Bonjour les chéries!

Gabriel est à l' école...
J' ai discuté un moment avec mon amie d' enfance...
J' ai pris les coordonnées du fongécif proche de chez moi... téléchargé le dossier de candidature pour le DU "management infirmier" de l' université de Montpellier et je crois que je suis définitivement lancée ( sauf changement notable au niveau de mon service... ) pour évoluer professionnellement.

La psy et moi avons trouvé l' objet de ma souffrance qui serait... ma maman...
Jamais je ne l' aurais cru.... j' en suis assez bouleversée...
Ma maman... si parfaite, si maternelle, si disponible, si proche, si aimante... idéale en somme, serait à l' origine d' un manque qui me détruit petit à petit.

J' aime ma maman plus que tout au monde... elle m' aime aussi tendrement... mais c' est la relation "fusionnelle" qu' elle a avec ma soeur qui, parait il, me fait souffrir de par les distances inconscientes qu' elle crée entre nous depuis si longtemps...

Je serais en manque de reconnaissance... et cette reconnaissance je la cherche à tout prix au niveau professionnel, familial et amical sans jamais la trouver car il n' y a que ma maman qui peut résoudre le problème...

Peut être aussi qu' en prenant ma vie professionnelle en mains je m' échappe de l' emprise maternelle et coupe virtuellement ce lien qui me fait souffrir.

Il va falloir que je note ce que je vous écris pour mon RDV de lundi avec la psy car j' ai l' impression que j' avance rien qu' en vous parlant...

Belle journée mes chéries....

Cocolavau, Concierge, Andris etc.... je pense fort à vous et m' excuse de ne pas venir vous voir plus souvent sur vos blogs mais je suis éreintée... épuisée par cette thérapie et je m' isole souvent... tout en vous lisant...

Tendrement vôtre...