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L’anorexie mentale
publié le 11/03/2008 à 09:13 |
Il n'est pas rare que l'anorexie mentale concerne une adolescente boulotte qui commence un régime… qui réussit trop bien.
Puis, sans qu’on sache trop à quel moment les choses dérapent, on passe d’un phénomène de mode à une quête de pureté.
L’anorexique lutte activement contre ses appétits. Certaines, qu’on nomme anorexiques mentales restrictives, y parviennent de façon continue.
D’autres, les anorexiques mentales boulimiques-vomisseuses, sont parfois sujettes à des boulimies intensément culpabilisées et ne parviennent à la maigreur qui les caractérise qu’en se faisant vomir, en absorbant des médications laxatives et diurétiques, parfois en très grande quantité, ou encore en se livrant à une débauche d’exercices physiques.
Malgré l'absence de nourriture, l’anorexique reste longtemps extraordinairement dynamique et active, ce qui explique qu’elle puisse maigrir dans des proportions importantes avant que son entourage s’en inquiète.
La disparition des règles, ou aménorrhée, est l’un des premiers symptômes.
La minceur devient maigreur, puis état de dénutrition.
L’évolution est variable. Dans 70 % à 80 % des cas traités, l’évolution se révèle globalement favorable sur le plan du poids et du comportement alimentaire, quoiqu’on puisse noter la persistance de troubles psychopathologiques tels que des difficultés sexuelles et relationnelles, des troubles du caractère, des phobies, des anomalies du comportement alimentaire, qui nécessitent une prise en charge psychothérapique.
Mais il convient aussi de rappeler que l’anorexie mentale peut se révéler une maladie mortelle. L’issue fatale survient dans environ 5 % des cas.
Définition du DSM-IV, 1993 (Diagnostic and Statistical Manual)
A. Refus de maintenir un poids égal ou supérieur au poids minimum compte tenu de l’âge et de la taille.
B. Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros, même avec un poids anormalement bas.
C. La forme et le poids du corps sont perçus de façon anormale, le jugement porté sur soi-même est indûment influencé par la forme et le poids du corps, ou il existe un déni des conséquences du bas poids corporel.
D. Chez les femmes pubères, aménorrhée, c’est-à-dire absence de règles durant au moins 3 cycles consécutifs.
On distingue 2 types d’Anorexia nervosa :
Type boulimies/vomissements : la personne présente des hyperphagies incontrôlées accompagnés de comportements compensatoires pour prévenir une prise de poids, tels des vomissements provoqués, des prises abusives de laxatifs ou de diurétiques.
Type restrictif : la personne ne présente ni épisodes d’hyperphagies incontrôlées, ni comportements compensatoires pour prévenir la prise de poids.
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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C'est vrai que c'est plus localiser sur les aprems et le soir. Je me sens envie subite de manger, je commence et la je ne sais plus m'arrêter. jusqu'au moment ou j'arrive a saturation et je pars me faire vomir...
tout dépend du nombre de crises, du volume ingéré,..
mais sans être une vraie boulimique vomisseuse, tu peux avoir une attitude qui s'en rapproche quand je lis ce que tu écris.
comment se passent tes crises ?
au début il ne s'agit que d'un régime pour perdre du poids.
ensuite la perte de poids est tellement efficace, qu'elles continuent.
plus elles maigrissent , moins elles se rendent compte de ce qui se passe : alors elles entrent dans le déni, car non seulement le corps est touché, mais aussi le psychisme. elles ne pensent, ne réfléchissent plus comme avant.
d'où la difficulté de les raisonner.
Mais ce n'est pas tout le temps.
J ne prend pas de laxatif mais parfois des diurétiques...
Quand je suis dans cette phase je bois énormément pour être sure de vomir.
elles veulent effacer leurs formes par la maigreur, et l'absence de règles à un certain stade en fait aussi partie, même si ce n'était pas ce qui était visé au départ.
je pense être dans la catégorie boulimies vomisseuses. Mais comme ce n'est que par épisode (en ce moment ca va je ne grignote pas et ne me fais pas vomir) je me demande si ce n'est plutôt pas des compulsions vomissentes (je ne sais pas si cela existe).
Qu'en penses-tu?
les crises de boulimie sont très caractéristiques : volume, répétition, perte de contrôle,...
tes menus ne sont pas mal, tu te débrouilles bien.
tu peux mettre des matières grasses , compléter ton dîner avec du pain comme le midi.
est ce que tes produits laitiers sont à 0%, sucrés ?
qu'est ce qui est le pire ?
je ne sais pas, l'anorexie un peu plus peut être vu les conséquences, en tout cas il y a de la souffrance des deux côtés.