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BONNE SEMAINE A TOUTES
publié le 16/03/2009 à 11:19 |
Usine marémotrice de la Rance
VOILA !!
notre week end sous un soleil splendide, traversée et ballade de l'autre coté d'une heure, puis retour sur St Malo, et longue promenande le long de la plaage du sillon, une foule inimaginable !! sur plage et sur promenade
L'usine marémotrice de la Rance est une centrale électrique tirant son énergie de la force de la marée. Elle se trouve à l'estuaire de la Rance, en France. C'est la première usine marémotrice au monde.
Le barrage s'étend sur 750 mètres, entre la pointe de la Brebis à l'Ouest et la pointe de la Briantais à l'Est, au Sud de Dinard et Saint-Malo, à l'embouchure du fleuve côtier de la Rance.
Au total, l'usine a coûté à l'époque 620 millions de francs (ce qui correspond à environ 740 millions d'euros de 2007).[1]
Le barrage de l'usine mesure quant à lui 332,5 mètres.
L'électricité est produite par 24 groupes bulbes (turbines).
Elle constitue en 2005 un peu moins de 60% de la production électrique de la Bretagne, qui ne produit que 5% de l'électricité qu'elle consomme, le reste est importée des régions voisines, principalement d'origine nucléaire [2].
Le marégraphe de Saint-Suliac, situé devant la pointe de Grainfolet, donne les hauteurs d'eau pour l'ensemble de l'estuaire de la Rance, en amont du barrage.
Chaque groupe bulbe comprend une turbine et un alternateur de 10 000 kW.
Ces turbines utilisent à la fois la force des marées et celle du courant de la rivière. Elles tournent donc dans les deux sens. Elles peuvent fonctionner en turbinage (le mouvement créé par le courant est transformé en électricité) ou en pompage (la turbine est alimentée par le réseau afin de compléter le remplissage du bassin à marée montante).
Orientables, les pales des turbines peuvent ainsi fonctionner à marée montante et descendante.
L'usine marémotrice est la principale source d'électricité de la Bretagne et contribue ainsi à réduire le déficit énergétique de cette région. Le facteur de disponibilité de l'installation est d'environ 25% (production de 500 GWh/an pour une puissance installée de 240 MW), taux qui est lié à la périodicité et à l'amplitude des marées. Le coût de production d'électricité est évalué à 12 cents d'euros du kWh[3].
Transformant l'écosystème de la Rance, le barrage est responsable de son envasement progressif. Le lançon et la plie ont disparu, mais le bar et la "morgate" ou "margate"[4] (seiche) remontent de nouveau le fleuve. En fait la faune s'est totalement transformée puisque les espèces plus petites et plus rapides constituent la majeure partie de la faune, leur vivacité permet de passer à travers les hélices du barrage, chose impossible pour les espèces « nobles » et donc lentes.
Malgré cela, un veau marin a réussi à traverser le barrage, par l'écluse ou les groupes bulbes, et réside depuis 2001 dans le secteur de Mordreuc, malgré les multiples tentatives des vétérinaires d'Océanopolis de le réintroduire dans son environnement d'origine. Il a été rejoint en 2006 par un petit marsouin qui lui a élu domicile du côté de Jouvente. On note également la présence d'espèces de poissons telles que dorades (grises et royales), mulets (lippus et dorés), raies (bouclées et fleuries), lieus jaunes, vieilles et même depuis quelques années de petits sars.
L'estuaire est soumis à des mouvements de marée dont les horaires dépendent de la stratégie d'exploitation d'EDF.
Autrefois, avant la construction du barrage (1963-1966), la dénivellation entre pleine mer et basse mer au port Saint-Jean atteignait 13,98 m (La hauteur de la pleine mer pouvait atteindre 0,25 m de plus qu'à Saint-Malo, mais elle accusait un retard de douze minutes sur celle enregistrée à Saint-Malo, à la tour Solidor). L'étale ne durait pas plus de 4 à 5 minutes. Le retard de la basse mer par rapport à la tour Solidor était très important et proportionnel au coefficient de la marée. Il était dû à l'écoulement des eaux de nombreuses baies, du cours naturel de la rivière, et de la réserve constituée en amont du barrage du Châtelier. La basse mer n'avait pas d'étale.
Désormais, le barrage, usine marémotrice de la Rance, marne la mer avec une dénivellation entre pleine mer et basse mer qui atteint 7,50 m. Son amplitude va de 12 m maximum en pleine-mer à 4,5 m minimum en basse-mer. Les étales de pleine-mer et de basse-mer durent 1 heure environ. Cela a profondément modifié l'écosystème, les fonds marins, les marnages et les courants de l'estuaire de la Rance.
L’association COEUR a décidé EDF à faire un test exceptionnel de pleine-mer à 12,52 m, le vendredi 31 août 2007, entre 11 h 30 et midi, pour étudier son action sur l’environnement du haut des plages de l'estuaire de la Rance.
bonne semaine et bises
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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Je t'embrasse !
J'ai bien profité de ce temps printanier hier et aujourd'hui. Nous commencons à préparer le terrain dehors. Je vais faire un petit potager. J'espère que mon petit chien ne va pas aller dedans. Mais à partir de cet été j'aurai du temps pour tout cela et pour sortir un peu plus marcher avec mes chiens.
Bon je vais aller voir les copines. Je te souhaite une bonne soirée. Bisous