Comme je suis plus habituée aux dromadaires du Sahel, curieuse je me suis attardée devant l’enclos que le couple de chameaux de Bactriane partage avec les chevaux sauvages.

         Le chameau est plus petit et trapu que le dromadaire ce qui explique qu’il est moins rapide à la course que le dromadaire, qui court jusqu'à 20 km/h au maximum sur de courtes durées. Les deux se différencient par la bosse, une pour le dromadaire et deux pour le chameau. Le pelage pour le chameau de Bactriane est plus long que celui du dromadaire.

         Mis à part ça,  ces deux là offrent les mêmes caractéristiques pour affronter les éléments dans leur pays d’origine d’Asie pour l’un, d’Afrique pour l’autre :

                        Cils  longs, sur deux rangs, pour protéger l'œil de la poussière et du sable du désert

                       Jambes assez courtes pour marcher sur un terrain accidenté et rocailleux.

                        Plante des pieds formée de coussinets élastiques pour marcher dans le sable du désert.               

                        Bosse(s) droite(s) qui retombera(ont) lorsque le dromadaire(chameau) n’aura pas mangé, ou bu, durant plusieurs jours.

            Le chameau de Bactriane est déclaré en danger critique d’extinction. Le parc animalier et végétal a pour mission : la protection des espèces et la présentation des animaux dans leur écosystèmes.

            Pour la petite note gaie : Au carnet rose de Trégomeur un adorable chamelon est né.