— C'est que tu passeras les trois premières nuits après ma mort à veiller sur ma tombe. »
La commission ne souriait guère au pauvre homme; mais, dans le besoin où il était, il aurait consenti à tout. Il promit donc, et emporta le blé chez lui.
Il semblait que le fermier eût prévu l'avenir; car trois jours après, il mourut subitement, et personne ne le regretta. Quand il fut enterré, le pauvre homme se souvint de sa promesse; il aurait bien voulu s'en dispenser, mais il se dit : « Cet homme a été généreux envers moi, il a nourri mes enfants de son pain; d'ailleurs j'ai donné ma parole et je dois la tenir. » A la chute du jour, il alla dans le cimetière et s'établit sur la tombe. Tout était tranquille, la lune éclairait les tombeaux, et de temps à. autre un hibou s'envolait en poussant des cris funèbres. Au lever du soleil, il rentra chez lui sans avoir couru aucun danger, et la seconde nuit se passa de même.
Le soir du troisième jour, il sentit une secrète appréhension, comme s'il allait se passer quelque chose de plus. En entrant dans le cimetière, il aperçut, le long du mur, un homme d'une quarantaine d'années, au visage balafré et aux yeux vifs et perçants, enveloppé dans un vieux manteau sous lequel on voyait passer seulement de grandes bottes de cavalier. « Que cherchez-vous ici? lui cria le paysan ; n'avez-vous pas peur dans ce cimetière?
— Je ne cherche rien, répondit l'autre; mais de quoi aurais-je peur? Je suis un pauvre soldat congédié, et je vais passer la nuit ici, parce que je n'ai pas d'autre gîte.
— Eh bien ! dit le paysan, puisque vous n'avez pas peur, venez m'aider à garder cette tombe.
— Volontiers, répondit le soldat; monter la garde, c'est mon métier. Restons ensemble, nous partagerons le bien comme le mal qui se présentera. »
Ils s'assirent tous deux sur le tombeau.
Tout resta tranquille jusqu'à minuit. A ce moment, on entendit dans l'air un coup de sifflet aigu, et les deux gardiens virent devant eux l e diable en personne. « Hors d'ici, canailles, leur cria-t-il; ce mort m'appartient, je vais le prendre, et, si vous ne décampez au plus vite, je vous tords le cou.
A SUIVRE ......
BON WEEK END ET GROS BISOUSSSSSSS
BONNE FETES DE PAQUES A TOUS !
moi impeque....pas trop de choco non non.....un ti peu .....seulement!
je te fais de gros bisous A demain Susy
tu sais elle dit vrai notre amie mamiwata , moi qui suis en afrique , je sais que c'est comme ça que ça se passe ..... ils ont leur coutumes ......
gros bisous ma puce à demain
je te souhaite un bonjour pascal mon amie, j'espère que ton week end aura été bon je passerai te voir lundi en attendant je t'envoie mille et un bisous à bientot
bien sur que c'est vrai , puisque mon homme y était.
En fait ,il parait d'après les villageois qu'il ne faut pas les déranger le lundi et le vendredi car ce sont les génies du fleuve
comme mamiwata.
et la c'était lundi et en plus le bull est tombé en panne drôle de coïncidence. En tout cas il faut s'adapter à ces coutumes sous peine d'avoir de très mauvaises surprises.
Tu connais l'Afrique ?
Bon je retourne à mes caisses .Gros bisous