D'où la rumeur :
on a vu des mannequins, la nuit, traverser les vitrines et se promener de boutique en boutique. Dès lors, ils furent colonisés et exploités par les grands magasins. Mais l'heure de la révolte a sonné...elle va durer 10 jours.
ConceptRoyal de Luxe développe un autre concept de rapport avec le spectateur. Jean-Luc Courcoult continue à raconter des histoires à la ville, mais, cette fois, ce n'est pas le spectacle qui met le public en situation, mais le spactateur qui se dépace et qui va suivre au jour le jour l'épopée de vrais mannequins de vitrines.
AttentionIl ne s'agit ni d'une exposition ni d'une animation. "C'est un vrai spectacle : les mannequins, c'est nous. 170 visages différents, qui ressemblent aux membres de la troupe.
Des corps, des mains qu'on peut articuler. On veut toucher le coeur des gens. Il y a un grand travail de théatre derrière tout ça."
RévolutionIl ne faut pas confondre révolte et révolution. Si on suit bien Jean-Luc Courcoult, on n'assite pas ici à une révolution solidaire, mais à une révolte solitaire :
"les mannequins sont un peu comme nous, ils ont du mal communiquer".le rôle de l'artiste
C'est de mettre en avant des contradictions et de poser des questions. C'est surtout de raconter une histoire, "pas un feuilleton, mais des morceaux de légendes".
En toile de fond on repérera tout de mpeme des interrogations sur l'identité, le clonage, l'image du corps renvoyée par la pub...
Sniper.
Dans l'histoire,
un sniper vient tuer les mannequins qui se révoltent pas. Le tireur embusqué se cache dans les vitrines.
Le fait d'animer ces personnages de celluloïd
Bon Dimanche et bisous
merci pour tes coms ma belle !!
passes un bon dimanche
gros bisous de béatrice