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les journées ok mais le soir cata
publié le 02/04/2008 à 21:05 |
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
- Méthode Savoir Maigrir |
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En fait ça dix ans que je suis avec le même que celui qui était mon amour de jeunesse (j'avais 15 ans à notre rencontre) et en fait il ne me donne pas l'affection comme j'aimerai la recevoir. Il n'est pas démonstratif, alors que moi j'ai besoin de calins, de bisous, de simples mots ou regards.. un exemple, en 10 ans trouves-tu normal qu'on soit sortis rien que tous les deux 4 fois au restaurant?
Et puis dans mon enfance , c'était pareil, jamais une marque d'affection de mes parents. Montrer ses sentiments, c'était tabou. J'ai toujours voulu faire comme mon père, faire genre rien ne me touche, je pleure jamais, je suis forte... pourtant je sais que nos parents nous aiment , mais ils ne l'ont jamais montré. ou plutot mal montré: en nous offrant tout ce qu'on aimait mangé. Des cochonneries à volonté dans la journée, jamais de repas structurés en famille, jamais de dessert ou de fruits au gouter, toujours ces barres de chocolat déclinables sous toutes les formes..
voilà en fait d'ou vient mon problème, enfin je crois. C'est la première fois que j'en parle. Je vous saoule sans doute, mais je crois que ça fait du bien de parler, de lire les réponses... par contre je n'arrive pas à franchir le cap du psy. C'est encore cette fierté que j'ai en moi de me dire que j'en n'ai pas besoin, que c'est la honte... trop nulle je sais ma façon de penser...
bon hopla j'en ai assez dit ce soir je voudrais pas vous démoraliser. merci encore les filles
Il ne faut pas croire le stéréotype selon lequel, la boulimie c'est se goinfrer puis se faire vomir, pas du tout. C'est tout simplement un comportement anormal par rapport à la nourriture. Et toi en l'occurence c'est par rapport au chocolat, mais ca n'a pas l'air d'être de la simple gourmandise, puisque tu en manges jusqu'à ce que tu te sentes mal ! Ce n'est plus vraiment un plaisir, dans ce cas, non ?! Je ne pourrais que te conseiller soit d'en parler à ton médecin, soit d'en parler à un psy, soit à un nutritionniste (qui travaille sur la nourriture et sur le comportement psychologique). A toi de voir...
Je ne sais pas quoi te dire de mieu pour l'instant...
Si tu as besoin de parler n'hésite pas...
Bon courage et tiens moi au courant...
Bisous.