eh oui pas de travail ce matin ca fait du bien j'en ai profite dormi jusqu'a 9h30 ensuite fais le menage et repas poulet a la broche bien sure on ne mange pas la peau

ensuite cet apres midi je travaille mais pas longtemps heureusement car le temps me tape sur les nerf je suis assez speed ca ne joue pas sur mon moral heureusemant mais les nerfs a fleur de peau apres j'ai une course a faire

je crois qu'elle est blonde

apres je pense que je vais travaille un peu et ensuite ce soir gym donc la j'elimine mes kilos en trop

toujours motivee je vais faire fuire mes kilos nous devons toutes vaincre ces kilos qui nous pourrissent la vie allez les filles reveillez vous on va les virer tous ces kilos .bonne apres midi gros calin

Un couple avait 2 garçons, un de 8 ans et l'autre de 10 ans,

de vrais espiègles, il n'y avait rien à leur épreuve,

ils avaient fait à peu près tous les mauvais coups incroyables

qui avaient eu lieu dans leur petit village.

A chaque fois que quelque chose se passait dans le village,

les résidents savaient qui étaient les responsables.

La mère les avait punis, grondés, discuté avec

eux mais c'était peine perdue.

Le père, après avoir fait la même chose,

dit à sa femme:
"Qu'est-ce que tu dirais si on demandait au curé

de discipliner nos deux espiègles?"

Ils demandèrent donc au curé de discuter avec leurs enfants,

mais il devait leur parler un à la fois.

Donc le plus jeune se présenta au presbytère le matin,

le curé le fit asseoir et immédiatement lança au jeune:

"Où est Dieu?"

Aucune ! réponse, le curé répéta:

"Tu connais le Bon Dieu! Où est-il ?"

Toujours le silence.

Le curé exaspéré par le silence du jeune lança

cette fois-ci de sa grosse voix autoritaire:

"Pour la dernière fois, je te demande, où est Dieu?"

Le jeune se leva, pris ses jambes à son cou et sans s'arrêter

se sauva directement chez lui.

En arrivant, il prit son frère par le bras le tira jusque

dans le garde-robe ferma la porte et à bout de souffle lui dit:

"On est dans marde, ils ont perdu le Bon Dieu

et ils pensent que c'est nous autres.