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Blog de m3carlota

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  • Zermati 2
    publié le 30/05/2008 à 19:06

    Tres schématiquement cette méthode consiste à :
    - ne manger que si l'on a faim (si l'on a pas faim, on ne mange pas, quitte à sauter un repas)
    - s'arrêter de manger dès que l'on a plus faim
    - arrêter de penser qu'il y a des aliments qui font grossir et d'autres maigrir : ici on a le droit de manger ce qu'on désire (même du chocolat, des gâteaux, des tartines de rillettes...) si l'on a faim bien sûr.

    Avant de vous exposer la pratique, je pense nécessaire de préciser quelques notions. En premier lieu, il est important de ne pas confondre l'approche biopsychosensorielle avec une méthode amaigrissante. Il s'agit d'un modèle explicatif de la régulation du poids. La pratique qui en est issu permet à l'individu de retrouver son set-point, le poids pour lequel il est génétiquement programmé. Et par conséquent, le seul poids qu'il lui soit possible de maintenir spontanément sans se restreindre. Autrement dit, pour passer au-dessous de ce poids, le sujet devra accepter de manger moins qu'il n'a faim et, par conséquent, de s'affamer le reste de sa vie. La plupart des gens sont capables de le supporter plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Puis très vite se remettent à manger à leur faim et reprennent du poids, décrivant le fameux effet yoyo. Les rares personnes parvenant à s'affamer plus longuement payent à leur poids un tribut psychologique et physique dont elles n'avaient sans doute pas mesuré à l'avance toutes les conséquences.
    Ainsi l'approche bio-psychosensorielle permettra à ceux qui se trouvent au-dessus de leur set-point de maigrir. Ceux qui se trouvent en-dessous, grossiront. Et ceux qui se trouvent déjà à leur set-point ne changeront pas de poids. Tous tenteront de se réconcilier avec eux-même. La démarche que nous allons entreprendre vous permettra de situer votre poids actuel par rapport à votre set-point, sachant que ce dernier ne correspondra pas obligatoirement au poids que vous souhaiteriez atteindre. Et que le fait de conserver quelques rondeurs, voire même un important surpoids n'est pas la preuve que l'on peut encore maigrir sans affamer son corps.
    En second lieu, la restriction cognitive est un puissant agent dérégulateur des sensations alimentaires. Mais elle n'est pas le seul. La relation avec la nourriture produit des émotions plus fortes que les sensations alimentaires. Cette relation, qui autrefois était peut-être sereine, s'est progressivement dégradé en même temps que l'individu a voulu se servir de ses aliments pour transformer son corps. Pourquoi est-il si insupportable de ne pas posséder un corps conforme à ce qu'on en attend ? Voilà qui nous poussera à nous interroger sur la relation avec le corps. En quoi notre corps nous situe-t-il par rapport aux autres ? Voilà qui nous poussera à nous interroger sur l'utilisation que nous faisons de notre corps dans les relations que nous entretenons avec les Autres ? Bien sûr, au-delà du corps ou de la nourriture, chacun possède une histoire personnelle qui peut aussi générer des émotions dérégulatrices. Mais nous n'explorerons pas ces voies qui sont trop affaires individuelles.

    Enfin, en dernier lieu, quelques mots sur les principes de la perte de poids. Pour maigrir, tous les nutritionnistes sont au moins d'accord sur un point, il n'existe pas d'autres moyens que de manger moins. Il ne s'agit pas de manger ni mieux ni autrement mais tout simplement moins de calories.
    Jusqu'ici, pour y parvenir, on peut affirmer, sans risque de se tromper, que tout a été essayé, y compris la ligature des mâchoires. Mais au bout du compte, tout se résume simplement à ceux qui ont préconisé de retirer les glucides et à ceux qui ont préconisé de retirer les lipides. Force est de constater que quoique l'on retire les résultats sont rigoureusement identiques. Tout le monde maigrit. Ou presque. Car si, en effet, manger moins est une condition nécessaire pour tout le monde, elle ne semble pas toujours suffisante pour certains. Pour manger moins, les régimes imposent leurs règles : limiter les quantités, réduire ou supprimer telle catégorie d'aliments, respecter un nombre déterminé de repas, ne pas manger entre les repas, attribuer des points aux aliments, ne pas mélanger certains aliments entre-eux, etc. Finalement, soyez-en assurés, tout cela ne sert qu'à faire manger moins de calories, quoiqu'en disent les promoteurs de chaque méthode. Et tout cela revient à préconiser du contrôle et de la restriction cognitive, dont nous avons vu les effets.

    Soyons honnêtes et reconnaissons-le d'emblée : nous aussi, nous tenterons de manger moins. Cela suppose donc de répondre à quelques questions :
    — Est-il possible de manger moins ?
    Oui, il est possible de moins manger quand on mange plus que sa faim. Ceux qui se nourrissent à leur faim, ne pourront pas réduire sauf à s'affamer. Ce qui, sur une longue durée, n'est pas une solution envisageable. La première étape consistera donc à s'assurer de l'exactitude des sensations que l'on perçoit. Vous verrez que les choses ne sont toujours aussi évidentes qu'elles le paraissent.

    — Est-ce possible sans que cela ne devienne de la restriction cognitive ?
    La restriction cognitive suppose que l'on instaure un contrôle volontaire dans sa manière de manger et que l'on s'en remette à des règles externes (prendre trois repas par jour, ne pas en sauter, limiter les aliments gras, etc). Or, tel n'est pas le cas de l'approche bio-psychosensorielle qui se propose de restaurer les capacités de régulation de l'individu. Le rendant ainsi apte à manger ce qu'il veut en se fiant à un système physiologique inconscient fondé sur des repères internes (faim, rassasiement, satiété) et capable d'ajuster les apports caloriques aux dépenses énergétiques.

    — Et si cela est possible, qu'allons-nous retirer ?
    Plutôt que de retirer arbitrairement tel ou tel aliment, nous retirerons ceux qui sont objectivement en trop. C'est-à-dire, ceux qui sont consommés sans faim. Nous retirerons les aliments dont nous n'avons pas besoin. J'entends déjà vos objections : « On ne mange pas seulement quand on a faim », « Que faites-vous de la gourmandise ? », etc. Je sais tout cela et je vous promets que nous examinerons toutes ces situations plus loin.
    Pour conclure, je dirai enfin qu'ici nos objectifs sont très ambitieux. Il ne s'agit pas seulement de maigrir (vous savez déjà le faire), mais de se guérir d'un vrai problème. Vous devrez donc accepter de vous accorder le temps de cette guérison. Cette approche vous permettra de découvrir la vérité de votre poids. Celui pour lequel vous avez été programmé génétiquement, le seul que vous pourrez maintenir sans vous affamer. Rien ne dit que cette vérité vous fera plaisir. Si vous vous sentez incapable de l'affronter, il est encore temps d'arrêter votre lecture et de vous rabattre sur un bon vieux régime.
    Nous allons donc procéder en trois étapes. Les deux premières nous ferons travailler sur la relation avec la nourriture et la troisième nous fera sortir du champ de la nourriture et aborder le problème de ces émotions qui font manger.


    I - PREMIERE ETAPE : JE RETROUVE MES SENSATIONS ALIMENTAIRES.
    Nous allons décomposer cette première étape en deux périodes. La première consistera à seulement observer sa manière de manger pour mieux la comprendre. La seconde à tenter de manger selon sa faim.

    A - Première période : 15 jours pour s'observer et commencer à comprendre
    Voici les trois premières mesures à appliquer dans la première période :
    Tenir un carnet alimentaire.
    Manger plus lentement.
    Manger sans rien faire d'autre.

    Cette première étape vous prendra quelques semaines durant lesquelles vous utiliserez un carnet alimentaire pour y consigner vos observations sur votre manière de manger. Voici le modèle que je vous propose d'utiliser.

    HEURE
    LIEU
    AVEC QUI

    QUOI
    ET
    COMBIEN

    COMMENTAIRES

    * En faisant quoi ?

    ...

    * Faim et Satiété
    * Envies de manger
    * Situations ou personnes qui vous incitent à manger plus.


    Inscrivez dans la première colonne le contexte dans lequel se déroule votre repas ainsi que toute autre prise alimentaire. L'heure, le lieu et les personnes avec lesquelles vous vous trouvez. Si pendant que vous mangez, vous menez simultanément une autre activité notez-là également : télévision, lecture, travail, radio, ménage... Dans la seconde colonne, inscrivez les aliments que vous avez consommés et leurs quantités approximatives, en unité, en cuillère à soupe, en centimètre, en gramme... Dans la dernière colonne, vous rapporterez comment le repas s'est déroulé. Il s'agit là d'apporter certaines informations précises. Avant de commencer à manger, aviez-vous faim ? Une fois le repas terminé, vous sentiez-vous correctement rassasié ou aviez-vous l'impression d'avoir trop mangé, ou pas assez? Avez-vous renoncé à manger des aliments dont vous aviez envie ? Ces envies peuvent porter sur la nature des aliments (je voulais prendre des pommes de terre sautées mais j'ai choisi les courgettes) ou sur la quantité des aliments (j'aurai voulu me resservir mais je m'en suis empêché). Enfin, vous tenterez de repérer toutes les situations dans lesquelles vous avez conscience de trop manger. Il peut s'agir de situations festives ou conviviales ou d'émotions négatives, de fatigue...
    Dans le même temps, pour mieux vous observer, je vous suggère de vous consacrer le plus complètement possible à vos repas en vous astreignant à ne rien faire d'autre pendant que vous manger, à prendre votre temps chaque fois que cela sera possible et à manger plus lentement.
    Tous les exercices dont nous nous servirons sont de la plus grande simplicité. Et pourtant, vous verrez que certains vous mettront en grande difficulté. C'est précisément leur raison d'être. Ils sont destinés à jouer le rôle de révélateur et faire apparaître les obstacles qui vous empêchent de manger selon votre faim. Par conséquent, ne vous inquiétez pas d'échouer sur ces exercices, c'est justement la mise en évidence de vos difficultés et leur compréhension qui vous feront le mieux progresser.

    Premières observations
    Après les deux premières semaines d'observation, il vous faut maintenant analyser ce carnet. Voici quelques questions simples auxquelles vous essaierez de répondre.

    — Avant les repas, vous êtes-vous parfois rendu compte que vous n'aviez pas faim ?
    — La faim et l'envie sont-elles pour vous des sensations distinctes ?
    — Après les repas, vous êtes-vous parfois rendu compte que vous aviez trop mangé ?
    — Dans ce cas, en avez-vous pris conscience au cours du repas ou seulement après ?
    — Au cours de cette période, avez-vous éprouvé des envies de manger auxquelles vous n'avez pas voulu céder ?
    — Quelles sont les circonstances dans lesquelles vous avez trop mangé ?

    Avant de rechercher les situations dans lesquelles vous avez trop mangé, il serait bon que nous nous mettions d'accord sur ce que nous entendons par là. Trop manger signifie simplement manger sans faim. Ce que l'on observe schématiquement dans deux circonstances. Vous pouvez, en effet :
    Commencer à manger sans faim.
    Continuer à manger au-delà de votre faim

    Les situations les plus fréquentes ont trait à la restriction cognitive ou à des émotions d'autre nature.
    Voici une liste qui n'est pas exhaustive, mais qui peut vous donner quelques pistes.
    1- L'exposition aux aliments : tant que les aliments ne sont pas sous vos yeux, vous n'y pensez pas. Vous ne pouvez vous empêcher de les manger s'ils passent à votre portée. Le seul fait de savoir qu'ils sont là peut parfois vous mettre en transe.
    2- La transgression des interdits alimentaires : vous vous empêchez de manger certains aliments dont vous pensez qu'ils vous feront grossir. Mais, dès que vous commencez à en manger, vous ne pouvez plus vous arrêter.
    3- Pour respecter des règles alimentaires : vous vous forcez à manger le matin pour prendre un petit-déjeuner, pour ne pas sauter un repas, pour finir le repas par un laitage...
    4- Peur d'avoir faim : vous ne mangez pas parce que vous avez faim, mais par crainte d'avoir faim plus tard ou de craquer sur des aliments « interdits ».
    5- Peur de manquer : vous ne pouvez vous empêcher de finir vos assiettes, alors même que vous n'avez plus faim. Vous vous comportez comme si on allait vous retirer votre assiette ou si vous n'alliez plus manger demain.
    6- L'insatisfaction à la fin du repas : vous vous levez souvent de table en n'ayant plus faim, mais avec la sensation d'un manque. Généralement une envie de sucré que vous tentez de réprimer, mais que vous pouvez parfois satisfaire.

    Situations liées à d'autres émotions.
    Les émotions négatives vous font manger. Dans ce cas, il vous sera très utile d'essayer de nommer ces émotions (colère, tristesse, déception, frustration, anxiété...) et de rapporter les circonstances de leur apparition.

    Les premières difficultés.
    Certaines personnes ne parviennent pas à tenir le carnet alimentaire. Ce dernier se transforme en un miroir dans lequel il ne fait pas toujours plaisir se regarder. Si c'est le cas, n'en faites pas toute une affaire. Ne pas écrire n'empêche pas de réfléchir et de se poser des questions. Commencer vos observations et vous essaierez de reprendre le carnet alimentaire un peu plus tard.

    Certaines personnes vont prendre conscience qu'elles ne peuvent manger sans faire autre chose en même temps. Elles doivent en chercher les raisons. Celles-ci peuvent être matérielles. Leur vie professionnelle, familiale, sociale est si envahissante qu'elle ne leur laisse plus le temps de manger. Est-ce un choix de leur part ou subissent-elles cette situation ? D'autres ressentent le besoin de s'occuper durant les repas pour échapper à des pensées ou des émotions trop pénibles : la culpabilité de manger des nourritures interdites, la tristesse de prendre ses repas dans la solitude, le souvenir de scène de repas difficile durant leur enfance...
    Quoi qu'il en soit, toutes ces difficultés ont des raisons qu'il est important de comprendre pour mieux les surmonter.

    — Vous n'avez jamais faim avant de manger. Il est bien possible que le repas précédent soit trop proche ou trop copieux pour laisser à la faim le temps de réapparaître.
    — Vous avez toujours faim avant de manger. Les personnes en état de restriction calorique réelle et donc de carence énergétique peuvent effectivement se trouver dans une telle situation. Pour toutes les autres, il est plus probable qu'elles ne sachent pas distinguer leur faim de leur envie de manger.
    — Vous ne différenciez pas la faim de l'envie de manger. Si vous n'êtes pas certains de ce que vous ressentez, il vous suffira de sauter un ou deux repas et d'attendre que les premiers signes se manifestent. Vous ne les oublierez plus.
    — Après le repas, vous n'avez jamais l'impression d'avoir trop mangé. Là encore, les personnes en état de carence énergétique peuvent effectivement se trouver dans cette situation. Pour les autres, il est bien possible qu'elles ne sachent pas reconnaître leur sensation de rassasiement.
    — Vous n'êtes jamais rassasié avant d'avoir fini votre assiette. Vous n'avez donc aucune raison de laisser de la nourriture. Là encore, cela semble assez douteux. Il n'existe, en effet, aucune raison pour que votre satiété coïncide systématiquement avec la fin de votre assiette, surtout quand vous n'en avez pas vous-même déterminé les portions. Votre faim devrait parfois vous conduire à manger en deçà ou au-delà des portions servies. Il est bien plus probable que vous ne perceviez pas le rassasiement.
    — Après le repas, vous avez l'impression d'avoir trop mangé. Il est possible que vous en preniez conscience au cours du repas, mais que cela ne suffise pas à vous arrêter. Il est également possible que vous ne le réalisiez qu'une fois le repas terminé, vos sensations ne vous ont pas alerté à temps.
    — Après le repas, vous vous dites que vous avez trop mangé. Vous vous dites que vous avez dû trop manger, mais vous ne le ressentez pas. C'est une position mentale, caractéristique de la restriction cognitive. Vous établissez des quantités que vous ne devez pas dépasser ou vous vous imposez de ne manger que certains aliments. Vous pensez donc avoir trop mangé quand vous transgressez vos règles.
    — Vous avez faim mais n'éprouvez aucune envie de manger. La disparition du désir de manger est souvent interprétée comme un symptôme dépressif. Mais il peut aussi apparaître comme un symptôme de la restriction cognitive. Vous éprouvez la faim mais les aliments qui vous tenteraient vraiment vous sont interdits car vous pensez qu'ils vous feront grossir. En revanche, ceux que vous vous obligez à manger ne vous font aucunement envie.
    — Vous n'avez jamais l'impression de manger sans faim. Vous avez toujours faim avant de manger et vous n'avez jamais l'impression d'avoir trop mangé quand votre repas est fini. En somme, vous êtes convaincus de manger juste à votre faim. La situation est plutôt embarrassante et peut s'interpréter de différentes façons selon l'évolution de votre poids :
    a. Vous maigrissez. Vous avez donc sans doute raison. Votre alimentation n'excède pas vos besoins et vous ne mangez qu'occasionnellement trop.
    b. Vous grossissez. Votre alimentation excède donc vos besoins. Il est certain que vous mangez trop sans en avoir conscience. Vos sensations sont très imprécises, vous ne pouvez pas vous y fier.
    c. Vous êtes stable. Soit votre alimentation excède encore vos besoins et, peut-être, ne le réalisez-vous pas. Dans ce cas, sans être très excessive votre alimentation reste suffisante pour entretenir un surpoids. Soit, voilà la mauvaise nouvelle, votre alimentation correspond à vos besoins et le poids que vous avez actuellement correspond à celui que vous devrez conserver. Vous ne pourrez trancher la question qu'en poursuivant les exercices sensoriels.
    B - Deuxième période : manger selon sa faim
    Au terme de cette période d'observation, on peut assurer que vos sensations alimentaires manquent de précision ou que vous ne pouvez pas à en tenir compte. Vous mangez alors que vous savez que vous n'avez pas faim ou vous êtes incapables de vous arrêter quand vous êtes rassasié. Vos sensations ne jouent donc plus leur rôle qui est de vous indiquer quand commencer et quand vous arrêter. Nous allons faire en sorte de leur rendre leur emploi. Voici donc un exercice qui consistera pour vous à tenter de manger selon votre faim.






    (1) commentaires



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  • angele007 
    publié le 30/05/2008 à 22:03
    slt tres interessant le document que t'as mis en ligne mais je reste comm perplexe lol on peut manger ce qu'on veut !!! genre à midi si je mange des gâteaux au lieu d'une salade je vais pas grossir? lol
    tu fais ce régime? moi jefais le 1200 sans féculents je mange des salades surtt avec cette chaleur sa me convient parfaitement lol
    pour le sport oui c vrai qu'aujourd'hui je me suis pas mal dépensée d'ailleurs j'ai les pieds en compote lol et j'ai eu un coup de soleil haha trop bien le premier coup de soleil de la saison faut que je fasse un veux lol
    bisoussssssssss

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