salut les amie c'est reelle plaisir de vous raconté ma petite histoire même si elle n'est pas gaie mais je fais ma therapie a ma manière et ça me libère, j'ai pas eu la chance de naitre dans un pays comme la france, mais aujourd,huit, je vis ici et j'ai envie de mettre a nue l'afrique et l'injustice ki y raigne

l'operation bikini pour moi continue, c'est le sport et toujours le sport, j'utilise le garage pour mes apareils de fitness, et je les sortent sur le parking pour faire du sport et en plus j'ai deux belles petites pour m'encourager, mes filles lol!!!, donc on s'eclatent on joue tout en brulent des graisses, les amies c'est vrai ke kan on a des gosses ce n'est pas facile d'avoir du temps pour le sport mais en leurs fesant participer ou en les occupant a faire d'autres activités devant vous dans le même ambiance sportive ça se passe super bien, donc je vous invite a faire le sport avec toute votre famille

j'ai fais une petite sortie avec une amie du site, elle est vraiment simpa et très ouverte d'esprit, elle a une famille magnifique merci staana

je vous aime car je puise ma force dans vos mots et votre soutient, vraiment merci de me comprendre bisous

voici la suite de l'histoire,elle est très longue

Pour se coucher, c’était le cauchemar. Mon frère, ma sœur et moi dormions dans l’allée, à même le sol. On devait se coucher en dernier pour éviter de servir de  serpière pour certaines personnest

Une nuit, dans mon sommeil mon doigt est entré dans la fente d’une porte et une de mes demis-sœur a fermé celle-ci sur mon doigt. J’ai crié tellement fort que j’ai réveillé toute la maison. J’étais en pleur. Elle ne s'est même pas excuser. Le lendemain, j’avais le doigt enflé et tordu. J’avais horriblement mal. Mon père a supplié sa deuxième femme de nous laisser dormir dans sa chambre qui était déjà pleine. Donc, on s'est retrouvé à coucher sous le lit. Le poids de celui-ci nous empêchait de dormir. Donc on est retournés dans l’allée de la maison. Toutes les chambres ressemblaient à des boites de sardines. Elles étaient pleines à craquer. Les matins, on n’avait pas droits aux petits déjeuné. Ceux qui avaient encore leurs mères avaient de la chance, nous autres, orphelins de mère, devions attendre midi. Et souvent il n'y avait pas assez à manger le midi pour avoir deux poignées de riz. Il n'y avait ni viandes ni poissons. Il fallait ensuite attendre le diné pour avoir quelque chose à manger. Et c'était toujours pareil, on avait tout le temps faim.

Mes ainés faisaient la loi à la maison. Ils nous frappaient, nous insultaient. On avait peur d’eux, ils nous traumatisaient.

Et puis, quand c’était la rentrée des classes, on devrait supplier le vieux pour les frais scolaires.

A peine nous donnait-il la somme pour l’inscription. Pour avoir les fournitures, nous devions attendre 3 mois.

Pour la toilette, je n'avais ni savon, ni éponge. A chaque fois, j'empruntais l'éponge d'une des fille pour prendre ma douche mais toujours sans savon.

Pendant ces trois mois d’attente des fournitures, je prenais du retard en classe. En tout cas je me débattais comme je pouvais pour suivre les cours mais il n'y avait rien à faire. Certains professeurs me mettaient même dehors de leur cour parce que je n’avais pas de cahier sur lequel écrire.

C’était comme ça tous les ans depuis la mort de ma mère.

Mon petit frère a préféré arrêter l’école au cm2 pour vendre des t-shirts. Quant à ma petite sœur, elle a été corrompu par une de mes ainés qui l’a prise comme son esclave. Elle faisait les courses et tout les travaux ménagers.

une de mes ainées se prenait pour une princesse. Elle a eu la chance de tomber amoureuse d’un mec plein aux as. Elle donnait des ordres aux autres et on lui obéissait au doigt et à l’œil. Quand un membre de la famille lui demandait un service, elle refusait quand bien même elle pouvait le faire. Elle s'est mariée et à quittée la cour familiale avec ma petite sœur en lui promettant qu’elle allait lui payer des cours de coiffures. Ma petite sœur qui faisait tout pour elle n’a pas pu suivre ses cours, elle partait la chercher à chaque fois pour ses courses.

elle n’était pas la seule à se prendre pour les fesses du pape. Il y avait une autre sœur du nom de Coco qui était instructrice. Celle-ci était très hypocrite. Elle nous montait les uns contre les autres. Elle avait de grandes filles qui étaient de la même génération que moi et qui vivaient avec nous. La majorité de mes ainées avaient le même âge que ma mère. L’ainé de la famille était plus âgé que ma mère. Ils faisaient tous la loi à la maison et mon père ne contrôlait rien du tout.