hihihi me revoilou, comme je suis pas venu souvent ,je vous fais plusieurs articles avec photos.

donc me voila rentré de la maternité,on a une aide a la maison, une jeune copine, guadeloupeene qui vient de bobyni en vacance chez nous pour profiter de l'ocean, (sauf que les 15 jours ou elle est resté ,il a plu !!! la pauvre!) bref avec elle a la maison a s'occuper du plus grand des garçons, le grand frere , Jean-Baptiste.

elle sera tres attentionné et d'une aide enorme pour moi, elle m'aide avec les garçons, fais un peu de menage, et ça me permet de me reposer, mais je ne sais pas comment m'organiser, je dors peu, la nuit et la journée, j'essai de trouver mes marques,je fais mon menage, je suis fatiguée mais qu'importe ,je suis maman maintenant.

mon cheri stef, travaille cette semaine, je m'attend a ce que le baby blues me rattrape, il avait commencer a pointer son nez a la maternité a l'approche de mon retour (sans la sonnette pour appeler les sages femmes a portée de main ...) et puis un apres midi, Alamanda decide d'amener Jean-Bapttiste au cinema,je les accompagne avec la poussette un petit peu, et nous rentrons ,bébé et moi a la maison, bien silencieuse, d'un coup.

Liam se met a pleurer, je dois le changer, il continue de pleurer lorsque je lui passe la creme sur ses fesses bien rouges puis il hurle, je suis stressée, il le sens, j'ai l'impression de lui faire mal, de mal faire.je suis maladroite, je ramene le petit dans la nacelle pres de moi, il se calme peu a peu, et moi je commence a pleurer, incapable de me calmer,a avoir des idées noires, imaginer que je suis une mauvaise mere, que je n'y arriverais jamais, seule, que je sais pas m'y prendre, que je serais peut etre capable de l'oublier un matin a la maison pour x raisons... bref que des peurs completement irraisonnées.

mais dans le plus profond de la crise, on ne raisone pas avec le coeur , mais avec les hormones (arggggg encore elles !!!)

mon cheri revient, je fais style " tt va bien ,je vais bien"

mais il n'est pas dupe, il a compris et me rassure, puis la sage femme arrive et on discute et ça me fais du bien.

J'avais pourtant anticiper ces etats d'ames que je savais normales mais que j'essayais de controler alors qu'il me suffisait juste de les accepter, et de me laisser pleurer, pour liberer ces tensions, mais trop de controles fait deborder .

 Depuis ce jour, plus de pleurs, un peu de doutes parfois, mais rarement plus de 10 minutes, c'est plus la fatigue qui derange mais c'est juste une question d'organisation.