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Poème et article spécial pour mon petit Elfe Taly
publié le 01/09/2013 à 19:43 |
Coucou Taly
Mon poème
Je suis le gestionnaire de ma flemme
Le jour et la nuit
Frappent de plein fouet
Mon corps si fatigué
Par les migraines et la flemme
Qui me laissent endormie et fatiguée
Je suis le gestionnaire de ma flemme
Et je dois faire face à cette agitation titanesque
Qui s’élève au dehors
En soulevant mes paupières
Lourdes et paresseuses
Afin que je me lève enfin
Et retourne à la civilisation menaçante
Je suis le gestionnaire de ma flemme
Et je suis seule pour décider
M’acharnant sur mon lit
Afin de garder ma flemme
Les bruits entrent dans mes oreilles fatiguées
Je décide de ne pas me lever
Heureuse et décidée
Un peu agacée par cette torpeur
Tiens bon ! Tiens bon ! Me dis-je !
Et je tiens en tremblant mon oreiller serré
A bout de souffle, mais combattante
Je me rendors sans aucun remords
Je suis le gestionnaire de ma flemme
Je tiens bon et je ne vais pas me lever
Nila a beau crier debout Taly
Il est l’heure de te lever et de travailler travailler
Je refuse de l’écouter cette petite fée entêtée
Qui m’a laissé sur son blog une stupidité
Elle n’a cas me laisser
A ma flemme retournée
Je ne lui ai rien demandé
signée Nila
Une solution contre la paresse et la procrastination
Par Jean-Philippe le 30 May 2011
dans Solutions simples
Vous la connaissez bien.
Avant, on appelait ça la paresse. D’autres disaient que c’était de la fainéantise, de la flemme, de l’oisiveté. Maintenant, ça fait mieux de dire “procrastination”, c’est plus technique, moins personnel.
Mais cela ne veut pas dire qu’on y échappe.
Les règles restent les mêmes.
Tous et toutes, nous devons constamment lutter contre elle.
Et souvent la bataille est inégale.
D’où nos rechutes, d’où nos projets inachevés, abandonnés, poussés sur le côté. D’où ce sentiment de culpabilité qui peut nous poursuivre tout au long de notre vie.
Pourtant, on peut vaincre cet état de fait. Mais il faut se battre.
Êtes-vous prêt à affronter l’ennemi ?
Avez-vous des tripes ?
D’où vient la procrastination ?
Penchez-vous sur votre passé, regardez les quelques années qui viennent de passer et rappelez-vous : quels sont les matins où vous n’avez eu aucun problème pour vous lever ? Pour bondir hors du lit sans attendre que le réveil ne sonne ?
Vous aviez une motivation, une bonne raison, quelque chose qui vous titillait et qui vous poussait à vous réveiller sans problème. Je ne vous apprends rien en vous disant cela mais, je voulais être certain avant de continuer que vous comprenez bien que vous n’êtes pas un être à part, un être “maudit”.
Tout le monde peut se lever le matin. Il faut juste trouver une bonne raison.
Mais ça, je ne peux pas le faire pour vous. Vous êtes seul avec vous-même, face à votre miroir à vous poser la question.
Normalement, nous savons ce que nous voulons faire. Nous avons des idées, des projets, des envies.
Ce n’est pas ça qui fait peur. C’est après. C’est le moment où l’on s’engage et où l’on sait que l’on ira pas jusqu’au bout. Pourquoi ? Parce que dans le passé, on a déjà eu ce même problème : partir sur les chapeaux de roues pour ensuite abandonner.
Heureusement, il y a des remèdes.
Origine du problème
Je le répète : nous sommes tous et toutes logés à la même enseigne.
Tous nous avons des projets et tous nous avons des doutes. Cependant, certains parmi nous réussissent à aller jusqu’au bout de leur défi. Car c’est bien un défi que nous nous lançons. Ce n’est pas un devoir à rendre, comme à l’école. Ce n’est pas un petit test ou un examen. Ce n’est pas un rapport à rendre à son patron.
Non là, le boss, c’est nous ! Nous devons rendre des comptes à nous-même et c’est à cet endroit que le bât blesse. Ça, on ne sait pas faire, personne ne nous a appris à nous gérer, surtout pas pendant notre scolarité où tout notre enseignement a consisté à apprendre à devenir de bons petits soldats.
Alors, tant que quelqu’un nous donne un ordre, tant qu’une date butoir nous est imposée, on s’en sort plus ou moins bien. Plutôt “moins” que “bien” d’ailleurs puisque ce sont des choses à faire qui ne nous passionnent pas réellement.
Mais personne ne nous a appris à gérer un projet en solitaire. Pas un prof ne nous a expliqué les clefs de cette gestion. Rarement un parent, un mentor ou un ami ne nous a fait passer par un entrainement conséquent afin que nous soyons adéquatement préparés pour ces challenges.
Alors nous échouons. Nous chutons lamentablement. C’est comme si on offrait à un bébé un vélo. Il va apercevoir autour de lui des gens qui roulent sur deux roues sans problème. Alors bien sûr, il va vouloir faire de même. Évidemment, parce qu’il ne sait pas encore marcher, il n’arrivera pas à utiliser sa bicyclette. Il faut qu’il apprenne les choses dans l’ordre : d’abord tenir en équilibre sur deux pieds et ensuite tenter la grande aventure du vélo.
Et il aura des guides : ses parents.
L’oisiveté est solitaire
Une fois devenu adulte, il est hors de question de demander de l’aide. Nous sommes “grands”, nous sommes supposés “savoir”, alors… appeler au secours ? Vous plaisantez ! Surtout pour quelque chose de personnel, qui n’est imposé par personne.
Dans un ebook sorti récemment, Do the Work, l’écrivain américain Steven Pressfield compare nos challenges à la pression qui est imposé aux Navy Seals. Ces-derniers sont les troupes d’élite les plus performantes de toute l’armée US, pouvant faire face à n’importe quelle situation, subir n’importe quelle pression, sans jamais faiblir.
La seule différence entre eux et nous, poursuit-il, c’est que les Navy Seals forment une équipe. Ils soutiennent. Ils sont ensemble dans la galère.
Et c’est ce qui fait toute la différence.
Y aller tout seul ou seule, cela signifie se mettre une énorme pression sur les épaules sans recevoir aucun soutien, conseil ou opinion.
C’est pratiquement suicidaire surtout si on ne l’a jamais fait auparavant. C’est comme lancer un appel à la paresse.
Et c’est pour ça que nous chutons encore et encore. C’est pour ça que nous finissons par avoir peur de tenter quoi que ce soit. Parce que chaque chute fait mal et nous donne de moins en moins envie de recommencer.
Jusqu’à finalement abandonner pour de bon et ne plus jamais rien tenter.
On regarde alors la vie nous passer sur le côté.
Quel gâchis !
Cela me fait mal au cœur. Réellement. Pour moi. Pour vous. Pour l’humanité. Pour nos enfants qui ne pourront pas bénéficier de vos créations que vous n’aurez pas été créées.
C’est pour ça que Cloudbraining existe.
Vaincre la paresse
Et là, je suis sincère.
Je me suis demandé, qu’est-ce que je pourrais faire pour m’aider et aider les autres ? Mes lectures m’ont fait très vite comprendre qu’il fallait trouver un système de soutien comme chez les Navy Seals, avec des règles, des manuels, des aides claires pour faire face à la démotivation et à la pression.
C’est ainsi que Cloudbraining est né.
Je n’ai rien inventé de génial. Ce système existe déjà sous différentes formes mais je voulais quelque chose qui soit facile d’accès.
Je voulais qu’il soit le plus simple possible sans être trop contraignant. Ainsi, au mois de février dernier, le premier groupe de “cloudbraineurs” a essuyé les plâtres de ce système. Je leur dois une fière chandelle car ils ont été assez courageux pour me suivre, se lancer vers leur objectif et ensuite me donner leur feedback afin d’améliorer la formule.
Ma fierté : de tous les inscrits, un seul n’a pas atteint la ligne d’arrivée, les fameux 30 jours de travail sur un seul projet.
C’est un signe non ? Cela veut dire que bien encadré – mais pas trop – pendant 30 jours consécutifs, on peut à son rythme, avancer dans un projet, commencer ou tester une nouvelle habitude, finir un dossier qui traîne. Je garde un souvenir très ému, de nos batailles, de nos luttes, de nos succès, de nos conversations en conférences vidéos pour nous soutenir.
Arrivés d’horizons complètement différents, nous garderons dans notre mémoire le souvenir de chaque membre. Pourquoi ? Parce que nous avons partagé les mêmes batailles, des évènements forts, intenses.
Et même si nos projets n’étaient pas de révolutionner le monde, le fait de les partager avec d’autres êtres humains pendant ces 30 journées, nous a rapproché.
D’ailleurs, pour vaincre votre procrastination, si vous vous inscrivez pour le prochain challenge, vous retrouverez certains d’entre eux, déjà prêts dans les starting-blocks, avec un nouveau challenge tout frais, tout neuf.
Ce n’est pas étonnant, parce qu’une fois qu’on a goûté au plaisir de réellement avancer dans ses projets et de franchir la ligne d’arrivée, on a qu’une seule envie : recommencer.
Alors, est-ce que vous avez les tripes ?
"Jean-Michel Berille, le responsable des télé-conseillers." |
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