Psttttt !!!!

J’ai visité quelques blogs de régimeuses hors de ce site et j’en ai trouvé qui était vraiment lamentables. Par exemple, une fille irrespecteuse au possible qui traite son père de « sale gros porc » ou encore de « S…p » parce qu’il veut qu’il mange correctement. Elle se fait vomir en secret pour atteindre son poids de forme. Les commentaires  de ses visiteuses ne sont pas meilleurs. On trouve vraiment de tout et n’importe quoi sur le net. Selon ce qu’elle dit, il en ressort que c’est une pro-anorexique. Son blog est truffé de photos de filles plus ou moins squelettiques. C’est un cas extrême que je prends comme exemple mais ça m’a interpelé. Jusqu’où est-on prêt à aller pour maigrir ? Cette fille est jeune, peu mature et a plus que besoin d’aide. Comment lutter contre les diktats d’une société qui conçoit la beauté uniquement par un 36 ?!!! Je me suis interrogée sur mes propres motivations. Faire du 36 c’est pas mon objectif ! quel est-il ? c’est l’occasion pour moi de refaire le point par rapport à moi-même et par rapport au chemin que je compte parcourir avec vous.

Mes objectifs sont clairs. Je veux maigrir parce que :

cje suis en surpoids de 20 kg,

c ma santé est en danger

cque j’ai des comportements alimentaires à risque

cje veux avoir une hygiène de vie saine et  manger sans avoir de remords

cje veux manger parce que j’ai faim et non parce qu’un souci m’empoissonne la vie à tel point que je me jetterais sur la nourriture pour compenser.

cje veux que ma confiance en moi soit une force intérieure et non pas une soi-disant force qui me vient de la société parce que je corresponds à l’image qu’elle en attend de moi.

cOui, j’ai un objectif de taille 38/40 mais il reste raisonnable par rapport à ma taille et au poids que je devrais normalement pesé. Je me permets aussi de tenir compte de la morphologie générale de ma famille.

Globalement, c’est cela qui me motive. Je tiens à ancrer cela dans mon mental et dans mes habitudes de vie. Je suis ce que je suis mais je travaille à m’améliorer. J’ai mes défauts et mes qualités. Je refuse simplement de vivre dans le besoin, dans la dépendance alimentaire et de l’image de soi qu’attends notre société. J’apprends à m’aimer de plus en plus et maintenant je pose les actes.