coucou comme je traverse une mauvaise passe en ce moment je cherche des explications j ai deja eu une tres bonne aproche hier par pimouss allez voir sur son blog c est vraiement interessant et je viens de trouver ca
Je ne maigris pas parce que...
Mon cerveau résiste! On perd quelques kilos et on est au septième ciel. Pas notre cerveau: il préférait notre ancien poids. Arrive un moment où il en a assez. Il envoie des signaux très forts à notre organisme afin d'abaisser notre métabolisme, d'augmenter notre désir de manger et de diminuer notre motivation à bouger. «Parce qu'il craint la famine, le cerveau défend le poids qu'on avait avant de maigrir, généralement le plus haut qu'on ait atteint», indique le Dr Denis Richard, titulaire de la Chaire de recherche sur l'obésité Merck Frosst/Instituts de recherche en santé du Canada. On a de plus en plus de difficulté à résister à la tentation. On succombe parfois... ou souvent. On mange davantage, sans s'en rendre compte parfois. On cesse alors de maigrir ou on reprend quelques kilos.
La solution? Ce facteur est difficile à combattre. En sachant que ça risque de nous arriver et qu'il s'agit souvent d'une étape normale de la perte de poids, on peut porter une attention particulière à tout ce qui favorise notre motivation.
Je ne maigris pas parce que...
Je suis stressée!«J'ai amélioré plusieurs aspects de mon alimentation, témoigne Francine dans un forum du site. Pourtant, j'ai pris 10 livres. Je crois que je suis trop stressée et, surtout, je me sens jugée parce que je ne performe pas.» Elle touche là un bon point, car, si le stress peut couper l'appétit de certaines personnes, il a l'effet contraire chez d'autres. «Le stress peut entraîner une suralimentation compensatoire qui se traduit par l'ingestion d'aliments réconfortants», explique le Dr Richard. Francine reconnaît qu'elle se «venge par la bouffe» lorsqu'elle est déçue de ses performances ou qu'elle entend des commentaires désobligeants.
Le manque de sommeil est un autre facteur aggravant. «Les petits dormeurs font davantage d'embonpoint que ceux qui dorment beaucoup», constate Angelo Tremblay, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l'activité physique, la nutrition et le bilan énergétique. Le chercheur a également découvert que le travail mental creuse l'appétit. Des étudiants à qui il a demandé de synthétiser un document ont mangé davantage après cette tâche que ceux qui n'avaient pas effectué l'exercice. Un constat décourageant pour celles dont l'emploi repose sur leurs capacités intellectuelles!
Nos trois solutions
Adopter des stratégies anti-stress
S'efforcer de préserver nos heures de sommeil.
Prévoir le coup si une période de stress intense s'annonce: faire le plein de bonnes collations et penser à l'avance à d'autres moyens que la nourriture pour évacuer les tensions
bonne matinee a toutes bises