Le discours diététique s’attache aussi à valoriser les vertus nutritionnelles des aliments : on ne vante plus que la vitamine C et le bêta-carotène des carottes, les antioxydants et les fibres des fruits et légumes. On insiste aussi sur :
- les oméga 3 du poisson gras, de l’huile de colza ou des noix
- les acides gras monoinsaturés du foie gras ou de l’huile d’olive
- les glucides complexes et les fibres des féculents
- le calcium des fromages
- les polyphénols du chocolat et du vin (à consommer avec modération) et leurs vertus de protection cardio-vasculaire.
La cuisine et ses mets mettent leur point d’honneur à satisfaire les 5 sens :
- la vue : jeux des couleurs, présentations artistiques, beauté de la table décorée
- le toucher : choc des textures craquantes ou molles en bouche
- l’ouïe : le bruit d’un bouchon qui saute reste une belle ouverture pour un repas
- l’odorat : les odeurs des épices et des aromates participent au plaisir, avant de goûter le plat
- le goût : choc du sucré et du salé, de l’amer et de l’acide, subtilité des flaveurs, recherche de l’exotisme, font notamment partie de tout un travail contemporain sur le goût.
Comme l’a souligné le Pr Trémolières : « le repas est un lieu privilégié d’échange, de partage, de communion. Il constitue l’élément principal de la convivialité et de l’art de vivre ensemble. La vraie gastronomie est diététique et la bonne diététique doit être gastronomique. »
et continue sur ta lancée !
bisous
je stocke tous mes articles dans un dossier pour ne pas les perdre justement et on poura s'en servir quand on veut.
je suppose que de toute façon des sauvegardes sont faites régulièrement au niveau du site ?
de nombreux diététiciens travaillent dans cette voie maintenant.
on ne donne pas une ration alimentaire sans connaître son "patient" , ses habitudes, ses centres d'intérêt, etc....
la diététique oui, mais point trop n'en faut !!! lol!!!