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Blog de toinou972

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  • L'après-grève
    publié le 18/03/2009 à 02:10

     

    L'après-grève......

    Beaucoup de questions...........

    Des conséquences importantes, voire graves....... Cf. l'article ci-après sur le Centre Hospitalier.

    Le Professeur SMADJA, éminent neurologue au Centre Hospitalier, m'a suivie et guérie de ma polyradiculonévrite contractée en 1998.

    LA VIE EST BELLE MAINTENANT !!!

     

     

    Qui va contrôler ?

    A. K. France-Antilles Martinique 17.03.2009

    La baisse des prix le 14 avril : un délai bien court, selon Michel Branchi, retraité de la DGCCRF, pour mettre en place une structure de contrôle, quel que soit son nom.

    Michel Branchi, un économiste spécialiste de ces problèmes de prix et de concurrence, fait part de son scepticisme sur la mise en place d'une structure dédiée avant le 14 avril.

     
    Historique! On ne cesse de rappeler que la baisse sur 400 familles de produits est inédite.
    Mais encore faudrait-il que cette baisse fixée à 20% puisse être réellement appliquée à partir du 14 avril. Car pour l'instant, il y a un vide juridique. Ce constat est fait par Michel Branchi, retraité de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes). Durant de nombreuses années, il a été chef du service enquête dans cet unique organisme chargé de veiller sur les prix. Si cet économiste se montre « fier des acquis réalisés par le Collectif » , il s'interroge cependant sur le délai nécessaire pour l'application de la baisse : le 14 avril prochain, conformément à l'accord signé samedi dernier. Pour cause, le contrôle des prix a disparu depuis le milieu des années 1980. Deux organismes auraient pu effectuer ce travail. Il s'agit de l'Observatoire régional des prix et la DGCCRF. Le premier n'est pas opérationnel. Il vient d'être créé, n'a pas de présence sur le terrain et ne dispose pas de logistiques humaines ou techniques. Le second organisme a tourné le dos au contrôle. La preuve, selon Michel Branchi la DGCCRF « ne dispose même plus d'études concernant les prix en Martinique ou des données comparatives entre les différents DOM » . A cela s'ajoute la baisse de ses effectifs qui serait passée de 42 à 31 personnes en 10 ans.
    Et pour combler le vide en matière de contrôle, l'idée de décret préfectoral avait été émise par des membres du Collectif. Un autre avis suggérait que cette responsabilité soit confiée à la Région.
    « Une brigade pour contrôler et sanctionner »
    La seule issue pour sortir de cette impasse, est le vote de la nouvelle loi sur le développement économique dans l'Outre mer. La semaine dernière lors du passage au Sénat de cette loi, un amendement sur la création d'un organisme de contrôle des prix a été voté. Il faut également le vote de l'Assemblée nationale, puis les décrets d'application. En somme le délai s'avérerait court pour que le contrôle des prix puisse entrer en vigueur à compter du 14 avril. Qu'est-ce qui pourrait se passer s'il y a toujours vide juridique au-delà de ce délai ? Ce scénario n'est pas envisageable, car il serait source de conflits entre les commerçants et les consommateurs. « Nul ne peut contraindre le commerçant à baisser ses prix » , commente Michel Branchi. Il rappelle que le secrétaire d'Etat à l'Outremer, Yves Jégo a suggéré le 12 février dernier, la création d'une « brigade pour contrôler et sanctionner « les dérives sur les prix. Qui siégera au sein de cet organisme et quels seront ses véritables moyens ? « L'idéal c'est d'avoir un organisme indépendant avec des agents assermentés pour faire un bon travail d'investigation sur les prix et le monopole » , suggère Michel Branchi.
    Justement, au sujet du monopole sur l'internet, le béton ou les pièces détachées, Nicolas Sarkozy a fait la promesse de lancer une vaste enquête dans l'Outre-mer. Ce travail est confié à l'autorité de la concurrence. Et l'Etat promet de suivre les conclusions qui lui seront soumises.

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    CHU : près de 5 millions d'euros de perte pendant la grève

    L. V. France-Antilles Martinique 17.03.2009

    Selon Bernard Cavignaux, directeur général adjoint du CHU, « à aucun moment, les patients n'ont été en danger. On n'a jamais manqué de produits vitaux. »
    Les 38 jours de grève générale que nous venons de vivre auraient entraîné une perte financière de près de 5 millions d'euros pour le CHU de Fort-de-France.
    C'est en tout cas ce que déclare Frantz Ventura, directeur général du CHU de Fort-de-France, dans une interview accordée à l'agence de presse APM International spécialisée dans l'information médicale.
    Jointe sur ce point, la direction générale de l'établissement apporte quelques précisions. C'est Bernard Cavignaux, directeur général adjoint du CHU, qui a répondu à nos questions.
    Concernant la fourchette avancée - entre 4 et 5 millions d'euros de pertes - M. Cavignaux nuance. « C'est une estimation qui n'a pas encore été consolidée » , indique-t-il. « On est en train de recenser toutes les pertes qui peuvent s'accumuler, sachant qu'on n'y arrivera pas avant deux ou trois mois. »
    Une perte financière - quel qu'en soit le montant - qui serait due pour l'essentiel à la baisse des activités. « Il y a à la fois la baisse d'activités (et donc de recettes, ndlr), relative notamment aux patients qui auraient dû être pris en charge chez nous et qui ont été transférés » , concède Bernard Cavignaux, « et le surcoût (de certains matériels et de l'approvisionnement, ndlr). Les interventions déprogrammées... Va-t-on les « récupérer » ? « On n'en sait rien pour le moment. »
    545 opérations déprogrammées
    Un report des interventions imputable, selon le directeur général adjoint du CHU, à « l'incertitude concernant le personnel nécessaire pour ces interventions » . Et, à cela, il faudrait ajouter la « rupture de stocks de tout ce qui est « consommables » à usage unique (champ stérile par exemple, ndlr). »
    Deux unités de chirurgie ont dû être fermées (orthopédie et urologie) et quelque 545 opérations déprogrammées. « Les opérations déprogrammées sont effectivement de l'ordre de 545 » , reconnaît Bernard Cavignaux. Concernant les transferts de patients, il n'y a pas encore « de chiffre précis à donner » , mais ce qui est sûr c'est que ces transferts ont eu lieu vers le Nord de la France, en raison d'un partenariat entre le CHU de Fort-de-France et le CHU de Lille et qu'ils ont concerné des patients traités pour chirurgie cancéreuse.
    Selon M. Cavignaux, « à aucun moment, les patients n'ont été en danger. On n'a jamais manqué de produits vitaux. »
    - Comment gérer l'après-crise ?
    Christian Ursulet, Directeur de la santé et du développement social (DSDS), précise : « Sur les 545 opérations déprogrammées au CHU de Fort-de-France, 166 sont devenues aujourd'hui extrêmement urgentes, comme pour des cancers ou des problèmes cardiaques. Nous travaillons donc en coopération avec les hôpitaux du Lamentin et de Trinité pour faire face. Nous allons aussi évaluer l'impact de la grève sur la santé de la population, qui a eu moins accès aux soins.
    Dans l'immédiat, nous surveillons la multiplication d'AVC et d'oedèmes pulmonaires dont on ne connaît pas l'origine. Un protocole d'étude a été mis en place avec la Cellule interrégionale d'épidémiologie (CIRE). Nous évaluerons aussi les conséquences sur les patients suivis en psychiatrie ambulatoire et qui n'ont pu suivre leur traitement correctement » .
    Christian Ursulet, directeur de la santé et du développement social (DSDS).Christian Ursulet, directeur de la santé et du développement social (DSDS).
    - Un tiers d'AVC en plus
    Le Pr Didier Smadja, chef du service neurologie au CHU de Fort-de-France, a noté une augmentation significative du nombre d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) pendant la grève générale.
    « Il y a eu une augmentation de 35% du nombre d'AVC sur un mois » , indique Didier Smadja. « Les AVC (ou congestions, ndlr) sont un phénomène assez constant, avec peu de variations d'un mois à l'autre. Les six mois qui précèdent février l'illustrent bien. Or, en février, on a eu 3 patients par jour, soit environ 80 AVC sur un mois, c'est-à-dire une trentaine de plus que d'habitude. » Ces AVC sont-ils directement liés à la grève ? « Plusieurs hypothèses concernent les causes » , commente le Pr Smadja. « Cela peut-être un défaut de traitement. Mais cela ne semble pas avoir été le cas : on n'a pas noté de rupture de traitement sèche ou de défaut d'observance des traitements. Quant au stress, c'est un facteur difficilement mesurable, mais on sait qu'il a été majoré pendant la grève (plus de crises d'angoisse relevées aux urgences par exemple). Il peut y avoir aussi un problème alimentaire : une alimentation différente, sur le plan du sel notamment, peut augmenter la pression artérielle, changer la viscosité du sang et donc provoquer des AVC. »
    Même si le neurologue précise en être « réduit aux hypothèses » , il souligne : « L'hypothèse que l'on privilégie pour expliquer cette augmentation est l'effet du stress. C'est l'hypothèse la plus probable. Mais on n'exclut pas les problèmes d'accès au traitement (même peu probables) ou les modifications de l'alimentation qui ont pu jouer sur la viscosité du sang. »
    Actuellement, une étude est en cours sur cette question. Les conclusions devraient être connues dans quelques semaines.
    Le Pr Didier Smadja, chef du service neurologie au CHU de Fort-de-France.Le Pr Didier Smadja, chef du service neurologie au CHU de Fort-de-France.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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