Catherine Roots attendait un harnais pour cheval mais, en ouvrant le paquet, a découvert une mitraillette. Le paquet a été distribué avec le courrier de Mme Roots, alors qu’il aurait dû être déposé aux officiers du poste de police le plus proche. Mme Roots les a d’ailleurs appelés et deux policiers armés ont emmené l'arme avec eux. La police a plus tard expliqué que l'armurier avait fait une erreur dans le code postal.
Mme Roots, qui gère une petite ferme, avoue : « J’étais pétrifiée et je ne l’ai pas touchée, je ne savais pas si un coup ne serait pas parti. Si ce paquet était tombé dans de mauvaises mains, je n’ose même pas imaginer les conséquences. Après avoir contacté la police, deux officiers armés sont venus, aussi choqués que moi. »
La mitraillette était en fait une arme d’entraînement réaliste à infrarouges. Le chef assistant du poste de police juge légitime l’envoi par voie postale de ce qu’il ne considère pas comme une arme à feu, les vraies armes bénéficiant de transports spéciaux.
OUF! On se sent soulagé...