En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres.

Blog de toinou972

aide blog

  • Grève finie.......... on négocie toujours néanmoins
    publié le 18/03/2009 à 23:32

     

     

    Commission Eau : des baisses actées

    C.E. France-Antilles Martinique 18.03.2009

    Les rabais consentis ne sont pas spectaculaires, mais tout le monde en profitera.

    Après plusieurs réunions longues et difficiles, un accord a été trouvé lundi soir, concernant la baisse du prix de l'eau à usage domestique.

     
    La production et la distribution de l'eau relève d'un certain nombres d'acteurs, aux imbrications complexes : les élus, via les syndicats intercommunaux et les délégataires (SME et SAUR/SMDS), principalement. La Cacem, de son côté, fonctionne en régie, grâce à Odissy. Bref, les discussions furent très compliquées pendant plusieurs semaines, selon Myriam Joly, qui s'occupe du dossier pour le Collectif du 5 février.
    Un aboutissement partiel a été trouvé lundi, après une longue réunion qui s'est tenue en plénière à la préfecture jusqu'à 1h30 du matin.
    Le Collectif du 5 février souhaitait la gratuité de 40 m3 d'eau potable par an, pour les plus démunis. Finalement, ils n'ont obtenu « que » 25 m3, pour cette même population.
    Ensuite, pour la population générale, la baisse sera fonction du prix payé, dans la limite de 100m3 par an : - 3% pour ceux qui paient entre 1 euro et 1,50 euro le m3, - 5% de 1,50 euro à 2 euros, - 7% de 2 à 3 euros et - 10% pour ceux qui paient plus de 3 euros. Le Collectif avait demandé, au départ, une baisse globale de 8%.
    Trois syndicats ont signé : le SICSM (Sud), le SCNA (Nord-Atlantique) et le SCCCNO (Nord-Caraïbe). Odissy émet un droit de réserve et doit demander à la Cacem son approbation vendredi. Mais il est certain, d'avance, que « Odissy n'a pas les moyens de faire face à une telle baisse » , explique Yvon Pacquit, son président. « Des solutions externes devront être trouvées. »
    Rappelons aussi, mais ces résultats ont été actés depuis deux semaines, qu'un observatoire du prix de l'eau doit être mis en place d'ici fin 2009, et qu'une enquête va être diligentée par l'Etat.

    ******************************

    Des moyens pour s'en sortir

    A.B. France-Antilles Martinique 18.03.2009

    A l'issue de cette rencontre, les chefs d'entreprises ont quitté les lieux avec un sentiment de dépit

    Experts-comptables, commissaires aux comptes, administrateurs judiciaires et responsables des services de l'Etat ont organisé avec la Chambre de commerce une table ronde à l'hôtel Batelière. Objet de cette rencontre avec les chefs d'entreprises : présenter les outils à leur disposition pour faire face à l'après-grève. Une initiative jugée insuffisante.

     
    Un embouteillage monstre. Un parking pris d'assaut. Une salle de conférence immense mais trop petite. Voilà de quoi mesurer l'inquiétude des chefs d'entreprises martiniquais qui ont répondu massivement à l'invitation des experts-comptables, commissaires aux comptes, administrateurs judiciaires, Chambre de commerce et autres responsables des services de l'Etat. Ceux-ci organisaient en effet une table ronde ce lundi à l'hôtel Batelière. La promesse ? La présentation des outils qui doivent aider les chefs d'entreprises à se remettre de la crise. Une idée opportune mais dont l'application s'est révélée plutôt tumultueuse.
    « Vous n'avez pas idée du tsunami qui se prépare! » lance un chef d'entreprise excédé, en direction de la tribune. Dans la salle, une évidence s'impose très rapidement : entre les deux parties, le dialogue passe difficilement. C'est la confrontation de deux mondes.
    D'un côté, l'angoisse des chefs d'entreprises et autres libéraux qui réclament la mise en place de mesures exceptionnelles globales. L'idée d'un moratoire de six mois sur les charges fiscales a même été avancée par maître Danielle Marceline, ancien bâtonnier. Une proposition qui - malgré l'appui de l'assistance - n'a pas reçu l'aval de la tribune. Elle s'est heurtée à la logique administrative.
     
    Extrême-onction
    « Ce n'est pas la solution! A la fin de moratoires très longs on aboutit à des liquidations judiciaires » a tranché Daniel Casabianca, le directeur des services fiscaux. Celui-ci a préféré faire valoir les vertus d'un traitement « au cas par cas » . Un message qu'il a eu beaucoup de mal à faire entendre.
    Dans l'ensemble, les intervenants ont dressé l'inventaire des dispositifs en place, existant déjà dans la plupart des cas avant la grève : processus de médiation de crédit, fonds de garantie oseo, mandat ad hoc, redressement judiciaire... De quoi agacer un autre patron, qui accusera même la présidente du Tribunal de commerce de « servir l'hostie à quelqu'un sur le point de mourir » .
    A l'issue de cette présentation, les chefs d'entreprises ont donc quitté les lieux avec un sentiment de dépit.
    Leurs inquiétudes se faisaient toujours entendre à la sortie. Et ce, même s'ils ont obtenu l'engagement de Daniel Casabianca de repousser au 15 juin la date de remise des déclarations de résultat. Une mesure jugée « largement insuffisante » .
     
     
    MARC BALATA CHEF D'ENTREPRISE (PUBLICITE COMMUNICATION)
    « Je pense que nous avons eu droit à une « parole politique » , pour essayer de calmer les gens. Ils n'ont rien compris aux problèmes des entreprises qui vont se retrouver sur le carreau dans un mois ou deux. Sans compter les salariés qui seront licenciés. On a un vrai problème économique mais qui est beaucoup plus gros que ce que l'on a pu entendre aujourd'hui. Aujourd'hui il faut avoir une réflexion beaucoup plus large et avoir conscience des entreprises qui étaient déjà affaiblies avant la grève. Ce que nous avons vécu pendant ces 35 jours, ce n'est rien comparé à ce qui nous attend. Vous verrez! » .
     
    DANIEL CASABIANCA DIRECTEUR DES SERVICES FISCAUX
    « Je pense que pour aider les entreprises il ne suffit pas simplement de dire : « Allez! On offre des délais à tout le monde, des moratoires à perte vue... » Ce n'est pas la solution. J'ai rencontré cela dans d'autres directions : cela a donné de mauvais résultats.... »
     
    JOSE MARRAUD DES GROTTES RESPONSABLE DE L'INSTITUT FRANCAIS DES EXPERTS-COMPTABLES (IFEC)
    « Après le conflit social que la Martinique a connu, il y aura un grand séisme économique. La présence de tant de chefs d'entreprises dans la salle montre qu'il y a une attente énorme de leur part. Ils attendent une réponse et celle-ci doit être à la mesure de leurs interrogations. La Martinique a été bloquée pendant 35 jours. Je l'ai dit aux représentants de l'Etat : la liberté du travail n'a pas été assurée, il ne faut pas que le gouvernement nous propose un Efferalgan pour soigner un arrêt cardiaque massif! L'Etat doit mesurer les conséquences de ce qu'il a laissé faire dans ce conflit » .
     
    ANDRE ARMOUGON 2EME VICE-PRESIDENT DE LA CCI
    « Les entreprises sont dans un état très dégradé. Et les chefs d'entreprises sont très très préoccupés de la manière de gérer cette phase de transition vers un retour à la normale. Notre rôle à la CCIM consistera donc à accompagner les chefs d'entreprises. Mais aussi à sensibiliser les services de l'Etat » .
     
    *****************************

    INTERVIEW

    Alfred Marie-Jeanne Député - Président du Conseil régional : « La méthode adoptée n'était pas adaptée »

    Propos recueillis par Gabriel Gallion France-Antilles Martinique 18.03.2009

    Le président du Conseil régional regrette de n'avoir pas été entendu ou compris du Collectif et justifie ainsi son départ de la table des négociations. La crise internationale, complètement ignorée des débats, et surtout la petitesse ou la fragilité de la plupart des entreprises martiniquaises exigeaient un déblocage plus rapide de l'activité économique. Ceci dit, il entend bien respecter ses engagements concernant les bas salaires et la lutte contre la vie chère. Sans toucher aux impôts, a-t-il promis.

     
    Après un mois de grève générale, vous semblez regretter votre implication dans les négociations ?
    Mon implication allait de soi. J'ai engagé ces négociations en ma qualité de président du Conseil régional, mais aussi en tant que militant et syndicaliste. Cependant, après m'être fortement impliqué au début, j'ai choisi de quitter la table de négociations. A cela plusieurs raisons. Les revendications portées par le Collectif soulevaient des questions de vie quotidienne, auxquelles il pouvait être apporté des solutions immédiates. Dans le même temps, les questions de monopole, de formation de prix, d'emploi, d'inégalité sociale, d'identité supposaient des solutions qui ne pouvaient être dictées sans réflexion approfondie.
    Cela d'autant plus que la crise, d'abord engagée sur des revendications économiques et syndicales, a très rapidement révélé une société ayant soif d'égalité, de reconnaissance. Avec pour corollaire, une plate forme de revendications qui s'adaptait aux doléances du Peuple en mouvement.
    Il s'agissait donc d'une « grève de société » , devant mettre en scène l'ensemble des acteurs martiniquais, dans une logique de concertation, et non pas dans une logique d'affrontement, opposant syndicats et patronat. D'autre part, les sujets de fond évoqués, très complexes, devaient s'approcher de manière croisée. La méthode adoptée n'était pas adaptée. S'agissant de la précarité par exemple, au coeur de la revendication sociale, il me semble indispensable de réfléchir ensemble à un vrai plan de lutte contre la pauvreté, pour apporter une solution structurelle à cette question qui gangrène trop la société martiniquaise.
    De même, il y a eu une grande absente au débat : la crise internationale. Nous avons feint de croire que nous vivons isolés dans un système étanche. Le tourbillon qui touche les plus grands pays et les plus grandes entreprises ne nous épargne pas. Pour toutes ces raisons, je me suis souvent senti étriqué dans mon costume de négociateur.
    Le Conseil Régional s'est engagé sur le front des salaires du privé. Est-ce la vocation de la Collectivité de participer à des augmentations de salaires du secteur privé ?
    Je vous l'ai dit, certaines revendications devaient s'approcher de manière croisée. On peut en effet difficilement détacher la question des salaires de la problématique de l'emploi.
    Cette question de hausse des salaires du privé ne relève pas, en soi, de la compétence régionale. Mais il faut rappeler qu'en Martinique, 92% des entreprises sont de très petites entreprises. Et elles embauchent à elles seules près de la moitié des salariés martiniquais. Beaucoup de ces entreprises, qui sont fortement pourvoyeuses d'emplois, sont dans une situation financière délicate.
    Je veux parler de l'agriculture, du tourisme par exemple. C'est ainsi que la Région a décidé de mettre en moyenne entre 20 et 55 euros pour constituer les 200 euros de salaires, justement dans ces petites entreprises.
    L'accompagnement de la Collectivité Régionale se situe donc dans un double objectif social et économique : assurer un mieux être à une grande partie de la population, et garantir le maintien des emplois.
    Cette initiative politique, qui peut paraître insolite, devrait permettre de consolider le tissu économique et le tissu productif. Mais je le concède, elle n'a de sens que si les employeurs jouent le jeu en maintenant les emplois existants, et que si les Martiniquais privilégient, dans leur logique de consommation, la production martiniquaise.
    Comment allez-vous financer les 17 millions d'euros que vous avez engagés dans l'accord sur les salaires ?
    Les engagements pris par la Collectivité ne se résument pas à la seule augmentation des salaires privés. Sur les autres points évoqués lors des négociations, j'ai d'ores et déjà arrêté le principe d'aider les petits agriculteurs, les transporteurs de matériaux, d'augmenter les actions pouvant permettre de réduire la consommation d'énergie, de financer les formations dans le domaine de l'éducation..., sans compter la baisse substantielle induite par la réduction du taux d'octroi de mer sur les produits de première nécessité.
    Dans ce contexte général de baisse des prix, et fidèle à ma philosophie, je n'envisage pas une augmentation des impôts. Il faudra donc très sérieusement penser à une refonte du budget.
    Je convoquerai dans les prochains jours une Assemblée plénière pour valider l'ensemble de ces points et pour trouver les pistes de financement.
    Sur le dossier de la baisse des prix, vous avez décidé une baisse de l'octroi de mer de 4%. Aviez-vous mesuré au préalable l'impact global que l'accord signé avec 400 articles aurait sur le volume global de l'octroi de mer ?
    Je tiens à vous rappeler que la Martinique, la Guadeloupe et la Guyane fonctionnent au sein d'un marché unique, au sens européen du terme. La baisse décidée par le Conseil Régional de la Guadeloupe s'impose de facto à la Martinique. Si l'on veut éviter un détournement de trafic au profit de la Guadeloupe, les taux d'octroi de mer doivent être, autant que faire se peut, harmonisés.
    Là où cela se complique, c'est que la baisse de certains produits envisagée en Guadeloupe risque de démanteler beaucoup de productions martiniquaises, jusque là protégées par des taux fixés volontairement à des niveaux élevés. C'est une logique que j'ai toujours privilégiée.
    La négociation ne fait donc que commencer avec nos collègues de la Guadeloupe pour préserver nos intérêts. J'ai d'ores et déjà saisi le Président Lurel sur ce point. Il est en effet primordial de trouver tous les moyens permettant de conforter la production martiniquaise. L'évaluation de l'impact ne peut se faire que dans un second temps.
    Vous avez connu une fin de première semaine plutôt difficile avec le Collectif. N'aviez-vous pas sous-estimé le mouvement social ?
    Ce mouvement social a très rapidement mis en affrontement ceux qui ont trop et ceux qui n'ont rien, sur fond de terrain racial.
    Il a également opposé ceux qui exercent et ceux qui n'exercent pas. Ceux qui produisent et ceux qui ne produisent pas.
    Mais j'ai toujours soutenu qu'il y avait une attitude différenciée à adopter envers les chefs d'entreprises martiniquais. Derrière le mot « patronat » se cachent en effet des réalités disparates, qu'il faut prendre en considération si l'on ne veut pas menacer les plus petits.
    D'ailleurs, le Collectif a vu venir ...puis repartir des petits patrons, convaincus de la justesse des revendications, mais refusant d'être embrassés dans une logique, qui trop globale, leur semblait suicidaire Une fois de plus, je redis que la méthode ne consistait pas, de manière classique, à opposer les uns aux autres. Mais à se mettre ensemble pour croiser les problématiques.
    La fonction de médiation que j'ai privilégiée dès le début a consisté à rapprocher les parties, plutôt qu'à fustiger l'une ou l'autre, chacune constituant une composante ethnique, économique, sociale, indissociable du Tout que doit constituer la Martinique. Ce discours n'a pas toujours été entendu.
    Dans la rue, beaucoup ont fait passer l'idée que vous avez cherché à « casser le balan » du Collectif ?
    Très tôt, intégrant la complexité du mouvement, j'avais demandé que la négociation se phase en trois temps : la signature d'un préaccord sur les questions pouvant trouver une solution immédiate dans un premier temps, le travail en commission pour permettre l'échange et le partage mutuels des réflexions sur des problèmes de société dans un deuxième temps, et le relais législatif par les parlementaires sur des questions relevant de la compétence gouvernementale dans un troisième temps.
    En effet, sur des sujets comme la culture, le logement, la santé, le foncier et bien d'autres encore, il nous appartenait en tant que Martiniquais de réfléchir ensemble pour tenter de trouver des solutions relevant de nos compétences ou de les faire, par voie législative ou toute autre voie, remonter à l'Etat.
    Sur les questions immédiates de baisse des prix et de hausse des salaires, la pression, nécessaire dans tout conflit pour faire avancer les points de revendication, devait se maintenir. Sur les acteurs concernés. Mais pas sur la population. Au risque de la démobiliser ou de la démotiver. C'est en ce sens que j'avais demandé de « desserrer l'étau du carburant » , pour éviter les déboires sanitaires et sociaux que l'on sait. Je n'ai pas été suivi sur la méthode. Je le regrette d'autant plus que c'est cette méthode qui a été appliquée par la suite.
    Il y aura des Etats Généraux dans quelques semaines. Quelle est la place maintenant du congrès des élus dans le calendrier qui se dessine pour les prochains mois ?
    Et si ces Etats Généraux étaient prévus pour casser le balan de l'évolution institutionnelle arrêtée lors du Congrès du 18 décembre 2008 ? Depuis une dizaine d'années, les Martiniquais ont passé du temps à réfléchir à une transformation plus qualitative, sociale, économique, politique de la société martiniquaise. Cette méthode a permis d'identifier les problématiques évoquées par le Collectif, pour beaucoup déjà formulées dans le cadre du Schéma martiniquais de développement économique et de l'Agenda 21. Je saisirai, avec le Président Lise, le Président de la République pour le lui rappeler. Nous lui rappellerons que l'on ne peut négliger dans ces débats le rôle du Martiniquais, après une crise sociale révélant un tel malaise identitaire.
    Il est impératif, dans ces conditions, que, dans la définition de la méthode comme du contenu, les Martiniquais soient aux commandes.
    Par ailleurs, il est clair que les questions soulevées par la crise montrent de manière évidente qu'il y a un besoin d'adaptation des politiques de logement, de l'éducation, de la santé, de la culture.... C'est pourquoi nous suggérerons que la réflexion s'inscrive dans le cadre du processus de l'évolution institutionnelle initié par les collectivités régionale et départementale. Ces questions pourront être aisément portées au débat du congrès des élus.
    - « Il faudra très sérieusement penser à une refonte du budget. »
    - « Derrière le mot « patronat » se cachent des réalités disparates »

    **********************************

     

    (0) commentaires


L’accès et l’utilisation du forum sont réservés aux membres d'Aujourdhui.com.
Vous pouvez vous inscrire gratuitement en cliquant ici.

Si vous êtes déjà membre, connectez-vous ici :

votre pseudo : 
votre mot de passe :  
(envoyé par email) 

Si vous avez oublié votre mot de passe, cliquant ici.



ARCHIVES

  • Sélectionner un mois et une année :  
         



Aujourdhui.com en 1 clic !
Service Client
"Jean-Michel Berille, le responsable
des télé-conseillers."
ils ont réussi leur régime et cela les rend heureux
- Méthode Savoir Maigrir


ACCUEIL
  • Accueil

COACHING
  • Menus régime
  • Liste de courses
  • Suivi des mensurations
  • Réglette de régime
  • Exercices physiques
  • Compteur de calories
  • Calcul poids idéal
  • Calcul IMC
  • Courbe de poids
  • Calcul IMG
  • Grossesse mois par mois
PREMIUM
  • Régime Savoir Maigrir
  • Méthode Montignac
  • Méthode MentalSlim
  • Méthode Slim Data
  • Méthodes Naturelles
  • Méthode Chrono-Géno-Nutrition
  • Coaching Grossesse

FORUM PREMIUM
  • Forum Savoir Maigrir
  • Forum Montignac
  • Forum MentalSlim
  • Forum SLIM data
COMMUNAUTÉ
  • Groupes
  • Blogs
  • Rencontres
  • Bons plans
  • Témoignages
  • Quiz

FORUM
  • Forum minceur
  • Forum cuisine
  • Forum grossesse
  • Forum maman bébé
  • Forum psycho
  • Forum forme santé
  • Forum beauté
  • Forum communauté

RUBRIQUES

  • Minceur
  • Nutrition
  • Cuisine
  • Psycho & tests
  • Forme & santé
  • Grossesse
  • Maman & bébé
  • Beauté

DOSSIERS
  • Dossiers minceur
  • Dossiers nutrition
  • Dossiers psycho
  • Dossiers forme & santé
  • Dossiers grossesse
  • Dossiers maman bébé
  • Dossiers beauté
GUIDES
  • Produits minceur
  • Régime minceur
  • Appareils minceur
  • Thèmes de cuisine
  • Prénoms
  • Maternités
  • Tests grossesse
  • Professionnels psy

PLUS
  • Jeux
  • Infos
  • Astro
  • Shopping

Publicité

  • accueil
  • plan du site
  • envoyer à une amie
  • témoignages
  • presse
  • contact
  • aide
  • conditions d'utilisation
  • recrutement

© 2011 copyright et éditeur AUJOURDHUI.COM / powered by AUJOURDHUI.COM
Reproduction totale ou partielle interdite sans accord préalable.
Aujourdhui.com collecte et traite les données personnelles dans le respect de la loi Informatique et Libertés (Déclaration CNIL No 1787863).