J'ai mis ma jolie robe "années 50" hier matin. Je me sentais plus légère avec mes deux kilos en moins et je pensais pouvoir enfin en profiter. Je l'ai portée deux fois seulement et à cette vitesse, je ne suis pas prête de l'user.
J'ai souffert toute la journée car je suis encore serrée au niveau de l'estomac. Je pensais que ma robe test m'irait comme un gant... c'est un fait qu'elle me va bien mais j'ai cru étouffer toute la journée durant.
Alors... je perds patience.
ET oui, c'est bien moi ça. A peine le programme commencé, je voudrais que ce soit terminé et que mon but soit déjà atteint.
C'est ça qui me manque très certainement : le manque de patience !
J'ai préparé une soupe de concombre hier soir. Tout le monde à fait la "gueule". Mon homme en a mangé après avoir fait ses commentaires désagréables. Quant à la puce au bout de deux cuillérées elle a abandonné soutenue par son père qui ne pouvait pas l'encourager puisque lui même n'était pas fan.
Ca m'apprendra à vouloir leur faire autre chose que des pâtes ou du riz. Ma salade composée était délicieuse. C'était un repas presque 100 % légumes.
J'étais contrariée après un coup de fil désagréable le midi, j'ai donc zappé le dessert. Hier soir je n'avais plus faim. J'étais fatiguée.
Aujourd'hui, au programme, bricolage ! En effet, j'ai décidé d'entreprendre la restauration de mes chaises de cuisine qui sont dans un état lamentable. Cela risque de me coûter plus cher que si j'en achetais des neuves bon marché mais en fait je crois que j'ai surtout envie de me prouver que je suis capable de le faire. Je suis tentée par ce travail. J'ai tout lu, tout appris sur l'art et la manière de restaurer les chaises, il ne me reste plus qu'à mettre en application ce sui paraît si simple dans les livres.
Pendant que je travaille, je ne pense pas à mon corps qui vieillit et qui ne me plait pas. C'est un scoop non ?