Bonsoir les copinautes !
   Quoi de dix moins un chez vous ? Bé quoi un tout petit calcul mental de rien du tout, enfin pas rien, rien c’est zéro d’abord… et là ça donne quoi, hum ???
Neuf. Et neuf, c’est pas rien !
    Et puis d’abord c’est mon blog et je fais ce qui me plait sur MON blog, na !
A part ça, grand ménage. Et con (haha) ne vienne pas m’dire que ce n’est pas du sport. Parce que ma dose d’endorphines et remontée en flèche. J’ai fait X lessives, ça pendouille partout sur cintres. On dirait une armée de fantômes sans têtes qu’aurait pris une grosse averse. Et dire que c’est ça qui me met en joie.
Je m’auto consterne.
Z’allez pas me dire que c’est pas du sport endorphinisant tout ça hum ?
La preuve…
    En fin d’aprèm, piscine. Mais une heure de vélo plus tard, on a cru à une panne de courant subite, tout s’est arrêté. Et les lumières ignares désespérément incandescentes au top de leur voltage que nous sommes, ne sont pas parvenues à faire office de transfo. Dommage. Ça eut pu aider. C’était juste la fermeture.
Héééé oui : 18 heures le dimanche, et on ignorait.
Même pas eu le temps de nager, ni de se détendre au jacuzzi. Pfffttt !
Bah maintenant on sait. On n’a pas su, mais on sait qu’on saura.
    J’ai eu le temps de pédaler une heure, d’où le survoltage de bonne humeur maintenu à son apogée, et je me réjouis même, rien qu’à l’idée merveilleuse du repassage qui m’attend demain. Même avec le fer pourri qui fuit !
J’irradie à cette seule idée.
    Je sais. C’est dingue. Et je vous sens bien dubitatives quant à mon état mental du soir. Pas d’inquiétude. Moi aussi, je doute hihi !
Mais si je doute, je pense, et si je pense, je suis.
   Compte tenu du fait, que je ne pense jamais à rien, toujours en lévitation sur mon nuage, je considère cela comme une bonne nouvelle. Bah oui, habituellement je ne pense pas, donc je ne suis pas… vous suivez ?
Savoir que je doute me rassure,  même si j’en doute.
  Ne vous inquiétez pas, dont worry, be happy. L’overdose va redescendre en flèche, et je ferai la tête comme il se doit à bon escient, devant ma table à repasser que je hais, dès demain matin. Retour à la raison. Et j’ose espérer que ma raison d’être puisse dépasser le vil concept du fer à repasser.
En clair : on a d’autres raison de se sentir exister qu’en compagnie d’un fer pourri ! Non ? Bah oui, j’ai aussi les courses, à faire, terminer les chambres, et l’association l’après-midi. Pas fini de transpirer avec tout ça, j’vais plus m’sentir… ou trop… Hihi !
   Allez passez une bonne nuit, j’ai fatigué vos méninges là tout de suite hum ?

Bisousss les z’amies !