La pénurie des micro-nutriments

A notre époque où la nourriture est abondante, pourquoi donc faire comme en ces temps lointains où l’on suppose que les ressources alimentaires disponibles étaient rares ? En fait, notre économie d’abondance cache des pénuries ! Au cours des dernières décennies, la valeur des légumes et fruits en micro-nutriments a fortement chuté. Les nouvelles variétés orientées rendement, aspect, conservation, la récolte avant maturité, le transport, le délai entre la récolte et la conservation et, même en bio, la recherche de rendements élevés et la pratique des cultures sous serre sont cause de cette dégradation.

Il en résulte des aliments faibles, à teneur plus réduite en vitamines, minéraux, enzymes, anti-oxydants. On consomme trop de calories mais on manque de micro-nutriments. Dès les années 1930, aux USA, quelques pionniers de la nutrition comme le Docteur Charles Schnabel puis plus tard Ann Wigmore ont compris tout l’intérêt du jus d’herbe pour éviter que ces déficiences en micro-nutriments, en se cumulant au fil des années, ne créent de graves risques de santé.

Alors qu’aux Etats-Unis, la tendance était plutôt jus d’herbe de blé, dans les années 1960, au Japon, un certain Yoshihide Hagiwara, pharmacien, qui s’était très fortement auto-intoxiqué aux métaux lourds à la suite de tests répétés de ses médicaments, venait d’être sauvé par la phytothérapie chinoise.

Dans un véritable état de renaissance, il a alors conçu le rêve de trouver dans le monde végétal un aliment qui permettait de corriger les effets délétères de l’alimentation "fast food".

Mû par ce rêve puissant, il s’est reconverti dans la médecine et la recherche en nutrition. Et, après avoir étudié plus de 200 plantes, il a fixé son choix sur l’herbe d’orge, qui apporte une très grande variété de micro-nutriments. Puis le Docteur Hagiwara a eu deux idées capitales pour rendre ce jus facile à consommer en le transformant en poudre sans affaiblir le produit comme son efficacité le démontre maintenant. Créer un jus en poudre

Il voulait produire un jus en poudre en évitant la lyophilisation ou le cryo-broyage qui d’après lui auraient amoindri la biodisponibilité des composants du jus. Son idée a été de créer un vide très poussé dans une enceinte pour permettre une évaporation quasi instantanée de l’eau sans dépasser 39°C, température corporelle qui permet de préserver le contenu des très nombreux et précieux enzymes du jus.

Il a été bien inspiré pour trouver ensuite un moyen naturel de conservation du jus en poudre et en particulier de la chlorophylle et des enzymes très fragiles. Cela consiste à les encapsuler dans des cristaux. En combinant le jus en poudre avec de la maltodextrine de maïs, sucre lent crystalisé obtenu par hydrolyse du maïs, les particules de jus se trouvent protégées au sein de ces micro-cristaux, ce qui donne une longue conservation au jus en poudre.

Un élément pur n’est pas la voie de la nature. Ainsi, même si nous avons besoin d’oxygène pour vivre, heureusement pour nous, l’air ambiant contient aussi des gaz inertes comme le gaz carbonique et l’azote car l’oxygène pur entraînerait vite de nombreux troubles.

De même le jus d’herbe d’orge, formule du Docteur Hagiwara, en incorporant une petite quantité de farine de riz pour le rendre soluble sans risque de grumeaux et de la malto-dextrine de maïs, est supérieur à un jus en poudre qui serait 100 % jus d’herbe et donc instable, de mauvaise conservation et peu efficace. Plus qu’un complément alilmentaire

Pour tester cette efficacité, Celnat, qui diffuse le produit, s’appuie sur quelques coureurs en endurance dont les succès répétés sur les plus grandes courses en France : championnat de France des 100 km, 100 km de Millau, Ultra Trail du Tour du Mont Blanc en 155 km, font des émules.

Mais ce jus d’herbe est un aliment concentré qui apporte un lot de bienfaits à tout le monde et à tous les âges. Du point de vue de l’énergétique chinoise, c’est un aliment séché et cru, donc relativement yin, et de saveur fortement amère, heureusement bien cachée par la présence de malto-dextrine.

Cette saveur amère constitue avec les saveurs douce, acide, salée, piquante les cinq saveurs que nous devrions trouver chaque jour dans notre alimentation, selon la médecine chinoise. L’herbe d’orge met selon les saisons de 3 à 9 semaines pour atteindre les trente centimètres qui correspondent à son meilleur niveau de densité nutritionnelle.

C’est beaucoup moins yin que les algues unicellulaires comme la spiruline et la chlorella qui, en eau tempérée, prolifèrent très rapidement et sont donc moins adaptées à une consommation régulière sous un climat tempéré. Le jus d’herbe d’orge peut donc faire partie de notre alimentation quotidienne pour nous détoxiner, combattre la tendance à l’acidité, renforcer notre système digestif, augmenter notre énergie et notre endurance et renforcer notre immunité.

Mais comme le précise Jean Celle dans la documentation de ce produit : « En préalable à l’utilisation d’un supplément nutritionnel, il est intéressant de réfléchir à son propre équilibre alimentaire pour éliminer d’éventuelles habitudes nuisibles. Vous bénéficierez ainsi totalement des apports de l’excellent supplément Green Magma ».

Il ne faut pas prendre le jus d’herbe d’orge pour une potion magique ! Bien sûr si l’on dispose d’un bout de jardin ou d’un grand balcon, on y peut cultiver son herbe d’orge pour en extraire son précieux jus avec un petit extracteur manuel et le consommer coupé avec de la bonne eau car, nature, c’est très très amer.

Il convient de conduire cette culture en pleine terre et hors serre pour produire une herbe d’orge très riche et très supérieure à une herbe obtenue en culture hydroponique et sous éclairage artificiel.

Ce jus de soleil, produit direct de la photosynthèse, semble bien correspondre à un besoin actuel et renforce naturellement nos apports alimentaires quotidiens. Sur autre plan, cet aliment de couleur verte, couleur du chakra du cœur, participe à l’ouverture du cœur. 

pour en savoir plus et commander le jus d’herbe : www.celnat.fr