salut, les amies, j'avais mi le debut de mon livre sur le site, pour celles ki veulent mieux me connaitre, voilà encore une partie de mon histoire,je me sens de plus en plus mal parce k'il n'y pas de justice là d'ou je viens, j'ai besoin de soutient du monde entier, parce que la vie de ma fille est en danger et comme je vis en Fance, je cris au secour à toute la France entière aidé moi, protégé ma fille svp

je suis desolé d'utislisé le site pour m'en sortir sinon je cour à la derive les amies je vous aime bisous

voici la une partie de l'histoire 

Quand le monsieur est parti la cour était calme, je suis allée vers mon père et je lui ai demandé si maman rentrait demain. Il ne m'a pas répondu et est rentré dans le salon. Moi je suis allée poser la question à la deuxième femme de mon père. C’est elle qui m'a dit que ma mère était morte et que le monsieur qui venait de partir était venu pour annoncer la mauvaise nouvelle. J’ai poussé un grand cri et je suis tombé par terre. Je criais maman qu’allons devenir sans toi. Tout le monde dans la cour pleurait avec moi.

J’étais inconsolable, pendant trois jours je ne voulais rien d’autre que ma mère, mon petit frère qui ne comprenais pas grand-chose me suppliait de manger.

Le quatrième jour, nous nous sommes rendus dans le village de ma mère pour les funérailles.

Quand nous sommes arrivés l'accueil était avec des pleurs.

Les villageois l’avaient déjà enterrée depuis deux jours donc on n'a pas vu sa tombe.

Ma petite sœur était devenue toute bizarre et ne parlais plus. C'était si dur de la voir dans cet état. Ma tante lui racontait que notre mère est allée en voyage.

On s'est retrouvés du jour au lendemain mon frère et moi dans la grande cour familiale.

Je lisais dans le regard de certains membres de la famille l’hypocrisie et la jalousie.

Je me posais la question comment faire pour intégrer une famille avec de nombreux enfants qui se dispute sans arrêt ?

J’étais tout le temps malade donc on se moquait de moi.

Trois ans s'était écoulés et on grandissait dans cette atmosphère difficile.

Ma petite sœur est venue nous rejoindre à Bouaké. Elle reparlait. Elle m'a dit que la veille du jour ou notre mère est décédée, elle avait perdu son bébé. Ce jour là, très tôt notre tante l'a faite sortir de la chambre ou mère dormait. Et à leur retour notre mère n’y était plus. On lui racontait tout le temps que notre mère était en voyage alors qu’elle avait tout vu. J’avais pitié d'elle.

Un jour mon père m'a dit que sa cinquième femme qui n’enfantait pas voulait que ma petite sœur soit sa fille et qu’elle allait l’éduquer et prendre soin d’elle comme sa propre fille.

La cinquième femme de mon père avait déménagé dans la deuxième cour. Là ou on vivait avec notre mère. Ma petite sœur ne voulait pas partir mais mon père l’obligea.

Mon frère et moi ne la voyons plus. Les mois passaient et on demandait de ses nouvelles à notre père qui nous rassurait tout le temps en nous disant qu'elle allait bien.

Un week-end, ma petite sœur est venue nous voir. Elle était très triste et ne voulait plus repartir parce que la femme de mon père la maltraitait. Elle le disait à notre père qui ne voulait rien entendre. La dame ne lui achetait rien à porter. Tous ses habits étaient déchirés comme les notre. Même la robe qui avait été acheté par notre mère avant de mourir était devenu trop petite.

Mon père s’en foutait. Tout ce qui l’intéressait, c’étaient ses femmes.

A chaque fête on pleurait parce qu’on n'avait pas de nouveaux vêtements à se mettre.

On était très malheureux. Je n’osais pas m’approcher de ceux qui avaient encore leurs mères parce que je ne voulais pas qu’on me parle de fête. J’étais toujours sur mes gardes parce que j’étais très malheureuse. Mes autres frères et sœurs qui avaient encore leurs mères se réjouissaient à la veille des fêtes parce qu’ils auront de nouveaux habits le jour de noël et le jour de la nouvelle année. Quand ces deux fêtes arrivaient, il y avait un peu plus de nourriture que d’habitude mais comme toujours au moment des repas mes ainés se servaient en premiers et arrivé à notre tour, il ne restait plus rien dans la casserole.

Mon père face tout ça était incapable de lever le petit doigt pour une histoire de nourriture. Je lui disais toujours que je n’étais pas rassasié et il me donnait un peu du repas qu’on lui servait. Mais mes demis frères et sœurs n’étaient pas content.

Mon père avait en tout 36 enfants. En plus il en a adopté deux autres, et sans compter les cousins et cousines qui vivaient avec nous.

La grande cour familiale était composée de 5 chambres, d'un salon et de deux dépendances.