des difficultés a s’extraire, des longues traces rayent le blanc manteau

Pendant seulement quelques instant, illico recouvertes.

Sa respiration se transforme de plus en plus en un souffle féroce et s’échappe comme en rafales violentes de tramontane, sa poitrine se soulève avec un rythme toujours plus précipité et endiablés au risque d’exploser.

S’arrêta net, foudroyé par la fatigue, la respiration cassé, assit sur la neige,

Les jambes ensevelies jusqu’au genoux, détruit et achevé.

Soudainement, d’abord au loin, un murmure s’approche et devienne rapidement un bruit lourd, violent, pesant et puissant.

Les loups !!!!!!!!…………………une meute immense, que arrive de partout, affamés, féroce, sans pitié, avec un seul et unique but, dévorer.

 Les fauves, s’arrêtent en ordre dispersés, l’odorat taquinés par le désir

De la future proie, prêts a goûter le prochain festin.

L’homme au rapprocher de la chaude haleine des fauves excitées , dans un

Dernier sursaut, se lève, la peur de la mort au fond de la gorge, et un cris

Que est plus un rugissement,, un cris de guerre, un hurlement d’attaque,

Plutôt que une lamentation de peur

On entendit le cris parcourir les monts , les pleines, et les vallées et revenir en écho, se multipliant par mille explosions successive et comme

Une chape de plomb, il couvrit le bruit de la meute, qui dans un ensemble

Se recouvrit des frissons de peur, la queue entre les pattes en signe de soumission.

Une grande louve, sans doute chef de la meute, glissa ventre a terre

Vers lui et religieusement lui lécha les mains

L’homme se coucha sur la neige, regardant le ciel que dans les premières secondes du crépuscule déchirent les nuages chargés de neige, et s’illumine de mille feu d’artifice, et avec un geste lent mais puissant serre fort et avec douceur la louve que couchée su lui, transmet sa chaleur.

La lune, fit un saut dehors d’un nuage et une pale clarté illumine la pleine.

Loin, une hombre sort d’une cabane  visible difficilement,, des jeunes loups et vieilles  louves fatiguées, lui font cohorte, l’ombre s’approche lentement,

Un homme, moitié yeti, moitié robinson crosué, ou plutôt homme des cavernes, a l’allure féline.

La louve regarde s’approcher le sauvage avec des yeux plein de douceur et

D’amour, plus rien de sauvage dans son regard, d’ou s’échappe un nuage féminin,  plus femme que fauve.

voilà la premiere page d'un roman ecrite a 17 ans

je n'ai pas trové des photos de loup alors je le remplace