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Blog de guadeloupe

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  • 25 ans .................les chercheurs identifiaient le SIDA." Poté chapeau, pas ni bobo!!!!!!!!!!!
    publié le 20/05/2008 à 20:51

     

    Hier, à l’occasion d’un colloque
     
    à
     
    Paris pour le 25e anniversaire
     
    de
     
    l’identification du virus du sida,
     
    des
     
     spécialistes du monde entier
     
    sont venus faire part de leurs
     
    regrets concernant la lenteur
     
    des
     
     progrès face à l’épidémie et ont
     
    présenté leurs nouvelles pistes
     
    de
     
     recherche.
     
     
    25 ans, déjà, que le virus du Sida (VIH) a été identifié par une équipe française associant des chercheurs de l’Institut Pasteur et des scientifiques et cliniciens de l’Assistance Publique… et 25 ans, encore, qu’il continue de tuer. À l’occasion de ce bien triste anniversaire, des centaines de chercheurs du monde entier sont venus, hier, à l’Institut Pasteur de Paris, pour participer et assister à un colloque de trois jours présentant, notamment, les diverses pistes de recherche visant à éradiquer le VIH.
    « Cet anniversaire n’est pas une célébration mais une commémoration et un regard porté vers l’avenir  » a annoncé la directrice général de l’Institut Pasteur, Alice Dautry, à l’origine de cette conférence avec l’Agence nationale de recherche sur le Sida et les hépatites virales (ANRS).
     
    De la difficulté de mettre au point un vaccin

    « Pourquoi est-il si difficile de mettre au point un vaccin anti-VIH ? Parce qu’il existe trop de variantes du virus : dans une seule personne atteinte il y a plus de variations que dans une épidémie mondiale de grippe. Des recherches fondamentales doivent être encore menées pour connaître finement les mécanismes de l’infection par le virus du sida et ainsi avancer » a ainsi souligné Gary Nabel, du Centre de recherche sur les vaccins du National Institutes of Health (NIH), aux Etats-Unis. Actuellement, seule une poignée de candidats vaccins ont été testé à « grande échelle » sur des individus volontaires, tandis que des dizaines ont été expérimentés sur des animaux, également sans grand succès. « Pour éradiquer le sida, les chercheurs ont étudié plusieurs possibilités visant à introduire un vaccin au cœur des cellules infectées : le NIH a par exemple, a utilisé un des virus du rhume (l’adénovirus) comme « vecteur » pour transporter des protéines du VIH au cœur des cellules et ainsi les immuniser contre le virus. Mais 50% de la population ayant déjà été infectée par l’adénovirus, la plupart des individus ont développé des anticorps contre ce vecteur et ce vaccin ne s’est donc pas révélé efficace lors des essais  » a expliqué Jean-François Delfraissy, directeur de l’ANRS.
     
    De nouvelles pistes de recherche

    Tout ce pan de recherche a donc échoué, mais d’autres travaux sont en cours : certains scientifiques travaillent sur des vecteurs capables de se répliquer avec des types de virus et pénétrer ainsi efficacement dans les cellules, d’autres tentent, à l’inverse, d’agir sur des cellules du système immunitaire afin que celui-ci soit plus apte à reconnaître les vecteurs envoyés. C’est le cas d’une équipe de l’ANRS qui devrait effectuer des essais sur une vingtaine de volontaires en 2009.
    Puis à l’Institut Pasteur, un candidat-vaccin « VIH-rougeole » devrait entrer en essai clinique chez l’homme également en 2009. « L’objectif a été de faire un vaccin dit « recombinant », c’est-à-dire d’introduire deux à trois gènes du VIH dans le génome du virus atténué de la rougeole. (…) L’accès aux traitements étant limité dans les pays en développement pour des raisons économiques, la nécessité d’un vaccin peu coûteux (le vaccin de la rougeole est à très bas prix et fait partie des campagnes de vaccination de l’OMS, ndlr), et pouvant largement être distribué est plus que jamais d’actualité  » explique l’Institut Pasteur.




     

    Définition du sida

    Le Sida est une maladie contagieuse qui est transmise sexuellement ou par le sang.  Le Sida est en fait l'abréviation de Syndrôme d'Immunodéficience Acquise.  La maladie n'est pas héréditaire, c'est-à-dire qu'elle ne se transmet pas de génération en génération.

    Que signifie les lettres du sigle S.I.D.A ?
    Les lettres qui composent le mot "sida" définissent la nature de cette maladie :
    S pour syndrome, c'est-à-dire l'ensemble des troubles provoqués par la maladie ;
    I et D pour immunodéficience : le virus atteint les défenses naturelles de l'organisme, qui ne peut plus se protéger contre des infections et risque d'être atteint par diverses maladies dites "opportunistes" et par certains cancers ;
    A pour acquise : l'immunodéficience est provoquée par un virus qui pénètre dans l'organisme. Cette immunodéficience est donc acquise par la personne qui en est atteinte. 

     

        Le Sida est provoqué par le VIH.  Ces trois lettres servent à désigner une expression un peu compliquée.  Il s'agit du Virus d'Immunodéficience Humaine.  Ce virus attaque le système de défense du corps humain.  Ce système de défense se met en marche quand nous sommes malades pour nous aider à bien guérir.  Les personnes qui sont atteintes par le virus deviennent très faibles, parce que leur corps n'est plus capable de combattre les maladies.

        Pour bien comprendre, il est important de connaître la différence entre le VIH, qui est un virus, et le Sida.  Un virus est une particule minuscule.  Il est plus petit qu'un grain de poussière.  Cette particule est très résistante et il est difficile de la tuer.  Le Sida, pour sa part, est la dernière étape du développement du virus.  À cette étape, la personne atteinte est très malade

    Exceptionnellement, le virus du Sida peut se transmettre lorsqu'il y a contact de blessure à blessure mais les cas le plus fréquents restent les transmissions par le sang, le sperme et les sécrétions vaginales..

     

    Comment se transmet le VIH?

    Le VIH se transmet (passe) d'une personne à une autre lorsqu'il y a un échange de fluides corporels contenant le virus entre ces personnes.

    Le VIH est présent dans les fluides corporels suivants : sang, sperme et liquide pré-éjaculé, sécrétions vaginales et lait maternel. Le virus se trouve aussi dans la salive, mais en concentrations beaucoup plus faibles - trop faibles, selon les experts, pour transmettre la maladie.

    Cela veut dire que les baisers, même profonds, ne présentent pas de risques. Et on ne peut pas attraper le VIH lors de contacts ordinaires avec une personne infectée, par exemple en lui donnant la main. On ne peut pas non plus attraper le VIH en touchant une chose que cette personne a touchée. On ne l'attrape pas en respirant le même air qu'une personne séropositive. Un fluide corporel dans lequel le VIH est présent doit passer d'une personne à une autre à travers une plaie ou une ulcération d'un tissu ou de la peau.

    Rapports sexuels

    Les échanges de fluides corporels et, éventuellement, la transmission de l'infection ont lieu le plus souvent pendant des rapports sexuels non protégés avec pénétration. « Non protégés » veut dire sans utiliser de préservatif, et « avec pénétration » veut dire que le pénis pénètre ou entre dans le vagin ou l'anus. Dans ces cas-là, le sperme, les sécrétions vaginales ou le sang d'une personne infectée peuvent passer dans l'organisme de l'autre personne à travers de minuscules lésions ou coupures dans le vagin, l'anus ou sur le pénis. Ces lésions ou coupures sont parfois si petites qu'on ne peut pas les voir.

    Dans le cas d'une personne atteinte d'une autre infection sexuellement transmissible (IST), les risques de transmission du VIH augmentent car ces infections peuvent provoquer des plaies ou des ulcérations au niveau des organes génitaux qui facilitent le passage du virus dans le sang. Les IST peuvent aussi causer de graves problèmes de santé. Si tu as des symptômes inhabituels, comme des douleurs, des plaies, une irritation ou une inflammation des organes génitaux, ou quand tu urines, tu dois consulter un agent de santé. Les IST se soignent facilement à l'hôpital, dans les centres de santé, les cliniques et chez les médecins particuliers. Et pas besoin d'être embarrassé : où que tu sois traité, ton dossier médical restera confidentiel.

    Drogues et aiguilles

    Les personnes qui s'injectent des drogues illicites à l'aide d'un matériel non stérile qui a déjà servi (pas uniquement les aiguilles, mais aussi les seringues et l'eau de rinçage) courent un risque très élevé de contracter le VIH. Des fluides corporels - le plus souvent du sang - où le virus est présent peuvent entrer directement dans les veines par le biais de l'aiguille d'une seringue. Il n'y a pas plus efficace pour transmettre le virus !

    Les tatouages et les piercings réalisés à l'aide de matériel non stérile qui a déjà été utilisé présentent aussi un risque de transmission du VIH.

    Transmission de la mère à l'enfant

    Les mères infectées peuvent transmettre le virus à leur bébé pendant la grossesse, l'accouchement ou lorsqu'elles allaitent. Si une femme séropositive tombe enceinte, dans 35 % des cas, elle transmettra le VIH à son enfant si elle ne reçoit pas de traitement préventif.

    Transfusions sanguines et produits sanguins

    Tous les donneurs de sang doivent avoir fait le test du VIH pour s'assurer que personne ne reçoive du sang infecté. Malheureusement, le test n'est pas disponible dans tous les services médicaux de la planète

     

    COMMENT EVITER LE SIDA?

    Préservatifs

    Si tu as des rapports sexuels avec pénétration, tu peux diminuer de beaucoup le risque d'infection en utilisant un préservatif à chaque fois, et en le mettant correctement. S'ils sont utilisés correctement, les préservatifs sont une méthode très efficace de protection et de contraception. Mais il arrive qu'ils se déchirent ou qu'ils glissent, c'est pourquoi ils ne sont pas sûrs à 100 pour cent.

    Ne jamais partager du matériel d'injection

    Pour éviter d'attraper le VIH, les personnes qui s'injectent de la drogue ne doivent jamais partager leur matériel d'injection (aiguilles, seringues, coton ou eau de rinçage) ou utiliser celui de quelqu'un d'autre. Car les aiguilles peuvent introduire directement le virus dans le sang..

    Transmission de la mère à l'enfant

    Le risque qu'une mère séropositive infecte son enfant diminue beaucoup si elle a accès à des médicaments anti-VIH, à des informations et à des conseils confidentiels, et si elle reçoit des soins spéciaux pendant la grossesse et l'accouchement.

    Tatouages et piercings

    Si tu veux avoir un tatouage ou un piercing, demande d'abord à la personne qui le fera de t'expliquer toutes les mesures de précautions qu'elle prendra. Il faudra qu'elle porte des gants, qu'elle se serve d'une aiguille neuve et stérile, et qu'elle jette cette aiguille après usage.

    LES TRAITEMENTS ACTUELS

    L’arrivée de nouvelles molécules complétant la palette de médicaments déjà existant pour lutter contre le VIH, constitue un progrès thérapeutique. Cependant, ces nouveaux médicaments, soulèvent des interrogations thérapeutiques sur leurs effets indésirables, leur toxicité à court, moyen et long termes. Les connaissances sur leurs interactions médicamenteuses sont limitées. Enfin, de nouvelles questions se posent, notamment sur l’attitude à adopter lors d’une grossesse chez une femme HIV positive.

    LA TRITHERAPIE

    Lorsque les défenses immunitaires commencent à baisser, c'est l'heure des premiers médicaments. Petit retour en arrière : en 1987 apparaît le premier médicament destiné à lutter contre le sida, l'AZT. Il vise à enrayer la chute du nombre de lymphocytes T4. Mais il s'avère peu efficace seul et doublé d'effets secondaires désagréables du type nausées ou diarrhée. Moins de dix ans plus tard, en 1996, les premières trithérapies débarquent et c'est la révolution !

    En associant trois médicaments, les médecins parviennent à faire baisser la charge virale (la quantité de virus dans le sang) jusqu'à rendre le VIH indétectable. "Ces médicaments agissent sur des enzymes indispensables au virus, explique le Dr Karmochkine. Ainsi, le VIH est bloqué dans son évolution, il ne peut plus se développer ni faire baisser le nombre de lymphocytes T4." L'arrivée des trithérapies constitue une véritable bouffée d'oxygène pour tous les malades : leur espérance de vie s'accroît considérablement, l'épée de Damoclès qui planait au-dessus de leur tête semble s'éloigner un peu.

    La trithérapie est une association de plusieurs médicaments
     
    Aux débuts de la trithérapie, le patient devait parfois avaler plusieurs dizaines de comprimés chaque jour.
     

    Les premières années, la trithérapie reste tout de même extrêmement contraignante : les malades Les patients doivent avaler jusqu'à plusieurs dizaines de comprimés par jour, à heure fixe. Dix ans plus tard, des progrès considérables ont permis de réduire le nombre de ces cachets : entre un et six par jour, en moyenne.

     Progrès accomplis également du point de vue des effets secondaires. Dans les premiers temps, ils sont considérables et handicapants. Le plus spectaculaire, c'est la lipodystrophie, présente dans beaucoup de cas : les graisses corporelles sont anormalement réparties. Les jambes et les fesses deviennent très maigres, le visage se creuse tandis que le ventre et les seins augmentent de volume, donnant ainsi aux malades soignés par trithérapie une physionomie facilement reconnaissable, que la chirurgie esthétique ne parvient pas à corriger. Emmanuel de Castro raconte le calvaire qu'il vit depuis dix ans : "Avec la trithérapie, j'ai perdu toutes mes dents. J'ai fait des phlébites à répétition. J'ai eu la varicelle, j'ai développé un zona. Non, ce n'est pas un traitement facile! Dix ans plus tard, je n'ai plus que deux comprimés à prendre donc je ne me plains pas. Mais les effets secondaires sont toujours là."

    On ne guérit pas

    D'autres troubles plus graves peuvent apparaître avec la trithérapie : diabète, cholestérol, infarctus, hépatites et pancréatites médicamenteuses… Moins graves mais gênants, les nausées, anémies, fourmillements, baisses de libido généralement associés à une trithérapie. Ces effets secondaires sont toujours susceptibles d'apparaître, même avec les médicaments récents, même s'ils sont moins fréquents et moins spectaculaires.

    "Beaucoup moins d'effets secondaires aujourd'hui"

    Reste une donnée primordiale pour que la trithérapie soit efficace : l'observance du traitement. Trop de malades ont encore tendance à le prendre de temps en temps, puis à l'arrêter, pour le reprendre plus tard. Non : la trithérapie doit être prise scrupuleusement, tous les jours et toute la vie. "En 2008, la prise de médicaments devrait encore s'alléger mais il faut insister sur le fait que la trithérapie est et restera un traitement lourd et vital, avec son cortège de troubles associés. Elle constitue indiscutablement une avancée colossale pour les malades mais elle ne permet pas une vie insouciante. Le virus est toujours là, on ne guérit pas du VIH."

    Ajoutez à cela que la trithérapie est inefficace pour environ 10 % des patients. "Pour beaucoup, c'est parce qu'ils ont d'abord bénéficié d'une monothérapie ou d'une bithérapie ou d'un traitement inapproprié, explique Marina Karmochkine. Le virus est ainsi devenu résistant à l'ensemble des molécules existant pour l'instant." Sans minimiser l'importance d'un traitement qui permet aujourd'hui de vivre quasiment "normalement", on ne sait pas à quel point la trithérapie sera efficace à très long terme, puisqu'elle n'existe que depuis dix ans.

     

    BARRONS LA ROUTE AU SIDA!!!!!!!!!!!!!!!!!

    mon alimentation
    Petit-déjeuner : café, 1 part de gateau au fromage blanc
    Déjeuner : des restes!! lol, tarte au thon et crevette, poulet grillé, petit pot de crème au café
    Goûter ou snack : 1 petit pot de crème au café
    Dîner : pizza au saumon
    Verres d'eau : 0
    Calories consommées : 0 kcal
    (6) commentaires



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  • sylserg 
    publié le 21/05/2008 à 18:28
    coucou ma belle ! sacré cours mais tellement important sur cette fameuse maladie !!! personne n'est à l'abri, tu fais bien d'en parler.... Merci. Bisous. Sylviane
  • syberia25 
    publié le 21/05/2008 à 09:58
    Saleté de maladie ! Mon cousin en est mort et ses derniers jours ont été terribles ! Il faut continuer à le rappeler aux jeunes générations. Même si les médias en parlent moins, il est toujours là ! Protégez-vous, sortez couverts !
  • candy50130 
    publié le 21/05/2008 à 00:04
    c'est pas normal, moi j'ai froid et toi trop chaud
    c'est trop injuste
    gros bisous
  • Elle2205 
    publié le 20/05/2008 à 23:10
    Pfffff 25 ans ? Je fais vraiment partie de la génération SIDA du haut de mes 24 ans... Enfin, comme tu dis: poté chapo !!!
    Ton rappel est instructif comme dit vb.
    J'admire toujours ta détermination. A quand des photos avant/ après...?
    Tu pourras donner la recette de ta pizza au saumon. Pour la pate il me semble que c'est du son d'avoine avec je sais plus quoi... mais la garniture ? M'en souviens plus.. Ca pourrait toujours servir ponctuellement puisque c'est une recette allégée...
    Gros bisous et à bientôt !!!
  • vb25 
    publié le 20/05/2008 à 21:55
    Bien le bonsoir, ça fait pas de mal de rappeler un bon coup tout ça.
  • eanna 
    publié le 20/05/2008 à 21:05
    Même maintenant, on croit que tout le monde a ses infos alors que ce n'est pas vrai. J'ai eu des questions de collégiennes et de lycéennes sur la contraception, la pillule du lendemain : pas une fois les MST n'ont été évoquées ! ce qui est soit craint, soit recherché : une grossesse. On a relaché notre vigilance pour la jeune génération. biz

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