Coucou!

Bon, avec un jour de retard je poste ma définition de la pensée positive, par rapport au défi positif de Cécile. J'avais écris l'article hier sous Word et puis j'ai complètement oublié de le poster... Je suis vraiment étourdie!

La pensée positive est un mode de vie que j’ai toujours appliqué sans m’en rendre compte et sans savoir ce que c’était jusqu’à ce que je rencontre Cécile et Poupette à la première journée positive à Paris. Pour moi, il y a une « explication globale » de ce que c’est mais chacun en fait sa propre interprétation et sa propre définition.

Pour moi penser positif c’est agir, c’est l’opposé du fatalisme. Quelqu’un qui pense positif, est une personne qui est maitre de sa vie, de ses pensées, de ses actions. C’est une personne qui ne se laisse pas abattre, qui cherche toujours des solutions aux problèmes et qui est en évolution constante. Penser positif c’est croire en soi et en ses rêve et tout faire pour les réaliser. Cela requiert des qualités comme l’ouverture aux autres, l’adaptation ou encore la détermination.

J’ai toujours été quelqu’un de profondément optimiste mais j’ai grandi dans une famille fataliste et pleine de préjugés. Ma mère fait un boulot qu’elle déteste et elle me l’a fait payer durant toute mon enfance à se passer les nerfs sur moi lorsqu’elle rentrait du boulot. Je vous rassure je n’étais pas battue, juste persécutée et insultée parce que la maison n’était jamais assez propre et le repas assez bon, en même temps lorsqu’on à 8-12 ans c’est difficile de faire un repas gastronomique qui doit juste être cuit lorsque maman rentrait du boulot. Avec le recul je sais qu’elle ne m’en voulait pas personnellement, mais j’étais une proie tellement facile pour déverser son flot de haine et de rancœur envers son métier et la vie qu’elle menait. Bref je m’égare… Tout ça pour dire que j’ai vu ce qu’une vie subie et non vécue pouvait engendrer comme dégâts.

D’un côté je remercie ma mère de m’en avoir fait baver durant mon enfance et mon adolescence car c’est qui m’a donné la rage de vouloir être maitre de ma vie et de ne pas m’arrêter à la moindre des contrariétés. Plus ma mère était de mauvaise humeur, plus je me rendais compte à quel point j’étais chanceuse d’avoir la vie que j’ai : de faire les études que je veux, de sortir avec mes amies, d’avoir pleins de projets et surtout de croire et d’être intimement convaincue que j’aurai un avenir nettement meilleur que le sien et généralement de toutes les personnes fataliste, qui passent leur vies à la subir et non à la vivre.

C’est ainsi que j’ai commence à appliquer ma définition de la pensée positive sans vraiment m’en rendre compte. Puis l’année dernière, j’ai assisté à la journée positive de Paris et Cécile a mis des mots sur ce que je ressentais depuis toujours, elle a en quelque sorte « catalysé » ma façon de vivre. Donner une définition claire de la pensée positive m’a permis de décupler cette énergie que j’avais à vouloir améliorer ma vie pour la vivre comme je le veux. Cécile a vraiment été un catalyseur au sens « chimique » du terme : elle ne m’a rien fait de particulier, juste sa présence et ses explications m’ont permis de trouver toute seule ma définition de la pensée positive.

Ce qui est génial avec ce mode de pensée, c’est que l’on découvre que l’on peut évoluer chaque jour en mieux et qu’il n’y a jamais de fin. On peut avoir toujours plus de bien-être ! Nous n’avons aucune limite, justes celles que notre esprit nous impose.

Sinon, trèves de plaisanteries et parlons sport! J'ai été nager ce matin de 7h à 8h. J'ai fait 1122m (bah oui, j'ai une piscine de 33 mètre de longueur alors les comptes sont un peu bizarres...) Ca me fait un bien fou!

J'ai été à pied à Saint Michel faire mes courses pour la rentrée, mine de rien j'ai marché assez rapidement pendant une heure et demie!

	calories brulées par sport - vos résultats

(photo: j'ai demandé un frère, et voilà ce que j'ai!)