Emotions

Comment profiter de la colère sans tout casser ni se

sentir minable ?

Contrairement à de nombreuses personnes souffrant du SIDA,

ou de maladies cardiaques, on constate souvent que les personnes

atteintes d'un cancer ont tendance à ne pas se mettre autant en colère.

En tous cas pas aussi ouvertement, ni aussi souvent.

Il s'agit bien sûr d'une généralisation sans doute abusive, mais qui me semble toutefois avoir une certaine validité. Et on ne sait pas à quoi

cela est du. Est-ce un trait de personnalité qui était présent avant la

maladie ? Ou bien est-ce parce que nous nous sentons fragilisés

par la maladie et craignons trop de perdre le soutien de nos proches

ou de notre médecin sur qui nous comptons tellement si nous osons

dire avec force que quelque chose ne nous convient pas ? Je vous livre

donc ici cette chronique pour initier la discussion.

Un ancien conseiller de l’ex-président américain George W. Bush

se souvient : « Un samedi matin, je reçois un appel du bureau ovale

parce que le président est furieux au sujet de quelque chose.

Je viens en chemise à col boutonné, et il me crie dessus pendant

quinze minutes… sans me laisser passer le seuil de la porte,

parce que je ne portais pas de cravate. »

Quel est l’effet de la colère ? Pour ce conseiller, certainement

de se sentir tout petit et de ne pas oublier de mettre une cravate la

prochaine fois. Pour Bush ? De s’assurer qu’à l’avenir, il lui soit

manifesté du respect. Mais sans doute surtout de se sentir –

dans sa chair – plus grand, plus fort et plus puissant.

Les émotions sont des énergies qui nous mettent en mouvement. Chacune déclenche des réactions physiologiques qui nous préparent

à un certain type d’action. La peur nous prépare à la fuite, la

dépression à la conservation de l’énergie, la joie à l’accueil de

l’autre, etc. Et, de toutes les émotions, la colère est l’une des

plus énergisantes. Elle nous invite à

la défense du territoire, des êtres proches, de tout ce qui compte

pour nous ¹. C’est une énergie qui nous donne de la force, affirme

notre valeur. Mais si elle permet de booster l’ego, elle a tendance

à mettre en danger les relations.

Il faut parfois des années pour réparer les conséquences d’une

colère avec un ami. Et avec un inconnu, on peut en venir aux poings,

cela peut même se terminer à coups de couteau… et à l’hôpital.

Ce n’est pas par hasard si la colère est souvent l’attribut des puissants. Attila avait des colères légendaires. Plus près de nous, l’ex-président américain Bill Clinton et, en France, Nicolas Sarkozy

ont eu des excès du même type. Ils peuvent se le permettre, leurs collaborateurs ne les quitteront pas pour cela. La relation est sous contrainte.

De fait, dans nos vies à nous – communs des mortels –, nous

choisissons fréquemment d’aller puiser en nous l’énergie de la colère

et de l’exprimer contre ceux qui ne peuvent pas nous quitter : nos partenaires et nos enfants. Nous nous permettons à leur endroit des

mots que nous n’oserions jamais employer envers d’autres : «

Je n’en peux plus de ta paresse.

Tu es vraiment trop nul ! » Pas de quoi être fiers de nous. Pourtant,

la colère est importante. Un groupe de singes ne survit que si, de

temps en temps, l’un d’entre eux est remis à sa place parce qu’il

a volé ou blessé l’un de ses congénères. La colère est – aussi –

une formidable régulatrice.

Alors, comment profiter de la colère sans tout casser ni se sentir minable parce que nous ne nous en servons que sur nos enfants ou

sur notre chien ? En apprenant à la gérer, c’est-à-dire à bénéficier

de son énergie tout en prononçant les mots qui respectent la relation ².

Il s’agit pour cela de :

• Focaliser sur les actions objectives, en évitant les étiquettes

ou le cynisme. À « Tu es nul », préférer : « Ça fait trois dimanches

soir tu n’as pas fait tes devoirs pour la semaine ! »

• Toujours se référer à ses besoins ou à sa position légitime :

« Je suis responsable de toi, et ça m’inquiète de te voir te mettre

dans des situations où je sais que tu vas souffrir ! »

• Faire une proposition de compromis : « Pourrions-nous trouver ensemble une façon d’éviter que cette  situation se reproduise, et

à laquelle tu te tiendras ? »

• Le tout en manifestant, avec son corps et sa voix, que quelque chose de très important est en jeu : hausser le ton, faire les

gros yeux, mettre les épaules en avant, et même avoir le visage

tout rouge si cela en vaut la peine.

La colère est puissante, dangereuse ou salvatrice. Pour être pleinement humain, il faut apprendre à la maîtriser ³.

1. In The Psychology of Emotions de Carroll E. Izard (Kluwer Academic-Plenum Publishers, 2004).

2. In Les mots sont des fenêtres (ou des murs), initiation à la communication non violente de Marshall D. Rosenberg (Jouvence Éditions, 2005).

3. In Cessez d’être gentil, soyez vrai ! de Thomas d’Ansembourg (Les Éditions de l’Homme, 2003).

 

 

INGREDIENTS

Pour la garniture

• 1 petit poivron rouge
• 1 petite aubergine
• 1 courgette
• 1 c. à soupe d' huile d'olive
• 5 c. à soupe de coulis de tomates
• 10 c. à café de parmesan râpé
• 1 peu de thym
• 1 peu de sel
• 1 peu de poivre

Pour la pâte

• 1 sachet de Préparation pour pâte à pizza Francine
• 15 cl d' eau
• 3 c. à soupe d' huile d'olive

FACILE BON MARCHÉ
PREPARATION : 20 mn - CUISSON : 10 mn

Je préchauffe le four à 240°C (Th.8).
Je verse le contenu d'un sachet de préparation dans un saladier

et je creuse un puits pour y verser la levure, puis l'eau. J'ajoute

l'huile d'olive.

Je mélange pendant 3 min à l'aide d'une cuillère en bois pour

obtenir une pâte lisse.
Les mains farinées, je divise la boule de pâte en petits pâtons et

les étale du bout des doigts en formant des mini-pizzas (de 5 cm de diamètre environ) sur la plaque.

Je fais chauffer l'huile d'olive dans une poêle et y fais revenir les

légumes coupés en dés pendant 5 min. J'ajoute du sel et du poivre

et laisse refroidir un peu.
J'étale 1/2 cuillère à soupe de coulis de tomates sur chaque pizza

puis répartis les légumes. Je saupoudre de thym et de parmesan râpé.

Je fais cuire au four pendant 10 min.

• Les recettes Mmmm!
• Le pliage des crêpes
• Drôles de pizzas

 

pour ce dimanche ,,tranquille a la maison !!!!!! si on a du soleil

et bien un petit tour au jardin fera du bien !!!!!!

ou sinon sieste ,sieste on s occupera de ma souris ,,

c est ma mini aspirateur  elle mange toute les miettes que

 

l on fait tombé ...

hier j ai acheté une boite de gazon ::(9€50)::c est pour mes souris !!!!

et oui l herbe chez nous est trop piquante ,,,donc on va leur faire

un endroit pour elles ,,grillagé bien sur !!!!!!!  quand il fera beau on pourras les sortirs ,,,,,

noiraude c est la seule que l on met  dehors et sur le balcon car

elle ne s echappe pas et bien sur on reste avec elle !!!!! 

merci mes amies!!!!!!

j adore lire vos coms !!! 

 

9h20 .....il pleut !!!!!  j ai quand meme ramasser des cerises !!on partage avec les oiseaux !!!!!! 

mais eux c est bizare ils ne partagent pas 

 A chaque fois que vous passez une porte, contractez le ventre 10 secondes. Au début, on oublie un peu, puis ça devient une

habitude.


Au bout de quelques temps, vous aurez un beau ventre

bien musclé.

Astuce proposée par Katana le 2009-04-01 07:47:12

(sur un autre site )

C'est ce que je suis parvenu à faire. Voici quelques trucs et astuces que j'ai utilisés. Attention, ce qui a marché pour moi ne marchera peut-être pas pour vous. C'est donc MA méthode, pas une vérité universelle. Prenez ce qui vous semble bon, jetez le reste. Informez votre entourage (famille, amis, voisins, concierge...) de votre décision. Inspectez votre planning pour voir ou vous pourrez caser du sport (devant un feuilleton) Identifiez vos "ennemis" alimentaires (frites, charcuterie, alcool, soda sucrés etc...) Reprenez contact avec vos amis alimentaires (légumes verts, poisson, eau plate...) Parcourez tous les sites traitant de muscul, de full body de nutrition et d'astuces en tout genre à ce propos. Faîtes le tri du bon et moins bon. Établissez votre régime alimentaire. Prévoyez des repas « soupape » ou vous pourrez lever le pied sur vos restrictions (pas trop tout de même) Tenez un journal méthodique de votre alimentation Visualisez le corps dont vous rêvez et que vous aurez à la date d'échéance finale. Parcourez les sites de ventes aux enchères, vous y trouverez du matériel quasi neuf pour une misère. Fuyez les escrocs patentés genre "perdez 16 Kg en 30 mn sans rien faire" ou "Adoptez un panda et ne grossissez plus jamais" Pesez-vous chaque jour sur la même balance à heure fixe. Commencez à vous remuer (vélo elliptique, rameur, muscul, et n'importe quel sport pourvu que ça bouge) Notez tous ce que vous faites comme sport A l'échéance intermédiaire, invitez vos amis, famille etc, et délectez-vous des compliments sur votre nouvel aspect. Dans le même temps, achetez-vous un pantalon ou jupe, choisissez votre ancienne taille essayez-la et susurrez langoureusement à votre épou(se)x "je voudrais le même modèle mais 2 tailles en dessous !" Choisissez une vieille ceinture, passez la, regarder les traces d'usure, constatez que maintenant vous la serrez 2 ou 3 crans de + Ne manquez pas d'admirer dès que vous en avez l'occasion, votre silhouette (vitrine, miroir, reflet en tout genre) Soyez fier(e) de vous. Déclenchez à chaque fois que vous le pouvez, une remarque genre « dis-donc, qu’est ce que tu as maigri ! » Ne baissez pas les bras et continuez ainsi jusqu’à l’échéance finale.