Cameroun Nord, un paysage extra-terrestre, les Kapsiki
La route du retour qui serpente dans un paysage de pics volcaniques, à la nuit tombée, nous permet d’admirer les pittoresques villages aux toits pointus faits de tiges de mil, ainsi que le travail des cultures en terrasses et la minutie avec laquelle les agriculteurs ont strié la montagne de cultures de mil et de sorgho sur de vastes échelles.
Les pics de lave proviennent de cheminées de volcans. Ils se dressent à perte de vue en un haut plateau. Le pic de Rhumsiki, appelé aussi Mchirgué en est le plus haut, il atteint 1224 mètres. Depuis qu’une femme a réussi l’ascension de ce pic, les femmes de sa tribu ont le droit de choisir leur mari.
Nous nous arrêtons pour admirer le coucher du soleil, les aiguilles rocheuses et la savane environnante prennent des couleurs ocre et vermillon. Nous sommes transportés, fascinés, dans un paysage extra-terrestre et le vent de sable aidant ajoute encore plus de mystère à ce spectacle lunaire.
Nous n’aurons pas le temps de visiter la chefferie d’Oudjilla de la tribu des Podokos nous l’avons déjà visitée. Il faut parcourir 7 km à pied, aller et retour, pour accéder au village traditionnel d’Oudjilla, véritable labyrinthe. Cette chefferie est vieille de plus de 200 ans. Le saré est perché au sommet de la plus haute colline et protégé par de hautes murailles comme pour protéger ses croyances animistes. Le chef a 50 épouses et chacune d’elles disposent personnellement d’une case avec cuisine, chambre et grenier.
Dans la chambre de la première épouse, sous son lit, se trouve la tombe du père du chef. Coiffées de leur bonnet de perle, et faucille en main les femmes réveillent, chaque matin leur chef de mari.
Au mois d’avril, le jour de la fête de la tribu, le bœuf sacré gardé pendant des mois dans une remise sera sacrifié.
occupe encore une place primordiale dans la vie des ethnies. Il est à la fois le gaLe chef traditionnel rant de la vie coutumière, religieuse et spirituel.
Cameroun Nord, un paysage extra-terrestre, les KapsikiLa route du retour qui serpente dans un paysage de pics volcaniques, à la nuit tombée, nous permet d’admirer les pittoresques villages aux toits pointus faits de tiges de mil, ainsi que le travail des cultures en terrasses et la minutie avec laquelle les agriculteurs ont strié la montagne de cultures de mil et de sorgho sur de vastes échelles.Les pics de lave proviennent de cheminées de volcans. Ils se dressent à perte de vue en un haut plateau. Le pic de Rhumsiki, appelé aussi Mchirgué en est le plus haut, il atteint 1224 mètres. Depuis qu’une femme a réussi l’ascension de ce pic, les femmes de sa tribu ont le droit de choisir leur mari.Nous nous arrêtons pour admirer le coucher du soleil, les aiguilles rocheuses et la savane environnante prennent des couleurs ocre et vermillon. Nous sommes transportés, fascinés, dans un paysage extra-terrestre et le vent de sable aidant ajoute encore plus de mystère à ce spectacle lunaire.Nous n’aurons pas le temps de visiter la chefferie d’Oudjilla de la tribu des Podokos nous l’avons déjà visitée. Il faut parcourir 7 km à pied, aller et retour, pour accéder au village traditionnel d’Oudjilla, véritable labyrinthe. Cette chefferie est vieille de plus de 200 ans. Le saré est perché au sommet de la plus haute colline et protégé par de hautes murailles comme pour protéger ses croyances animistes. Le chef a 50 épouses et chacune d’elles disposent personnellement d’une case avec cuisine, chambre et grenier.Dans la chambre de la première épouse, sous son lit, se trouve la tombe du père du chef. Coiffées de leur bonnet de perle, et faucille en main les femmes réveillent, chaque matin leur chef de mari.Au mois d’avril, le jour de la fête de la tribu, le bœuf sacré gardé pendant des mois dans une remise sera sacrifié.
Dans la chefferie il y a aussi la pièce réservée à la punition. Dedans : deux grosses pierres...
Les femmes s'organisent ensemble pour les travaux des champs, et autres, et en principe tout se passe bien. Elles n'ont pas l'air de se plaindre. Elles sont 50 et préfèrent leur destin à celui des femmes qui sont 3 ou 4 épousées pour un mari. Dans cette dernière situation les avis sont partagés, certaines disent que c'est mieux car lorsque la plus jeune reçoit des bijoux le mari doit satisfaire de la même façon ses autres époouses et puis elles peuvent se partager les taches ménagères. D' autres ne sont pas d'accord car les temps ont changé, les femmes ont évolué et les hommes pestent contre la télévision et nos moeurs d'occidentaux..
Je sais bavarder pendant des heures, mais pour m'imprégner de la nature je sais retenir mon souffle ...
Rien que 50 épouses pour le chef tout seul : dis donc, il doit avoir une sacrée santé cet homme, et s'il y a des chamailleries entre toutes ces dames, que fait-il au milieu de cette meute ?
je disais à une de nos amies que je n'aimais pas marcher en parlant parce qu'après je n'avais plus de souffle. De toutes façons je n'ai personne pour marcher avec moi. Tant pis !
grosses bises
moi je me suis coincé le cou ouille ouille
sinon moi je suis allée au sénégal il y a 2 ans
bonne soirée
bisous
bonne soirée merci bisous je copie tes articles