Bonjour les amiteussss !

         Alors où j’en étais-je ? Ah voui, samedi, lever tardif, et shopping, à l’Usine, complexe de 150 magasins avec Camille, je sais que je vais vous décevoir mais il ne nous est rien arrivé de fâcheux à part quelques essayages catastrophiques pour cause de petits bourrelets comme tout un chacun dont surtout nous, hi hi !

         Je me suis trouvé un chemisier blanc tout simple avec petits volants festifs devant, donc avec le pantalon noir confortable prévu, et veste noire cintrée, ce sera parfait ! Camille s’est offert une nappe (à l’essayage, c’est moins classe, mais bon…) pour sa table de cuisine.

On a papoté, marché, marché, j’avais pris soin de mettre des chaussures neuves (excellente idée à l’aube d’une soirée dansante…) et suis rentrée les pieds limite en sang, ça va de soi…

    Le soir, on attendait que notre Julien rentre du salon, tous affalés dans les canapés, Camille et moi des rondelles de concombre sur la figure, pour dire de cacher la misère, mais la Titi a bien failli y goûter, ça l’intriguait sec, ces légumes bios sur tronche hi hi !

On s’est quasiment endormis, Julien est rentré, nous a réveillés en fanfare (à 18H30) pour nous annoncer qu’il prenait sa voiture finalement. Merci d’avoir prévenu.      

   On est arrivés en retard, tout le monde déjà à table s’inquiétait, on a loupé l’apéro somptueux paraît-il, mais c’est pas grave… on conduit et on veut pas grossir.

         Soirée chouette. Avec orchestre.

Un tantinet difficile pour suivre les conversations, penchés au-dessus de la table, la main en cornet, mais bon… et tout compte fait un peu difficile pour les danses aussi, car plutôt axé jazzéïfié, l’orchestre. Mais re bon...

Par contre, à écouter, très chouette.

Ben, c’était ça ou ramper sur les tables pour se comprendre de toute façon et tous à quatre pattes sur les tables, ça aurait fait désordre.

Hi hi !

         Sur les quelques morceaux à peu près dansant, ZOUUUUU, tous les copains sur la piste et Colette en tête évidemment, c’est là où au cours d’un rock endiablé avec le Jip, je me suis rendue compte que mon soutif remontait méchamment, genre écrasement. 

Méga  giga chiant comme truc !

   Heureusement j’avais prévu LE soutif parfait dans le sac au cas où. J’aurais dû me méfier aussi pour le blanc. Neuf, allure parfaite, mais jamais porté. Mais pourquoi donc cet abandon, hum ???

Ben, maintenant, je sais LE pourquoi. Hein ?

J’ai enfilé le noir aux toilettes méga dicrètement parce que les baleines qui coupent la poitrine en deux au moindre bras levé, c’est pas top ! Déjà qu’on compte le nombre de rocks dansant sur les doigts d’une main… Pas question de les louper!

    Mais c’était sans compter sur la discrétion de ma chère Camille, laquelle, avec quelques verres dans le pif (elle ne conduisait, n’a pas arrêté de le dire d’ailleurs à chaque remplissage de verre hi hi), a trouvé cette anecdote follement drôle, et s’est empréssée de hurler l’aventure à la copine d’en face (à cause de l’orchestre qui jouait trop fort et terminait d’ailleurs, son morceau… donc aucun intérêt à continuer de hurler dans ce cas, mais trop tard. La tablée en a profité et a bien ri, mais ils me connaissent aussi… pas étonnés du tout donc, ça a mis de l’ambiance.  

Méga giga discrète ma Camille ! MERCI Camille.

         Bref on a très bien mangé, bien bu (enfin surtout Camille hi hi  je me venge là) et surtout bien rigolé !

Voilà les news je vais voir vos blogs et m’allonger, le cyclone Camille est reparti, la calme après la tempête revient.

Ahhhh oui j’oubliais, Camille pour faire le plein avant de partir, utilise la carte de crédit de SA fille par erreur, avec le code de la sienne, à elle. Ah ah ah ! No comment.

Bisoussss les fillottes , à + sur vos blogs !