
Je lis en ce monde imparfait le mépris
De ces êtres pervers qui écrivent le mal
Pour blesser à chacun, des mots en rafale
Ce n'est pas ça la vie, n'ont-ils rien compris ?
Aimer est sourire, tendre la douce main
C'est aidé son prochain rien attendr'entendre en retour
C'est ressentir bonheur à chaque nouveau jour
Et même le créer aux gestes petit rien.
Conduire en chemin l'enfant en perdition
Où d'un monde hagard n'a plus de repère
Ces êtres qui dehors passent encore l'hiver
Cette vie perfide n'est-elle que dérision ?
Aimer c'est être là quand un Homme pleure
Et le réconforter en mots, en tendresse
Redonner confiance le sortir de détresse
De la joie et douceur au regard qui se meurt.
Aimer c'est bien donner minutes ou heures
L'attention, l'écoute ne guérit pas le mal
D'un grand corps malade n'assoupit pas râle
Mais elle accompagne en guid'élévateur.
Aimer, s'émerveiller aux bourgeons du printemps
Le chant du rossignole qui égaye matin.
C'est se sentir libre en foret de dessein.
Et fleurir l'océan d'amour mots en tout vent.
Alors oui j'ai choisi, la liberté d'aimer
Un monde fluide ne pas me confondre
A la masse qui plie, maux plus ne me fondre
En mon ciel est l'azur, du bonheur j'ai la clé.
Aimer c'est faire don d'une partie de soi
A éveiller les cœurs chambrés en mon halo
D'amitié partagée tendre au fil de l'Ô.
Gondole d'effluves en un bouquet d'air pur.
De ces êtres pervers qui écrivent le mal
Pour blesser à chacun, des mots en rafale
Ce n'est pas ça la vie, n'ont-ils rien compris ?
Aimer est sourire, tendre la douce main
C'est aidé son prochain rien attendr'entendre en retour
C'est ressentir bonheur à chaque nouveau jour
Et même le créer aux gestes petit rien.
Conduire en chemin l'enfant en perdition
Où d'un monde hagard n'a plus de repère
Ces êtres qui dehors passent encore l'hiver
Cette vie perfide n'est-elle que dérision ?
Aimer c'est être là quand un Homme pleure
Et le réconforter en mots, en tendresse
Redonner confiance le sortir de détresse
De la joie et douceur au regard qui se meurt.
Aimer c'est bien donner minutes ou heures
L'attention, l'écoute ne guérit pas le mal
D'un grand corps malade n'assoupit pas râle
Mais elle accompagne en guid'élévateur.
Aimer, s'émerveiller aux bourgeons du printemps
Le chant du rossignole qui égaye matin.
C'est se sentir libre en foret de dessein.
Et fleurir l'océan d'amour mots en tout vent.
Alors oui j'ai choisi, la liberté d'aimer
Un monde fluide ne pas me confondre
A la masse qui plie, maux plus ne me fondre
En mon ciel est l'azur, du bonheur j'ai la clé.
Aimer c'est faire don d'une partie de soi
A éveiller les cœurs chambrés en mon halo
D'amitié partagée tendre au fil de l'Ô.
Gondole d'effluves en un bouquet d'air pur.