3eme jour
super l'orange je l'ai préssée pour prendre mes medocs, quel delice.
inoui qu'avec seulement 2 jours de surveillance et même pas privations on a l'impression d'être au ciel quand on prend ce qui est enfin autorisé et que l'on prenait par automatisme sans même s'en rendre compte.
je suis en train de lire "enfance en enfer" de jean fayard je mesure mieux la détresse de ces gosses qui crevaient de faim,terminant en maison de correction car leur seule faute etait que leur mère ne les aimait pas,
 j'ai honte de mon pays de constater que cela existait pendant ma propre enfance pas trop chouchoutée mais quand même bien confortable à côté de jean qui n'a que 3 ans de plus que moi.