La braderie, c'est ce week-end le dernier pays où l'on chine. Pour traditionnel qu'il soit, ce rendez-vous de printemps attire toujours autant de curieux, acheteurs frénétiques à la recherche de la bonne affaire, as de la récup ou flâneurs nostalgiques. Pour l'ouverture, vendredi, l'affluence a été au rendez-vous. « On a explosé dès le premier jour, confie Bernard, vice-président de la communauté, on était à 5, 5 tonnes de vêtements et 1.500 paires de chaussures. Généralement, sur les deux braderies annuelles, celle de septembre est toujours meilleure que celle de mars. Mais par rapport à mars de l'an passé, on est par exemple déjà à plus 50% pour les vêtements à la pièce. »
"On achète plus de vêtements d'occasion" Sous les arènes, c'est donc l'affluence. Livres, bibelots, vaisselle, jouets, meubles, matériel informatique et chaussures se partagent l'espace. Cette année, l'un des deux nouveaux halls du parc des expos, tout proche, accueille le Salon des loisirs créatifs. Une concurrence? « Pas du tout, au contraire, corrige Bernard, on est complémentaires! » A la sortie de la braderie, Aline, une Poitevine qui découvre l'événement, est ravie: « J'ai trouvé de la porcelaine blanche, pas mal de choses, un petit vase, trois bols, c'est super! Le tout pour 4 euros. »
Plus loin, on se presse toujours autant autour des étals de vêtements, dans l'espace layette ou près des vêtements à la pièce. Certains ressortent avec de grandes poches plastiques gonflées. « Les gens ont moins de scrupules qu'avant à acheter des vêtements d'occasion, remarque Bernard, c'est une tendance que l'on a aussi constatée sur nos autres lieux de vente. La layette et les livres sont des secteurs qui marchent très forts. Car ces produits, en neuf, sont très chers. » Aujourd'hui encore, on devrait pouvoir faire de bonnes affaires à la braderie. Les tarifs sont dégressifs. Braderie Emmaüs, de 10h à 19h, au parc des expositions. Restauration sur place.
Quatre hommes sont en garde à vue depuis ce vendredi soir au commissariat d'Angoulême. Ils sont soupçonnés d'escroqueries aux grandes surfaces. Avec des cartes de crédit des magasins, ils s'étaient constitué une véritable caverne d'Ali Baba. Ils devraient être présentés au parquet ce samedi après-midi.
Tout est parti d'un soupçon, vendredi, du service financier d'une grande surface de l'agglomération angoumoisine. Un jeune homme de 23 ans tentait de se faire ouvrir un compte avec de fausses pièces d'identité, de faux bulletins de salaire et de faux certificats de travail.
Ennuyeux, d'autant plus que le garçon est très connu des policiers qui l'ont vite démasqué. En perquisition chez lui, à Chadurie, les enquêteurs ont découvert un véritable entrepôt d'électroménager,de matériel informatique et électronique...Ils ont aussi trouvé sur place un homme de 37 ans, sous curatelle, qui a prétendu aux policiers qu'il était séquestré et que son identité avait été utilisée pour des livraisons de matériel. Les policiers ont aussi identifié un complice du premier escroc, un homme âgé de 48 ans, qui avait lui aussi sous sa coupe un autre homme placé sous curatelle...
Dell GK479 ,
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Batterie Latitude D430 ,
Les deux escrocs présumés ont été placés en garde à vue. les deux hommes sous curatelle entendus. Et leurs auditions les ont fait paraître semble-t-il un peu moins victimes qu'ils ne le présentaient. Ils ont alors été placés en garde à vue.
Une opération d’envergure a mobilisé 70 policiers issus de la zone de Police Boraine mais aussi des zones de Mons-Quévy, Haute-Senne et Leuze-Beloeil. Ces perquisitions ont conduit à l’arrestation de quatre suspects soupçonnés d’être les auteurs de nombreux vols dans des habitations ainsi que des vols de carburant dans plusieurs arrondissements judiciaires. Suite à une multitude de faits perpétrés depuis de nombreux mois, à Saint-Ghislain par exemple, plusieurs actions de prévention et de dissuasion avaient été réalisées notamment des contrôles routiers et une présence renforcée dans les quartiers visés. Les différentes zones de Police s’étaient également appliquées à mutualiser les données récoltées sur leurs territoires.
L’aboutissement de ce travail de longue haleine s’est soldé, ce mercredi 26 mars, par une opération donnant lieu à huit perquisitions simultanées aux lieux d’habitations et caches des différents suspects. De l’outillage, du matériel informatique, des Gsm, des bijoux et différentes pièces à conviction ont été retrouvés chez ces suspects. Quatre personnes à qui plusieurs dizaines de faits peuvent être attribués ont été arrêtées. En aveux, les quatre individus ont été présentés au juge d’instruction Alain Blondiaux qui les a incarcérés.
La vague de cambriolages se poursuit contre des entreprises des environs de Delémont. Après la commune de Courroux (JU) la veille, c’était au tour de la zone industrielle de Develier de faire les frais des malfrats au cours de la nuit de vendredi à samedi.
Faisant probablement partie d’une seule et même bande, ils ont «visité» quatre entreprises, emportant surtout du matériel informatique et un peu de numéraire, indique la police cantonale jurassienne samedi dans un communiqué. Les dommages aux bâtiments sont peu importants.
La police n’a pas pu identifier les auteurs de ces cambriolages. Elle se garde aussi pour l’heure d’établir un lien avec les sept effractions commises la nuit de jeudi à vendredi à quelques kilomètres de là, dans la zone industrielle de Courroux. La bande de voleurs avait causé des dommages à la propriété assez importants par rapport à la valeur du butin. (ATS)
Il fut un temps où l'homme utilisait les outils avec un manche pour le travail de la terre ou pour se chauffer.
Couper le bois, le fendre et le stocker à l'abri pour le séchage : passe-partout, hache, coins… sont devenus tronçonneuses, tracteurs et… combi bois. Les CUMA, qui utilisent du matériel en commun comme l'indique le sigle, ont toujours su évoluer et s'adapter aux nouveaux matériels pour maintenir leur activité agricole.
La CUMA du Villefranchois détient un outil impressionnant par sa technicité et son travail accompli.
De passage dans la vallée du Lot, la machine s'est déployée non loin du tas de billes de chêne de toutes dimensions, et pas des petites. Elle se lance, actionnée par le cardan du tracteur qui propulse l'huile dans les vérins, le piston et la tronçonneuse. Alliant mécanique, hydraulique et informatique, un tracteur avec sa fourche dépose les troncs sur le plateau, l'ogre les avale, les découpe à la longueur demandée et le puissant piston de plusieurs tonnes les expulse par la grille qui les fend en plusieurs morceaux tombant sur le tapis pour chuter dans la benne. Suivant le bois, environ 7 m3 éclaté à l'heure. C'est une machine de fabrication française de la région de Vendée. Conçue il y a deux ans, elle a déjà avalé et recraché des centaines de mètres cubes de bois pour chauffer les maisons.
Une prouesse technique qui fait ses preuves et qui évite à certains le travail colossal de faire le bois «à la main».
Afin de présenter ses formations, ses locaux et ses équipements, la cité scolaire Alcide-Dusolier a ouvert ses portes au public, samedi dernier. Cette journée a battu un record d'affluence cette année avec environ 430 visiteurs, soit une centaine en plus par rapport à 2013. L'établissement a été perçu comme agréable et dynamique avec un accueil très apprécié, ainsi que la qualité des différentes visites, des explications et des présentations.
Les activités extrascolaires ont été évoquées (ateliers théâtre, scientifique, animalerie, danse, échecs, sport scolaire, etc.). Atelier média langues En assurant l'organisation, la signalétique, une partie de l'accueil et la réalisation des enquêtes, les enseignants et les élèves de la section d'enseignement professionnel ont contribué à la réussite de l'opération.
Parmi les nouveautés, l'atelier média langues, qui a été inauguré en mars, a attiré l'attention. La restructuration de cet espace langues avec deux salles, dont la capacité moyenne de chaque classe est de 24 élèves, a permis de créer un espace modulable pour une classe entière ou bien deux groupes différents.
La réforme de l'enseignement des langues au lycée rend ce type d'aménagement indispensable pour la pratique orale vivante des langues et leur compréhension. Pour s'approprier cet espace de travail, la réflexion a commencé en septembre 2012, avec la visite de l'atelier média langues de Ribérac, pour une formation in situ. Le Conseil régional a financé le projet à hauteur de 25 000 euros pour le mobilier et le matériel informatique et le Conseil général pour 4 869 euros en ce qui concerne la cloison, les aménagements électriques et informatiques. Les agents techniques du Département ont assuré toute la transformation des salles (peinture et réalisation des installations électriques et informatiques).
Initialement, Google Now ne se limitait qu’à l’écosystème Android. En mars dernier il s’intégrait à l’univers iOS. Deux mois plus tard, Amit Singhal, responsable de Google Search, avait annoncé que la recherche vocale serait désormais disponible sur ordinateur de bureau via Chrome et le système d'exploitation Chrome. C’est désormais officiel : Google Now rejoint le monde des ordinateurs en s’intégrant à la dernière version stable de Chrome pour Windows et OS X.
Le déploiement a été amorcé le 24 mars dernier. Se présentant sous la forme d’un menu déroulant à activer directement dans la barre de menu de Chrome, les notifications Google Now ne seront bien sûr accessibles qu’à ceux qui ont déjà un compte Google. Comme à l’accoutumée, il s’agit d’un déploiement progressif qui devrait s’étendre sur plusieurs semaines selon Google. Donc si vous ne voyez pas cette option, ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle ne soit disponible.
Pour activer cette fonctionnalité, vous devez simplement vous connecter à Chrome à l’aide de votre compte Google. La désactivation du service s’effectue dans le menu des paramètres (via le centre de notifications sous OS X ; en cliquant sur l’icône représentant une cloche sous Windows). Au cas où vous utilisez Google Now sur plusieurs dispositifs, vous devrez savoir que la géolocalisation prise en compte n’est pas celle de l’ordinateur, mais du téléphone, d’où la nécessité de s’identifier avec le même compte sur les deux machines.
Les cartes ne seront disponibles sur votre ordinateur que si vous utilisez déjà cet outil sur mobile. Google Now se base sur les recherches internet, l’heure du jour, les habitudes de déplacement ou encore la position actuelle de l’utilisateur pour lui délivrer, selon le contexte, de « courts extraits d’informations utiles ». Ainsi des éléments tels que les résultats sportifs, les rappels d’événements, la météo, le suivi de colis ou même l’état de réservation d’un billet de train ou d’avion s’afficheront sous la forme de cartes, sur la droite de l’écran dans Google Chrome.
Depuis un peu moins d’une dizaine d’années, certains électeurs, très minoritaires, votent à l’aide d’une machine à voter. Ou plutôt d’un ordinateur à voter. Cela s’appelle "vote électronique". Le sujet n’est pas nouveau mais reste d’actualité avec les élections municipales et les élections européennes.
Acquis chèrement par des municipalités qui se veulent "modernes" (de l’ordre de 5 000 euros HT), ces appareils permettent aux citoyens de voter au moyen de petites touches, comme sur un clavier d’ordinateur, sans passer par l’urne et des bulletins matérialisés par des feuilles de papier.
Généralement, la bonne foi des élus dans cette modernisation n’est pas à mettre en doute et il n’y a pas de couleur politique spécifique puisque cela concerne aussi bien des municipalités de "droite" que de "gauche" (ou de "sans étiquette"). Le Ministère de l’Intérieur édicte depuis 2003 une réglementation assez précise sur les appareils acceptables et les agréments de sécurité nécessaires à leur mise en service.
Mes propos ne sont pas impartiaux (je suis contre le principe du vote électronique, autant annoncer la couleur tout de suite) mais je vais quand même tenter d’en faire une présentation objective et la plus factuelle possible. C’est d’ailleurs le factuel qui m’amènera à conclure de la sorte.
Batterie Studio 1745 ,
Batterie Latitude E5510 ,
Batterie Latitude E6400 ,
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Quels sont les avantages du vote électronique ?
1. La rapidité. Surtout celle du dépouillement que de l’opération de vote elle-même, car les premières expériences en 2007 ont été assez chaotiques, les gens ayant du mal à lire l’écran, à comprendre ce qu’il fallait faire, etc., si bien qu’il y a eu des queues malgré la faible participation. Cela dit, c’est une question d’habitude qui est réglée avec l’expérience.
2. La fiabilité. L’informatique ne peut pas se tromper. Au contraire d’un dépouillement humain jamais à l’abri d’une défaillance (je parle ici dans un cas de bonne foi, je ne parle pas des fraudes éventuelles, mais simplement d’erreur humaine dans les manipulations).
3. Quant aux fraudes, il est plus dur de frauder comme on pourrait le faire avec les bulletins papier. Plus de chaussettes de secours, plus de réserves de voix matérielles.
4. C’est un bon moyen de réduire l’abstention. Pour l’instant, ces machines ne sont que dans les bureaux de vote, mais on pourrait imaginer l’extension du vote électronique sur Internet (comme c’est déjà le cas dans certains scrutins, notamment ceux des Français de l’étranger, ou les élections professionnelles). Pouvoir mobiliser les électeurs sur leur smartphone pourrait renforcer la participation électorale, grâce à cette prime à la paresse, même ceux qui partiraient pêcher pourraient voter. Évidemment, cela nécessiterait d’avoir accès à Internet ou à un téléphone mobile. De plus, cela ne garantirait plus un vote libre, puisqu’il n’y aurait plus d’isoloir et un risque de pression dans l’environnement social de l’électeur.
5. Réduction des frais de matériel électoral. Pas de bulletin papier à imprimer. Cela signifie une plus grande ouverture de l’élection puisque ces frais sont à la charge des candidats et ne sont remboursés qu’à partir d’un certain seuil de nombre de voix. La suppression de ces frais permet à des personnes pauvres et n’appartenant à aucun parti de se présenter. Les candidatures sont donc plus ouvertes.
6. Conséquence écologique positive : l’absence d’impression des bulletins améliore évidemment l’environnement, élimine la pollution provoquée par la fabrication du papier, réduit la destruction des forêts etc.
7. Réduction des besoins humains. Dans certaines communes, il est parfois difficile de trouver des bonnes volontés pour devenir des assesseurs, faire voter, dépouiller, etc. Le vote électronique réduit le besoin en ressources humaines.
8. La prime à l’innovation. Il y a pour une frange de personnes l’idée que le progrès doit se faire avec les nouvelles technologies. Ce sont elles qui achètent les nouveautés sur le marché. Le vote électronique concourent à ce renouveau technologique, même si la modernité n’est pas a priori un argument en elle-même.
9. À partir du moment où il est possible de faire voter tous les citoyens avec peu d’organisation (par smartphone ou ordinateur), il serait matériellement possible de multiplier les référendums, d’initiative locale mais aussi nationale. Certes, c’est très réglementé (par la Constitution) mais rien n’empêcherait les instituts de sondage de sonder de cette manière la population, ce qui aurait une valeur nettement plus sérieuse (et solide) que leurs enquêtes d’opinions avec des sous-échantillons souvent peu représentatifs.