"gros soupirs"

Ce week-end, vendredi pour être précis, un frêre à mon beau-père est décédé. J'aimerais pouvoir dire que ca me touche mais en fait pas du tout. J'aimerais pouvoir vous dire que la tristesse de mon beau pere et de ma femme me touche, mais pas plus en réalité. Je ne sais pas si c'est que je n'ai pas de coeur ou quoi, mais sur certaine chose, dans la vie, je me suis blindé. Je comprend très bien la peine qu'ils peuvent avoir mais je m'en fiche quand même.

Il faut vous dire que comme chacun sans doute, j'ai soupé des enterrements. Celui qui a commencé se bal macabre, c'est mon père, il y a 15ans. Nous sommes 3 garçons élevés dans la plus pure tradition de l'homme des cavernes. Nous n'avons pas beaucoup pleuré et fait face a cet évenement de manière "digne". Nous avons tenu et pas verser une larme pour son enterrements. Trop fort les 3 frangins. Pfffffffffffffff. En fait pour ma part j'ai pleurer, ho non pas en repésentation publique car le cro magnon ne pleure que seul dans sa caverne. Lors de l'obtention de mon bac tout d'abord, puis de mon mariage, puis le jour de la naissance de mon fils. E t je dois dire que le mois de sa mort est un mios morrose pour moi.

Alors bon, 72 ans pour mourir c'est quand même 22 de plus que mon père, alors ils n'ont pas à se plaindre non....Et tout ces gens qui veulent savoir le pourquoi du comment. Ils ne savent pas encore que c'est au hasard.J'ai fait mon deuil, je fais mon deuil,

et demain je continuerai a penser à lui.

Bien sur ce texte est aigri, mais mon envie de vivre est là pour chacun des gens que j'aime, ad vitam eternam.

Je coucherais sa mort dans mon livre car je l'aime.

Bisous à vous, la vie est belle !