... C'est ce que je tente de faire depuis cette semaine.... + précisément, depuis jeudi, donc ça fait 3 jours, LOL ! MAIS c l'intention qui compte, non ?!
Cette semaine ct encore difficile à ts les niveaux : décès de mon gd-père, retirage des fils lundi soir (bien passé  globalement, seul 1 point résistait sur les 3) et STRESS énorme au taf , chose que j'avais pas sem dernière (encore heureux, j'aurais pas tenu). Pression qui va continuer à partir de lundi, gros dossier qui est tombé qui met tt le monde ds les starting blocks, sur les chapeaux de roue, sur des charbons ardents... ! ça promet ! je suis ps encore assez solide pr faire face à tt ça ! et le pire est que le big boss sera de retour lundi et ça, ça craint car g "foiré" un autre gros dossier, même si gt ps la seule sur ce coup-là MAIS seule interlocutrice avec le client dc c MOI qui prends ttes les mauvaises remarques ..... encore heureux que g mes 2 voire même 3 collègues qui ont bossé avec moi sur ce travail et dc ils pourront corroborer ma version, OUF..... Mais ne serait-ce que devoir m'expliquer face au patron, ça me terrorise  ! ESPERONS qu'il me demandera RIEN, croisons les doigts....... il sera ptet tellement obnubilé par le gros doss qui ns tombe dessus qu'il y pensera + mais bon.........
Bref.
Je parlais de reprise en main ..... ça a commencé par l'achat ENFIN d'un vélo d'appart mercredi soir ! Depuis le tps que j'en voulais un !
Et depuis j'essaie de prendre RDV chez un psychiatre...  ! Et j'y arrive PAS ! mercredi et vendredi matin il bosse ps. et on peut l'apeller que jusqu'à 17h.... sachant que je finis à 18h, c balot ! et pareil le matin : on commence ts les 2 à 9h... fo donc que je m'isole pr lui téléphoner mais g tjrs peur de me faire choper par mes collègues. vous imaginez la honte s'il entend : "Bonjour, vs prenez de nouveaux patients... ?"... Pffff, la poisse. Le pire est que je voulais tjrs 1 femme mais le psy qui est juste à côté du taf est un homme. le psy de mon père à 1 époque pr tt vs dire. Il pourra de ce fait ptet mieux comprendre mon fonctionnement en connaissant celui de mon géniteur ..... mais de tte façon faut voir s'il me convient. Si ce n'est ps le K, exit et on passe à la suivante.

Today mon homme était en déplacement et c bien la 1ère fois que je craque ps . Bien que là ça fé depuis 1h30 que g envie ! Le pire est que même en ayant fé du vélo 20 min, g tjrs autant envie de me remplir de bouffe. Pourtant g tenu today tte la jrnée et sans frustrations en + ! je sais ps prki là je vascille. la relâche de pression de la semaine ? car je sens wque je suis tjrs tendue. et c bien pr ça que je souhaite reprendre 1 thérapie.... car je vois bien qu'y a encore qq ch de profondément ancré en moi qui me pourris la vie et que g ps percé à jour. pourtant g déjà ps mal avancé, surtt en ayant lévé 1 voile très lourd en août. MAIS force est d'admettre que c ps TOUT. Et Dieu Sait pourtant que ça suffirait ! je pensais que j'en avais fini avec mes pb mais NON......... ya encore qq ch qui m'empêche de me lâcher. de lâcher prise, le contrôle. je me tends, surtt au taf. comme pr éviter constamment qu'une cata me tombe dessus. comme pr tenir 1 rôle coûte que coûte. et là c ps pr rien qu'on retrouve le mot "tenir"........ comme si ej retenais tjrs mon souffle...... en vue de tomber....... comme si gt tjrs au bord d'un précipice..... j'ignore d'où ça me vient. je suppose mes parents, surtt mon père avec qui g tjrs cette même impression de devoir tjrs être pliée au millimètre carré. comme si gt en représentation. sans doute que ça ma vient ausi parce que g tjrs du me plier à leurs désirs sans oser/pouvoir m'exprimer, MOI. comme si avec eux g effectivement du me donner en représentation, sans jamais pouvoir être moi. de là g du développer un complexe ou je ne sais koi... comme si je sentais que c ps MOI totalement. de là un sentiment de malfaçon constante. de jouer un rôle de jeune première alors que JE LE SUIS PAS. OU parce que g tjrs du tenir ce rôle-là et que g jamais réussi. car jamais eud e réel retour de mes parents à ce sujet ! ils ont tjrs voulu 1 fille parfaite. Or, g l'impression de devoir tjrs faire tout ça pr le devenir ! et jamais de reconnaissance. je trouve ça donc injuste. cruel. ça m'horripile même car je me casse la binette et c jamais assez bien.

g peur de devenir MOI. car à ce niveau, g ps de limite. comment en aurais-je puisque je ne me connais ps ! bouffer pr me remplir : pr m'empêcher d'être moi ? pr boucher ce trou ? pr ensevelir ce qui gronde en moi et dont g peur puisque inconnu ?!
Peur car aucun repère. aucune délimitation. g peur aussi de m'ouvrir à moi, de laisser échapper "ça" et de ps savoir comment dompter "ça". je sais ps ce qui a derrière ce masque de la perfection. forcément, qqch de ps joli joli. de perfectible. qqch qui n'est ps sous contrôle et donc ps contrôlé. et en général ce qui n'est ps contrôlé, est n'importe quoi ! comment pouvoir laisser échapper ça ?! moi qui crains tt et tt le monde ? qui m'angoisse pr un rien ?! qui me fé pas assez confiance.......... m'estime ps assez puisque ps de la part des parents.
comment peut-on faire sortir sa propre personnalité ? quand tte sa vie on a joué un rôle ? qu'on était ps vrai ?! comment savoir ce qu'on est vraiment ? QUI on est vraiment ?
Bref, je dois donc ME donner 1 légitimité.
«On peut parler de crise existentielle. Certaines circonstances, en particulier le décès de proches, provoquent ces crises, au sens positif du mot. Crises qui entraînent une réflexion susceptible d’être facteur de changement, à condition que ce ne soit pas une angoisse paralysante qui nous laisse de façon prolongée dans un état de perplexité. X semble tourner en rond dans ses réflexions depuis peut-être trop de temps. Un travail psychothérapeutique pourrait l’aider à tirer des conclusions et à avancer au plus près de ce qu’il désire, et cela sans se mettre trop en danger. »

En cause : une défaillance de la connaissance de soi. Vous hésitez, tâtonnez, demandez des conseils, revenez sur vos décisions et paroles. Non pas parce que vous avez du mal à soutenir votre désir profond, mais parce que vous le méconnaissez. Du coup, l’accord avec vous-même résulte souvent du hasard et de circonstances extérieures. Vous vous sentez en paix parce que l’ambiance est bonne, qu’il fait beau, que l’on vient de vous accorder une promotion ou un compliment… Mais lorsqu’il s’agit de vous engager pour initier un projet, prendre position ou donner une orientation à votre vie, vous vous sentez comme le fétu de paille ballotté par les flots. Votre peur de prendre la mauvaise direction, de gâcher une opportunité ou de perdre du temps provient en grande partie de l’ignorance de qui vous êtes vraiment. Et donc de ce que qui vous ferait vraiment du bien et vous comblerait en profondeur. Résultat : nombre de vos positions sont prises au petit bonheur la chance et non en accord avec votre être profond, ce qui vous donne l’impression de ne pas vivre vraiment votre vie.

Ce rapport flottant au désir trouve ses causes dans votre passé le plus lointain. Comme une mère froide émotionnellement...
 
Pour avancer : essayez de repérer et de lister les moments de la vie où vous vous sentez intérieurement bien, puis tentez de trouver une ou  plusieurs constantes (le silence, les échanges amicaux, la nature…). Ainsi se dessinera une carte d’identité intérieure qui vous permettra de poser, dans votre quotidien, des mots et des actes en accord avec vos besoins personnels, et donc votre être profond. Vous pouvez également essayer de vous sevrer petit à petit des avis des autres, au moins momentanément.