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experience paranormal !!
publié le 20/10/2009 à 17:36 |
Directeur artistique, Christophe a perdu l’un de ses deux fils, mort à 16 ans dans un accident. Les signes étranges survenus alors ont bouleversé son esprit rationnel, mais ses proches ne l’ont pas compris.
« Trois jours après la mort d’Antoine, j’ai aperçu une petite boule lumineuse qui brillait au-dessus de mon lit. Je suis plutôt rationnel et, à l’époque, je cultivais ce que l’on pourrait appeler un “matérialisme indifférent” :
Dieu, l’au-delà, la communication avec les morts et les phénomènes de ce genre me semblaient inconcevables. Mon fils était mort, point final. Ce matin-là, j’ai quand même vérifié les rideaux, la fenêtre…
J’étais trop effondré pour m’étonner, m’inquiéter ou même réfléchir. Je me suis rendormi.
Le premier choc dans mes convictions est survenu trois mois plus tard. Toujours aussi malheureux, ma femme et moi étions dans la chambre d’Antoine quand j’ai reçu deux coups derrière la tête.
J’ai regardé derrière moi en disant : “On m’a frappé !” “C’est peut-être Antoine”, a lancé Marianne. “Peut-être”, ai-je répondu, et on en est resté là. Croyante, quoique non pratiquante, Marianne lisait des livres sur l’après-vie, et je commençais probablement, inconsciemment, à accepter cette idée : elle adoucissait ma peine et avait le mérite d’apporter une explication – d’autant plus envisageable que ce geste “collait” avec la personnalité très “directe” d’Antoine.
Peu de temps après, Marianne m’a entraîné chez un médium. J’ai accepté d’y aller, par curiosité : peut-être cela me ferait-il du bien – j’allais tellement mal ! Mais j’étais très sceptique, pour ne pas dire critique.
À tel point que je n’ai pas fait le rapprochement avec ce qui m’était arrivé quand, dès le début de la séance, le médium s’est penché en avant en disant qu’il venait de recevoir deux claques derrière la tête et qu’Antoine lui signifiait par là qu’il avait été tué sur le coup.
Pour nous, ce fut d’abord un immense soulagement, car nous n’avions pas été autorisés à voir son corps et imaginions les pires scénarios. Ensuite, sans nous connaître, avec seulement la photo d’Antoine, le médium nous a dépeint sa personnalité, ses comportements, ses relations avec nous. “Talent de morphopsychologue ?”
me suis-je demandé. Possible, mais comment expliquer qu’il décrive ensuite avec précision notre maison, ou l’absence de relation entre Antoine et ses grands-parents, ou encore un cadeau acheté pour sa petite amie qu’il nous enjoignait, selon le médium, de remettre à la jeune fille ?
J’étais à la fois impressionné, étonné, rassuré, soulagé. Consolé ? Non, on ne se remet jamais de la perte d’un enfant. Mais ma conception de la mort commençait à être sérieusement chamboulée, d’autant que les manifestations ont continué :
bruits de pas, de portes qui claquent, objets qui disparaissent ou apparaissent, petits signes dont on peut toujours se dire qu’ils sont le fruit du hasard, mais qui finissaient par s’accumuler ! Cette “présence” me faisait du bien, mais cela n’empêchait pas les rechutes dans la souffrance, le retour des doutes, qui persisteront certainement toujours. J’ai alors essayé d’enquêter, de comprendre.
Ces messages incompréhensibles sur mon téléphone portable, par exemple, pouvais-je en remonter la piste ? Peine perdue : selon mon fournisseur, ils n’avaient “aucune provenance”. Cette absence d’explication technique me donnait le droit d’adhérer à l’idée d’un clin d’oeil de mon fils, et cette idée me faisait plaisir, j’en étais parfaitement conscient.
Je regrette cependant que certains amis auxquels nous nous sommes alors confiés en soient restés à des remarques un peu condescendantes, du genre : “Si ça vous fait du bien, on est contents pour vous.” Refusant de considérer les possibilités que l’expérience ouvrait, ils ont d’abord tenté d’en réfuter la réalité.
Puis, apprenant que nous allions voir des médiums et participions à des conférences, ils ont cherché à nous en dissuader, au nom du risque sectaire. Je sentais aussi que mon psychiatre ne souhaitait pas s’étendre sur ce terrain. Pourtant, et je le dois en grande partie aux personnes rencontrées à l’Inrees, même si je souffre, je sais que je ne suis pas fou. Je gère le quotidien aussi rationnellement qu’avant.
Ma vie a changé, bien sûr : les petits soucis me paraissent aujourd’hui sans importance, et la réussite sociale sans intérêt. Je prêche pour davantage de tolérance, moins d’égoïsme et, sans pouvoir dire que je crois en un Dieu, je me suis ouvert à une spiritualité qui m’est propre. Je sais, pour l’avoir ressenti, que mon fils est “vivant”. Il m’arrive de penser que tous ces événements n’avaient pas d’autre but : me faire évoluer. »
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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Pour ma part,je crois aux ressentis paranormaux .Bien des choses existent au delà de la conscience .Ce sont des expériences pas faciles à raconter et probablement à assimiler
Courage
Bravo pour le poids!