De retour à la maison et sur mon ordi normal (le net book est pénible, il faut tout le temps faire descendre l’écran… en plus la souris est cassée, même si elle fonctionne)

Comme on pouvait s’y attendre ce matin j’étais cre-vée, un zombie. Je me suis endormie dès que j’ai posé la tête sur l’oreiller ! Je descends à 10h moins le quart prendre mon petit-dej (un extra : un magnifique croissant au beurre) et j’explique au réceptionniste que je suis très fatiguée et que je vais tenter de changer mon billet et de rentrer plus tôt à paris. En plus il fait tellement froid qu’il n’est pas question d’aller prendre le tram pour aller au musée. Il neige et il y a une espèce de blizzard qui souffle sans s’arrêter.

Il me propose gentiment de garder la chambre jusqu’à 14h au lieu de 11H30. Je remonte m’allonger et je dors jusqu’à midi. A 13H 45 je descends mon sac et je file à la gare : elle est noire de monde, ce sont les vacances scolaires. Les etudiants rentrent chez leurs parents avec leur linge sale à laver, les autres montent à paris ou vont aux sports d’hiver. J’essaie d’abord de me servir des automates : le prochain train est complet. Je vais donc faire la queue au guichet, c’est la folie ! et j’ai de la chance : une place vient de se libérer sur le train de 15h20. Je retourne à l’hôtel et j’ai droit à une blague saumâtre sur DSK. Tous les restaus ont arrêté leur service à 14h. Impossible de manger un plat chaud par ce froid de canard. Je renonce.

Une fois dans le train un gentil étudiant normand est mon voisin, mais je me suis trompée de voiture. A ma place est assise une jeune fille avec sa mère. Celle-ci déclare qu’elle a la place 111, pour se raviser quand je m’assois à la place vide à coté…  de son mari. « Ah oui, nous on a les places 112,113 et 114 !  Mais il y a de la place vous pouvez vous installer ailleurs». Les gens sont d’un sans gène !!!

Au bar, il n’y a plus rien, sinon un hachis parmentier d’aiguillettes de canard et des sandwiches, je prends le hachis, avec  un yaourt pour remplacer la salade en entrée. Le parmentier est bon, au moment de jeter l’emballage à la poubelle, le monsieur ne fait pas le moindre geste, je suis obligée de me pencher au dessus de lui pour atteindre la poubelle.

Moi qui ne dors jamais dans le train, je me réveille, courbatue, le monsieur occupe l’accoudoir pour lire. Y en a marre ! J’occupe à mon tour l’accoudoir sans ménagement. Et je me rendors ! quand je vais aux toilettes juste avant l’arrivée, le monsieur pose son sac à ma place, je suis obligée de lui demander de le retirer pour poser le mien et mettre mon manteau.

Une fois à Paris, je réalise que les gens ne sont pas plus polis que mes voisins de voyages originaires des alpes maritimes. Pas grave, je suis chez moi, il fait beaucoup moins froid et au moins en cas de neige je peux la regarder tomber de mes fenêtres en étant bien au chaud. Je n’avais pas trop froid en fait avec mon manteau en peau lainée, mes bottes fourrées, mon bonnet pachtoune en laine, mes gants en gros cuir et mon vieux col roulé en laine. Mais c’etaient les rafales de neiges qui étaient intenables. La petsitter m’informe que ma louloute  tremble de froid : j’ai oublié de lui prendre son manteau ou un tshirt. J’irai la chercher demain avec. En attendant j’apprécie de n’être pas obligée de la sortir. Je vais m’écrouler dès que j’aurai fini ce post

A la maison, j’ai pris l’habitude d’utiliser le compteur de calories avant de préparer mon diner, quand ça déborde trop les 1500 cals, j’enlève le dessert ou je le change

Non egal, je n’ai pas fait ma séance de sport d’hier à 1h du matin (c’est plutôt l’heure à laquelle j’ai écrit), mais en revenant du chinois vers 11h

Aujourd'hui je ne fais plus rien. Demain, je suis le conseil d’egal : je me repose et je prends soin de moi

Pas de marche rapide, au mieux une marche normale aller retour dans l’après mid pour aller chercher la louloute. Sinon je sens que la fibro va me rattraper, si ce n’est déjà fait avec cette grosse fatigue. J’ai ramé dans le métro avec mon sac, mon corps était lourd !!!

Je viens de m’abonner à coachclub pour un an : battons le fer tant qu’il est chaud. Et j’ai remis le step (1h de step demain…)