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La boulimie, des causes profondes
publié le 06/03/2008 à 13:18 |
Selon la psychologue Catherine Hervais, ancienne boulimique et thérapeute de groupes, la boulimie " trouve ses racines psychologiques dans une insécurité affective née précocement lors de la première enfance avec des angoisses qui altèrent leur maturation affective."
Certains professionnels de la santé évoquent un vide ressenti par les femmes dont le père était émotionnellement absent pendant l'enfance, conduisant à une mauvaise estime de soi et à un rejet du corps.
Dans d'autre cas, la relation entre la mère et son enfant est pointée. Catherine Hervais évoque dans le livre les toxicos de la bouffe "Des enfants particulièrement investis par leur mère et qui ont le sentiment de perdre cet appui trop tôt et trop brutalement."
Stéphanie, jeune boulimique témoigne : "Ma vie a mal commencé : ma mère n'était pas contente d'avoir une fille, puis est partie un temps de la maison. Je suis sûre que j'en ai souffert, même si je n'ai aucun souvenir de cette période. Elle ne cessait de faire des commentaires sur mon poids, m'interdisait de "m'empiffrer". Mais je ne maigrissais pas vraiment, elle m'en voulait de ne pas être comme elle souhaitait. Elle a arrêté de me mettre la pression, et je suis devenue boulimique ."
Quoi qu'il en soit, la boulimie exprime toujours une certaine forme d'agressivité refoulée et le trouble cherche alors à combler comme il le peut un vide intérieur, un manque de sens, un manque de paroles.
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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le corps se modifie, ce sont aussi de nouvelles responsabilités, il n'y a plus l'insouciance de la vie à deux, des souvenirs conscients ou inconscients remontent à la surface.
Parfois on arrive à les affronter, parfois non.
c'est une autre vie qui commence et un soutien psy pour certaines peut être une aide.
Pas si facile de devenir parents !
tu grignotes car tu ne manges pas régulièrement dans la journée.
en faisant déjà 3 repas complets par jour, tu verras que tes grignotages vont devenir moins fréquents.
d'ailleurs tu dis toi même que tu ne manges pas équilibré.
je ne pense pas que tu fasses de la boulimie, mais bon je ne peux pas faire de diagnostic comme ça.
pendant longtemps bien manger c'était finir son repas : ne pas gaspiller ce que les parents avaient mis dans ton assiette en travaillant durement.
moi je dis aux parents de ne pas employer ces mots là : bien manger c'est manger de tout avec plaisir.
je leur conseille de donner des petites portions , quitte à resservir, car un enfant qui a faim sait le dire.
les enfants ne réagissent pas comme les adultes, ils sont plus à l'écoute de leurs sensations.
moi même j'ai dû me discipliner pour ne pas reproduire le discours que j'ai entendu petite.
parfois ça me hérisse le poil quand je l'entens dans mon entourage proche, alors j'essaie de faire une petite allusion en souriant, pour faire passer le message.
ce que tu décris est tout à fait juste en tout cas.
la psychogénéalogie, si ça vous intéresse il y a de bons bouquins à lire de Anne Ancelin Schutzenberger, lien d'un site ci après :
http://pagesperso-orange.fr/a.ancelin.schutzenberger/index.htm.
sylviane a résumé le fondement de la prise en charge familiale, elle a les mots adéquats, ben oui elle est psy ! lol!
quand j'ai passé mon DU en TCA, ils ont bien insisté là dessus et je crois qu'une prise en charge globale est gage de réussite, même si il faut du temps. je pense qu'il faut de toute façon du temps pour construire et reconstruire.
Mon père c'était le père fouettard, le justicoier : "si tu n'est pads sage, je vais le dire à papa" ét toujours la menace ; il me faisait peur. Il m'a fait peur pratiquement toute ma vie, je n'ai jamais pu lui répondre, ou le contredire ou m'opposer à lui : je me taisais si je n'étais pas d'accord avec lui.
Il avait des réflexions ironiques et piquantes pas bien agréables qui m'ont bien souvent blessée voir humiliée. Et j'ai commencé à prendre du poids à partir de l'adolescence : il fallait manger de tout et finir son assiette sans rien dire ; être sage c'était aussi bien manger ( surtout en présence du père)