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l'histoire continue
publié le 05/05/2009 à 16:55 |
ce qui me plait dans cette histoire c'est ke je me suis bien en sortie
passez une bonne soirée bisous
Ma mère était toujours battue. Je me souviens de quelques bagarres, je devais avoir entre 8 et 9 ans. A chacune de leurs querelles, ma mère me mettait dans un taxi, puis elle disait au chauffeur de me déposer à une adresse qu’elle notait sur un bout de papier. Elle relevait ensuite le numéro de matricule du véhicule qui m’emmenait chez mon père. Mais leurs petites bagarres ne duraient pas. Une fois celle-ci terminées, elle revenait me chercher et la vie continuait comme si rien ne s’était passée.
j’ai même cru qu'il était normal qu’un homme batte tout le temps sa femme puisses que je grandissait dans cette atmosphère.
Quand mon père arrivait, mon ainée du coté de ma mère, mon petit frère, ma petite sœur et moi partions jouer derrière la cour pour les laisser seuls. Souvent, on entendait des bruit qui venait de la cour et les gens courraient pour aller voir ce qui se passait. Mais nous, nous continuions de jouer. Les gens entraient et sortaient de la cour puis parlaient fort de la bagarre. Nous, on les voyait se déchirer comme des animaux. On s’effondrait en larmes.
Il y a même eu des moments très tard dans la nuit ou ma mère criait. Elle pleurait et sortait de la chambre avec ses bagages en mains. Elle entrait dans notre chambre et nous disait de faire nos bagages pour quitter la maison de notre père. Nous pleurions en la voyant dans un état pareil. Elle avait des bleus partout sur le corps. Mon père essayait à chaque fois de la calmer et il nous ramenait dans notre chambre. Nous le détestions quand on voyait notre mère pleurer. Mais à cet âge là, on ne pouvait pas prendre de décision.
La dernière fois, je m’en souviens comme si s’était hier. C’était un samedi au environ de 17h, ma mère était en train de préparer le diné sur un fourneau de charbon remplis de braises. Mon père lui parlait d’une histoire de voyage. Elle ne voulait plus en parler. Ça a énervé mon père qui essayait de la raisonner pour qu'elle le suive au village. Il était secrétaire générale de sa section. Il père voulait qu'on aille vivre au village avec lui et qu'on le laisse mener sa politique. Ma mère était contre son idée. Elle voulait qu'il aille avec une de ses premières femmes. Ma mère ne voulait pas qu'on grandissent dans un village ou l'éducation scolaire était nulle. Mais mon père lui imposait son idée et lui lançait des injures vraiment pas belles à entendre. Ma mère lui répétait qu'elle voulait rester en ville et lui qui disait de toutes façons qu'il n'a pas le choix, que c'était décidé. Elle voulait qu'on parte la semaine prochaine. Elle s'est énervée elle aussi et s'est mise à l'insulter à son tour.
Il s'est levé et lui à lancé un mortier qui lui a tapé le front. Elle est tombée et sa tête a tapé le fourneau de charbon de braises. Tout s'est renversé par terre. Mon père l'a attrapé par les cheveux et l'a trainé par terre. Elle criait de toute ses forces et nous aussi. Il l'a finalement lâché et a pris le mortier pour la taper dans le dos. Ensuite, il lui donnait des coups de poings au visage. Elle le suppliait mais mon père continuait de l'a taper. Les gens les séparaient mais il ne voulait pas l'a laisser. Quand mon père a soulevé de nouveau le mortier qu’il tenait, un monsieur l’a saisit par derrière et lui a donné un coup de poing au visage. Mon père s'est alors calmé.
Ma mère s'est remise à l’insulté et est rentrée dans sa chambre. Elle a pris quelques affaires que mon père lui arrachait. Elle n'a donc pas pu prendre grand chose. Puis nous sommes partis chez sa tante.
Le lendemain, mon père est allé nous chercher mon frère et moi. Ma mère allait trop mal pour s’y opposer. Elle avait le visage gonflé, on ne voyait même pas ses yeux.
Cette fois c'était la fin. Je n'avais jamais vu ma mère dans un état pareil.
Mon frère et moi étions trimballés de gauche à droite. Et souvent mon père nous utilisait pour aller la voir et l'espionner dans l'obscurité. Il nous disait de ne pas faire du bruit quand on approchait de la maison de la tante de ma mère. Il pensait la surprendre avec un autre mec. Elle ne voulait plus de lui malgré ses promesses de ne plus la battre comme à chaque fois de leurs histoires. Elle avait comprit son jeu, mais il était trop tard.
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comment vas tu?
comment vas tu?
Les hommes n'ont pas tous les droits. Ta mère s'est mise en danger pour que vous ayez une bonne éducation. Une maman pense à ses enfants mais c'est terrible en même temps. Bon, j'arrête de pleurer, là...
Gros bisous
ton histoire me souleve le coeur ta vie a été assez hade ma puce et si tu as survécue c'est parce que tu avais foie en toi tu as raison libere toi de ce passé carotique passes un bon mercredi ma cocotte entourée de tes petites excuse moi j'avais oubliée de te remercier de tes coms sur mon album mille bisous ma belle jen
et bien cette histoire là j'ai les larmes battre une femme quelle horreur
Ta mère c'est battue pour ces enfants et je trouve ça très important, elle ta donné de sa force et de son courage pour que tu puisses continuer dans la vie, c'est admirable,
comme tu dis "" je m'en suis bien sortie"" oui
Et soi fière de ce que tu ai
bon courage
passes une bonne soirée
bises
oui ca va bien merci et toi comment vas tu ?
quelle histoire triste ma chere dur de voir sa mére se faire battre sans pouvoir rien faire car on se sens unitile,heureusement que le plus dur est derriere toi