en ce moment, je ne suis même pas sortie de mon lit pour aller voir qui c’était.

Je sais que ça ne peut pas être ma sœur ou mes parents. Les autres, qu’ils aillent au diable…. Je n'ai envie de voir personne. Surtout pas un voisin, et les amis.... ben j'en n'ai pas. Puis si c'était eux, ils n'ont qu'à prévenir avant de passer. Je suis occupée moi aussi et je ne suis pas là pour combler les trous de leur emploi du temps. Mauvaise moi ? c'est clair !

Sinon, je doute fort d’atteindre mon objectif de 79,2 kg pour samedi. Après pour les écarts, je trouve que je n'ai pas eu de gros craquages comme avant, mais bon. Je crois que j'ai repris depuis samedi (oui j'ai triché, je suis montée sur la balance). Je change d’objectif. Je me donne jusqu’à mercredi prochain pour atteindre 79,5 kg.

L'important, c'est de ne pas se décourager. Bisous à vous toutes !

Coucou,

Je suis toujours là. C’est étrange, depuis lundi matin, je n’ai qu’une envie, c’est de venir vous retrouver sur le site. Et maintenant que je trouve un moment, l’envie est toujours présente, mais je n’ai rien à dire. La page blanche.

C’est peut-être la fatigue. Je ne sais pas si je vais me coucher tôt ce soir, car tant de choses à faire. D'un autre côté, je ferai sans doute mieux et plus vite ces choses après un peu de sommeil, non ? Ha culpabilité, tu es vraiment partout !

Merci en tous cas pour vos mots. Si je n’ai rien à dire ici, j’aurais peut-être plus de choses à dire en vous lisant.

"Demain j'aurai une journée e - xem - plaire ! "

Tu parles !

J'ai enchaîné les bêtises.

C'est dur aujourd'hui. Je me sens débordée, incompétente, coupable de mon manque de motivation et d'organisation (dans mon rééquilibrage alimentaire mais aussi dans la vie en général) et surtout, je me sens seule, mais seule... c'est vraiment difficile.

J'ai vu de la famille hier, mais une fois celle-ci partie, c'est dur. Mais vraiment dur. Là j'ai l'impression d'être au fond du trou.

Je ne peux pas appeler d'amis, parce que je n'ai pas vraiment le temps, et puis parce que je n'en ai pas. Les événements récents de ma vie ont fait que je me sens incomprise des gens que je pensais être des amis.

Oui, je sais que de mon côté, je dois accepter que parfois mes amis ne me comprennent pas, même ma meilleure amie. Ils ne sont pas parfaits. Mais j'ai du mal.

Je n'ai envie que de voir la famille. Mais ce n'est pas simple. Pour les autres, que ce soit les amis (à supposer que j'en aie) ou les collègues, j'ai envie de m'isoler.

La seule chose qui éclaire un peu mes journées c'est quand je monte sur la balance et que je constate une petite perte de poids, aussi minime soit elle.

Mais là avec tout ce que j'ai ingurgité par solitude aujourd'hui...

Et encore, aujourd'hui, les voisins sont discrets. Je n'entends pas leurs éclats de rire ou leur discussion sans gêne pour le bruit occasionné qui me font me sentir encore plus seule...

Même sortir faire des courses devient difficile. La confrontation avec des étrangers sur la route ou dans les supermarchés... parce que pour moi il s'agit de confrontation.

Bon. J'ai de la vaisselle. Je vais préparer mon repas aussi pour demain. Ca me fera une pause. Je mettrai la télé pour avoir un bruit de fond.

Ecrire ici me fait du bien.

Allez, tout ça n'est pas si grave. Il y a des choses bien plus dures à vivre dans la vie. On souffle. On relativise. Tout va bien aller.

Bisous.