salut les amies, même si je parait ridicule, en vous racontant mon histoire c'est parce je veux ke certaines choses se sache, même si on est entre nous ici a parler de regime et  ke ça prend une autre voie, je m'excuse, j'ai envie de me faire enttendre et me faire comprendre

que l'on arrête de trouver des excuses a certaines personnes, ki on font du mal et ki vive tranquille, comme si rien ne s'était passé, moi je ne me supporte plus, je me sens salir et j'ai l'impression ke qu'un fait de ma vie un enfer parce ke je n'ai personne sur ki compter et personne pour me defendre la seule chose ke je veux aujourd'8 c'est k'on protège mes enfants parce qu'elles n'ont pas demander a venir au monde, je ne veux pas ke mes enfants puisses connaitre le quart de ce ke j'ai vecu, si un jour il arrivait ke je dois quitter ce monde, sachez ke j'ai trouvé des amies bien par ici, et ke le virtuel et le meilleur endroit pour se faire amies

pour celle ki auront l'ocasion de me voir demain evitez de me poser certaines kestions parce ke je sais ke la sortie sera superbe et nous ne devons pas gacher cette belle sortie avec de la tristesse

je vous aime car vous êtes bien relle dans mon coeur bisous

voici une petite suite du livre 

Le lendemain mon père est allé seul la voir. A son retour il nous a dit qu’il n’avait plus les moyens pour les frais d’hôpital. Donc on devait débrancher notre mère et notre grand père allait s’occuper d’elle au village avec des médicaments indigènes. Il me rassurait, me disait qu’elle allait vite se remettre. Ma mère a demander à nous voir avant de partir au village.

Ce jour là quand nous sommes arrivés, elle était très triste et avait les lames qui coulait sur ses joues. J’ai compris de suite que ce quelle avait était très grave. Mais je ne pouvais rien faire, j’étais trop petite pour m'opposer à la décision que mon père et mon grand-père maternel avaient prit.

Elle m'a dit de prendre soin de mon frère. Elle partait au village avec ma petite sœur parce qu’elle est trop petite pour être loin d’elle. Puis elle a ajouté qu'elle reviendrait quand elle sera guérie.

Une heure après nous sommes repartie à la maison avec notre père.

Deux jours après, un monsieur du village de ma mère est venu rendre visite à mon père.

Quand le monsieur est arrivé, mon père a dit à une de mes demi-sœurs de nous envoyer mon petit frère et moi dehors pour ne pas entendre ce qu’ils allaient dire.

Le lendemain mon père est allé seul la voir. A son retour il nous a dit qu’il n’avait plus les moyens pour les frais d’hôpital. Donc on devait débrancher notre mère et notre grand père allait s’occuper d’elle au village avec des médicaments indigènes. Il me rassurait, me disait qu’elle allait vite se remettre. Ma mère a demander à nous voir avant de partir au village.

Ce jour là quand nous sommes arrivés, elle était très triste et avait les lames qui coulait sur ses joues. J’ai compris de suite que ce quelle avait était très grave. Mais je ne pouvais rien faire, j’étais trop petite pour m'opposer à la décision que mon père et mon grand-père maternel avaient prit.

Elle m'a dit de prendre soin de mon frère. Elle partait au village avec ma petite sœur parce qu’elle est trop petite pour être loin d’elle. Puis elle a ajouté qu'elle reviendrait quand elle sera guérie.

Une heure après nous sommes repartie à la maison avec notre père.

Deux jours après, un monsieur du village de ma mère est venu rendre visite à mon père.

Quand le monsieur est arrivé, mon père a dit à une de mes demi-sœurs de nous envoyer mon petit frère et moi dehors pour ne pas entendre ce qu’ils allaient dire.