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matin magique partage
publié le 05/10/2015 à 09:10 |
«Aimer ne peut être que joie et bonheur, sinon ce n'est pas de l'amour.»
– Jean Gastaldi
La plupart d’entre nous aiment prendre soin des autres; nous sommes prêts à faire bien des pirouettes pour leur faire du bien. Et cela ne requiert pas un gros effort… Si on s’oublie parfois un peu, on n’a jamais vraiment l’impression de se sacrifier, car c’est fait dans la joie et de façon équilibrée.
Cela dit, vous avez certainement remarqué une autre tendance semblable, mais très différente que plusieurs parmi nous avons : celle de non seulement se donner généreusement aux autres, mais de se faire violence pour ces derniers – donc de se rapetisser pour eux, de nier nos besoins et nos désirs pour que leur confort ne soit pas menacé.
Est-ce votre cas? Si oui, voici le piège dans lequel vous êtes peut-être tombé : celui de croire qu’agir ainsi est une manifestation d’amour et de générosité.
Évidemment, s’oublier pour les autres donne l’impression de leur faire un beau cadeau; leur air satisfait semble en être la preuve irréfutable. Or, quelles que soient les apparences, ce n’est pas de l’amour qu’on donne ainsi… il n’y a aucune tendresse là-dedans. En fait, je dirais même qu’il s’agit d’une forme de violence – envers soi-même, bien sûr, mais envers l’autre également.
Si je commençais à sacrifier un animal en votre honneur, vous ne diriez pas «merci», mais «arrête!», n’est-ce pas? Même si mon intention était bonne, et même si selon une tradition ancestrale cet acte pouvait vous procurer une énergie spéciale, vous me demanderiez d’arrêter immédiatement… La souffrance de l’animal vous enlèverait beaucoup plus que ce que son sacrifice pourrait vous donner. Je me trompe? Bien sûr, ce serait la même chose si c’était un humain que je maltraitais… La douleur de le voir souffrir sera toujours plus grande que ce que vous pourriez retirer de sa souffrance.
Vos proches ne sont pas différents de vous. Évidemment, certains d’entre eux semblent peut-être aimer le fait que vous vous sacrifiez pour eux. Mais quoi que vous en pensiez, et quoi qu’ils en pensent, leur être profond dit toujours «arrête!» quand vous vous faites du mal ainsi. Oui, «arrête!» Car lorsque vous vous blessez, vous les blessez également, d’une certaine façon. Ils n’en ont peut-être pas conscience, mais toute l’énergie qu’ils reçoivent en vous laissant abuser de vous-même n’est pas de l’énergie, mais du poison.
Ainsi, chaque fois qu’on laisse une personne nous dominer, on nourrit sa partie dure et dominante – une partie d’elle dont elle est en réalité autant victime que nous le sommes – et on l’amène à se faire mal à travers nous. Est-ce vraiment un cadeau à lui faire? En fait, la véritable question est plutôt : est-ce un cadeau à se faire? Car au bout du compte, on pourrait dire que ça se résume à cette règle très simple : ce ne sera jamais un cadeau pour l’autre si ça ne l’est pas également pour nous.
Sur ce, je vous souhaite une superbe journée… :-)
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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Je t'embrasse bien tendrement