Ce qu'il faut éviter
1. Se consoler avec des substituts sucrés. Si la ration complète du déjeuner ou du dîner ressemble à une crème dessert ou des biscuits, on a rarement l'impression d'avoir fait un vrai repas — surtout avec une crème qui prive de l'acte de mastication. Et cela n'aide pas à se détacher du sucré. Dans la tête, il vous faut autre chose, même si le corps est satisfait et votre besoin de sucré aussi. Les fabricants de substituts de repas hypocaloriques équilibrés en sont conscients, mais il leur est plus difficile d'élaborer des recettes de goût légume ou fromage agréable que de les parfumer aux extraits de fruits ou de caramel.
2. Se lancer dans un régime sans aide médicale. Chaque corps a un problème de poids qui lui est spécifique, physiologiquement et psychologiquement.
Ce qu'il faut faire
1. Essayer d'abord les biscuits repas Minilunch goût fromage-jambon des laboratoires Phytodif, les veloutés de tomate Milical, et un des moins sucrés des sucrés : le gâteau P'tit K, à bien mâcher. Attention aux shakers fournis pour les préparations à mélanger : ne pas les remplir d' eau trop chaude, qui risque de faire sauter le couvercle en dilatant la matière plastique.
2. Trouver un médecin qui vous aide à déterminer un équilibre alimentaire qui tienne compte non seulement de vos goûts et de votre rythme de vie, mais surtout de la répartition de vos graisses (cuisses, hanches ou ventre, etc.), de votre âge (incidences hormonales liées à l'âge, etc.), de votre état de santé en général (fatigue, carences, etc.) et de celui de votre moral en particulier (déprimes incompatibles avec des frustrations alimentaires, etc.). Le travail du nutritionniste est aussi d'aider à corriger définitivement certaines erreurs alimentaires répétées. Et comme il faudra retourner le voir, on se sent engagé dans une obligation de résultat : ça aide.
Bonne journée