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La boulimie
publié le 05/03/2008 à 11:57 |
La boulimie est officiellement reconnue dans la nomenclature psychiatrique internationale à partir des années 1980. On réserve à partir de 1987, le diagnostic de Bulimia nervosa aux seuls individus boulimiques qui conservent un poids aux alentours de la normale grâce à des comportements compensatoires dont le vomissement provoqué est le prototype.
La jeune fille boulimique type donne souvent l’impression d’être sûre d’elle-même. Derrière cette apparence se cache quelqu’un qui doute profondément de soi, qui ne s’aime pas, n’aime pas son corps, passe son temps à chercher à complaire à ses interlocuteurs dans sa crainte de se faire rejeter par eux.
Ou bien, dans d’autres cas, les troubles de la personnalité apparaissent plus profonds. Ces boulimiques-là sont sujettes à des passages à l’acte impulsifs: kleptomanie, nymphomanie, toxicomanie, crises alcooliques, tentatives de suicide et actes de violence.
La crise boulimique se déroule le plus souvent dans un état second, échappant totalement à la volonté. Beaucoup se font vomir, ou utilisent des laxatifs à outrance, des diurétiques, ou encore font de l'’exercice physique outrancier. La boulimie peut encore être compensée par des périodes de jeûne.
À la longue, les vomissements provoqués, l’abus de laxatifs et de diurétiques provoquent des troubles métaboliques qui engendrent un état de fatigue générale, une baisse des performances intellectuelles, des crampes musculaires, des crises nerveuses, des règles irrégulières. Les boulimiques souffrent aussi de lésions irritatives de l’estomac et de l’œsophage, de troubles intestinaux, ont les dents qui se déchaussent, perdent leurs cheveux. Les variations brutales du poids engendrent fréquemment des problèmes cutanés (vergetures). Une inflammation des glandes salivaires (parotidite) donne parfois un faciès particulier. L’état dépressif, fréquent chez les boulimiques, est certainement favorisé par l’affaiblissement physique.
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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super ! super ! :)
un conseil : pas de régime stp ! quel qu'il soit.
la potomanie a des conséquences sur la santé.
plus tu bois, plus tu passes du temps aux toilettes, ce qui n'est pas confortable.
la vessie se dilate.
tu perds du calcium : tes os se fragilisent.
tu perds du sodium : ce qui peut occasionner des modifications du comportement, agitation, irritabilité.
les reins n'arrêtent pas de travailler, ça les fatigue.
il y a aussi des conséquences sur le coeur.
il est vrai que boire beaucoup permet de vomir plus facilement, mais les vomissements abiment l'émail des dents, l'oesophage, tu perds aussi des minéraux.
boire plus ne permet pas de maigrir plus.
1,5 litre par jour est suffisant, que tu répartis tout au long de la journée.
surtout, fais toi aider,
cette situation est très douloureuse et elle le serait pour toute autre personne.
il faut que tu puisses en parler, extérioriser tes sentiments pour avancer, ne pas rester dans le silence, ne pas garder tout pour toi.
courage en tout cas.
J'ai eu une enfance douloureuse car très malade et très longtemps hospitalisée, beaucoup de souffrance physique et psychologique.Puis le temps s'est écoulé, et je me suis empressée de tout enterrer, hors il y a 11 ans j'ai perdu ma fille suite à une maladie dans des circonstances très douloureuses pour elle. Je ne supporte toujours pas cette injustice, pour moi depuis tout ce temps, seule la nourriture m'a aidé jusque là, pourtant je suis très consciente que je dois sortir de cette spirale infernale.
je conseille souvent une activité physique, pour décompresser surtout et réinvestir son corps.
sans que ce soit forcément jogging, musculation, d'ailleurs !
une activité telle que le stretching, j'en fais moi même; on apprend à respirer, on étire tous les muscles en douceur sur un fond musical en général très sympa, ça vous tape pas dans les oreilles !
au bout d'une heure, on est bizarrement fatigué, flagada, et en forme à la fois !! allez comprendre !
j'y vais le mardi soir, et bon gros dodo aprés !!!
Pour compléter ce que t'a dit très justement Flo, et par expérience tant professionnelle que personnelle (et oui, les psy aussi ont parfois des amies en difficultés !), il faut lui parler franchement de sa maladie. Elle est dans le déni. Après ta discussion avec elle, elle pourra te sembler encore dans le déni. Mais le jour où elle sera prête, elle saura qu'elle pourra compter sur toi. Depuis combien de temps elle est anorexique et quel âge at-elle ?
elle est dans le déni et là c'est dur de lui faire prendre conscience de la situation.
de plus, l'anorexie altère l'état général, physique et psychologique.
ce qui veut dire qu'il faudrait qu'elle soit déjà correctement nourrie , renutrie, pour enfin retrouver ses capacités à entamer un changement.
alors tu vas me dire que ça ne t'aide pas beaucoup, mais c'est en persévérant, avec l'aide de son entourage qu'elle peut y arriver.