C'est Nina, la soeur de Toto qui a des problèmes avec Mlle Dupond son institutrice, une vieille fille qui a tout de la pimbêche.
- Alors Nina, tes résultats sont lamentables, lui dit la maîtresse. Je vais te donner ce mot pour ta maman. Dessus, je lui écris que compte tenu des difficultés que tu éprouves en classe, il serait tout à fait indiqué que tu suives des leçons particulières.

Nina rentre chez elle et donne le mot à sa maman.
Le lendemain matin, lorsque les enfants entrent dans la classe, Mlle Dupond interroge la petite fille:
- Alors Nina, tu as donné mon mot à ta maman? Qu'est-ce qu'elle t'a dit?

Sans se démonter, la petite répond:
- Maman a dit que quand elle était petite, elle aussi était nulle à l'école, et ça ne l'a pas empêché d'épouser un polytechnicien.
Elle a aussi dit que sa soeur n'était pas meilleure qu'elle et qu'elle est quand même mariée avec le préfet. Et elle a ajouté que vous par contre, vous étiez certainement très bonne à l'école, et que pourtant vous étiez toujours vieille fille.

La scène se déroule au petit-déjeuner.
- Je ne veux plus aller à l'école. Personne ne m'aime. Les élèves me détestent et les profs aussi. Je veux rester à la maison.
- Pas question de te laisser aller, dans la vie, il faut faire des efforts.
- Donne moi deux raisons pour y aller.
- La première, tu as 52 ans. La deuxième, c'est toi le directeur!

La maman d'une jeune fille de 17 ans s'inquiète de savoir sa fille proche d'une éventuelle première relation sexuelle: sa fille pourrait tomber enceinte par exemple. Elle décide de parler de ses inquiètude au médecin de la famille.

Le docteur lui explique que les adolescents d'aujourd'hui sont très obstinés et n'importe quelle tentative visant à réfreiner sa fille aurait probablement comme conséquence la rébellion.
Il l'incite alors à pousser sa fille à prendre la pillule et jusque-là, de lui parler et de lui donner une boîte de préservatifs.

Plus tard, ce soir là, alors que sa fille est en train de se pomponner pour sortir en boite, la maman lui fait un bref topo sur les choses de la vie et lui remet une boîte de capotes.
La fille éclate alors de rire, prend sa mère dans ses bras et lui dit:
- Maman t'en fais pas! Tu n'as aucune raison de t'inquièter pour ça! C'est Jenifer ma petite amie!

Le fils:
- Papa, je dois faire une rédaction un peu spéciale pour l'école. Je peux te poser une question ?

Le père:
- Bien sûr fiston. Quelle est la question?

Le fils:
- C'est quoi, la politique?

Le père:
- Eh bien, la politique, c'est la chose publique, et pour te faire comprendre ce qu'est la chose publique, il n'y a rien de mieux que de prendre exemple sur le fonctionnement de la vie ici à la maison. Écoute et suis moi bien:
Je suis un salarié, donc appelons moi "le Capitalisme". Ta mère est l'administrateur d'argent, donc nous l'appellerons "le Gouvernement".
Nous nous occupons de tes besoins, donc nous t'appellerons "les Gens".
Nous appellerons Kathy la jeune fille au pair, "le Prolétariat" et nous appellerons ton petit frère qui vient de naître "l'Avenir".
Est-ce que tu me suis jusqu'ici, fiston? Avec ce raisonnement, tu va pouvoir faire ta rédaction sur la politique.

Le fils:
- Je ne suis pas vraiment sûr, papa. Mais je te promets d'y réfléchir cette nuit.

La nuit, réveillé par les cris de son petit frère, le petit garçon se lève et va voir ce qui se passe. En découvrant que le bébé avait sali sa couche, il va voir ses parents dans leur chambre et trouve sa mère profondément endormie. Il va ensuite dans la chambre de la jeune fille au pair, et jetant un coup d'oeil par le trou de la serrure, il voit son père dans le lit de la fille dans la posture bien connue de la "levrette".
Le petit garçon frappe à la porte de la chambre pour alerter son père, mais celui ci, pris dans le feu de l'action ne l'entend pas.
Et donc le petit garçon retourne dans sa chambre et tente de se rendormir.

Le matin suivant il annonce à son père.

Le fils:
- Papa, maintenant je pense que j'ai compris ce que c'est que la
Politique!

Le père:
- Bravo fiston! Alors vas-y, explique moi ça avec tes propres mots?

Le fils:
- Eh bien, papa, tandis que le Capitalisme encule le Prolétariat, le
Gouvernement dort à poings fermés, les Gens sont complètement ignorés et l'Avenir est dans la merde

j'espere que vou avez bien ri demain sur mon blog derniere partie consacre au petit dej les petits dej sales pour celles qui aiment le sale bisou a toutes gros calin du soir