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La belle histoire d'une femme au grand coeur : Monique, la compatriote d'Auyama et de Romarin ...
publié le 09/10/2013 à 21:33 |
(photo Internet)
En 1968, Monique arrive au Tchad pour travailler en tant qu'animatrice de Jeunesse dans le cadre des Églises évangélique. Un jour, elle se voit confier deux nouveau-nés, des jumeaux, dont la mère était morte en les mettant au monde. La tradition animiste prétend que l'esprit mauvais qui a fait mourir une mère à l'accouchement habite l'enfant qui est donc condamné à disparaître, sinon la cohésion du groupe familial ou du village est menacée... Ce premier contact avec des rites aussi cruels la détermine à sauver ces enfants. Rapidement d'autres bébés lui sont amenés, parfois de loin. Elle s'organise, dans le plus grand dénuement.
Un jour, sur la route de Koumra passe Jean-Pierre qui « fait l'Afrique » en moto. Il restera à Koumra pour donner un coup de main à Monique qu'il épousera quelques mois plus tard. La petite cellule se structure, grandit et devient un orphelinat appelé BETSALEEL. Au début quelques amis leur envoient des dons, colis et argent. Et puis, un système de parrainage est mis en place : une famille ou un groupe s'engage pour un enfant en particulier, le prend en charge, le suit dans sa croissance et reçoit des nouvelles, chaque année une nouvelle photo... bref établit avec lui des liens affectueux même s'ils sont lointains Les années passent... En 1983, une maison d'accueil (Eben-Ezer) est construite à Bessada (à 20km de Koumra). C'est dans ce village qu'un collège fonctionne dans de bonnes conditions et que nos collégiens poursuivent leur scolarité.
Jean-Pierre et Monique décident de faire plus que de nourrir, scolariser et éduquer leurs enfants : une ferme est créée à Monkara à 12km de Koumra. Ce centre de formation agricole permet, d'une part d'approvisionner l'orphelinat en légumes et d'autre part de former des jeunes à l'agriculture, l'élevage
Ils montent des ateliers d'apprentissage. Ils ont accueilli 146 enfants. Ils sont aidés par du personnel tchadien qu'ils salarient et par des jeunes volontaires venus de France et de Suisse pour une période plus ou moins longue, toute l'équipe expatriée travail au pair.
En 1988, ils créent une nouvelle structure, un P.M.I., pour secourir les orphelins en les maintenant dans leur famille, éduquer les mères qui rencontrent beaucoup de problèmes au moment du sevrage de leur enfant, et récupérer les enfants dénutris. Le but est d'améliorer l'état nutritionnel et la santé des enfants qui sont les « bras de demain ».
En 1988, ils créent une nouvelle structure, un P.M.I., pour secourir les orphelins en les maintenant dans leur famille, éduquer les mères qui rencontrent beaucoup de problèmes au moment du sevrage de leur enfant, et récupérer les enfants dénutris. Le but est d'améliorer l'état nutritionnel et la santé des enfants qui sont les "bras de demain".
En 1991, Monique et Jean-Pierre montent à N'Djaména, à la demande du Ministre des affaires sociales. Pour cette capitale qui comptait à l'époque 800.000 habitants, il n'existait aucune structure d'accueil pour les enfants orphelins et abandonnés. C'est ainsi qu'ils ont mis en route un deuxième orphelinat appelé BÉTHANIE. Ce centre situé à 10km de la ville, abrite 65 enfants. Ici, les enfants y sont accueillis jusqu'à 6 ou 7 ans après quoi ils sont réinsérés dans leur famille tout en étant suivis sur le plan médical et scolaire. Comme à Koumra, un Centre de Protection maternelle et infantile (P.M.I.) a également été ouvert à la population environnante. Ce centre vise les enfants de 0 à 3 ans en général, particulièrement les orphelins, les malnutris, les laissés pour compte...
C'est dans la partie tropicale sèche du sud, précisément dans la ville de Koumra, une petite ville de 20.000 habitants que se trouve la « Maison d'enfants BETSALEEL ».
La deuxième maison « BETHANIE » est implantée à N'Djaména, capitale de la République du Tchad (ville de près d’un million d’habitants à l'heure actuelle.
Je ne connais pas le site de Betsaleel à Koumra mais je connais bien celui de Béthanie qui est dans un faubourg de N’Djaména pour y avoir été maintes fois avec mes amies apporter des vivres, des vêtements, des jouets et médicaments.
Que c’est émouvant de prendre un enfant dans ses bras, ils sont si beaux et souriants ...
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Je ne peux te remercier sur ton blog car tu n'en as pas encore.
Amicalement,
Bonne journée
Moi aussi j'ai une amie qui avait parrainé un enfant au Laos. Il envoyait régulièrement des nouvelles et des photos. Mes amis sont allés visite à cet enfant devenu homme et ... devenu moine grâce à eux. Il leur en ai très reconnaissant.
Je pense aussi qu'il faut être bien informé avant de s'engager car malheureusement il y a toujours des gens mal intentionnés qui profitent de la naïveté des autres.
Bisous,
j'ai rectifié !
J'ai une amie qui parraine un enfant ,elle reçoit régulièrement des nouvelles .
Je dois avouer que j'avais des doutes sur cette association .....
Bon jeudi!
Bisous
*mimi 16*.
J'aime beaucoup tes articles
bonne soirée
Bisous