Tous les nutritionnistes
du monde sont d'accord sur une chose, la prise de poids est lié à une
consommation calorique supérieure aux besoins de l'organisme.
Pour mincir il existe donc deux solutions :
- manger de la même façon qu'avant mais des' aliments peu caloriques (mais
aussi peu goutus): yaourt 0%, viandes blanches, poisson vapeur, légumes sans
gras, fruits...
- ou manger moins, c'est à dire manger de tout mais en arrêtant de manger dès
que l'organisme envoi les signaux de "stop". Un mangeur à l'écoute de
ces signaux peut manger de tout sans grossir, il s'arrêtera de manger dès que
son corps aura reçu suffisamment d'énergie.
Personnellement je préfère travailler avec cette 2eme méthode qui me parait finalement
pleine de bon sens, le plaisir de la table est conservé et la frustration
est absente.
Pour beaucoup il est difficile de savoir quand arrêter de manger, les signaux
sont mal perçus ou la gourmandise fait parfois manger plus que sa faim.
Il faut apprendre à sortir de table dans sa "zone de confort"
La zone de confort, en gros, ce serait l'état dans lequel on se sent bien après
avoir mangé : on prend son repas, on mange, et puis on s'arrête parce qu'on n'a
plus faim et que l'on n'est pas encore "trop plein"...
Bref, on ressent un état agréable qui nous situe dans notre "zone de
confort". Un état plaisant, un juste équilibre à mi-chemin entre le
"pas assez mangé" et le "trop mangé", bref une sensation de
justesse, et avant tout de confort digestif!
Voila les questions qu'il faut se poser au cour d'un repas :
- "si je me ressers (ou si je finis mon assiette) aurai-je encore de la
place pour le dessert?"
- "si je me ressers (ou si je finis mon assiette) est ce que je ne serais finalement
pas moins bien que maintenant?(ventre trop plein, écoeurement...)"
-"si je me ressers (ou si je finis mon assiette), est ce que je serais
toujours dans le plaisir?"
Généralement cette approche permet d'excellents résultats, mais elle demande
une remise en question complète du comportement alimentaire du patient. En même
temps on ne peut pas mincir sans modifier sa façon de se comporter face à
l'alimentation. La baguette magique amincissante n'existe malheureusement
pas...
Florian Saffer - diététicien - approche comportementale et sensorielle
Bonne journée
voilà, c'était long mais....
et mille excuses pour les fautes d'orthographe!!!
j'essaie de mettre en application cette méthode depuis qq semaines...pas de grosses frustrations (1 peu quand même car j'aurai 1 tendance gourmande voir des pulsions chocolatées parfois dûes au stress ou un besoins de compenser l'arrêt du tabac...)....
bref, un rééquilibrage de mon alimentation et une prise de conscience de ce que je mange, tout bêtement en le notant sur plusieurs jours...
ça se passe plûtot pas mal et j'en retire une satisfaction en ayant l'impression d'apporter du bon à mon corps, et c'est déjà 1 premier point positif!
par contre, j'ai beaucoup de mal à reconnaitre les signaux de mon corps, comme tu l'expliques dans ton blog. C'est fou de se rendre compte que des sensations aussi basiques que la faim et la satieté sont devenues finalement très ambigues et très floues à distinguée...sans compter qu'on prend parfois l'habitude d'anticiper la notion da faim pour ne pas se jeter sur une alimentation déséquilibrée...finalement je me rends compte que je mange souvent sans avoir vraiment faim!
j'ai un autre soucis et qui me tracasse plus. J'aimerai avoir ton avis. après un commencement de rééquilibrage alimentaire conseillée par 1 nutritionniste et globalement respectée, la perte de poids se fait attendre (1 petit kg en 1 mois....). Est ce normal que ça prenne autant de temps compte tenu de la "douceur" avec laquelle le régime et les nvelles habitudes alimentaires sont amorcées? je précise que je n'ai pas énormément de kg à perdre (4 selon le calcul proposé sur to site) et que je suis bloquée par 1 tendinite depuis 6 mois m'empêchant de pratiquer du sport....
penses tu que je dois durcir 1 peu le régime dans 1 premier temps pour accélérer 1 peu les choses? je t'avoue que l
PROBLEMME DE HYPOTHYROIDES AVEC SUIVIE MEDICALE.
ET QUE MALGRE LA MEDICAMENTATION LE CORP A DU MAL A REAGIR DURABLEBLEMENT?
QUE PEUT ONT FAIRE DANS CE CAS,?
je suis comme Maryse, je ne suis pas un régime ... j'ai tout simplement une autre hygiène alimentaire ..... mon subconscient n'est nullement frustré et ..... tout va bien ...............
merci de tes conseils .......... passe un excellent dimanche
Bizzzzzzzzzzzz
Renée
très intéressant ton article! Moi je ne suis pas au régime. Je modifie mes comportements! Je travaille beaucoup sur moi-même aussi! Apprendre à s'aimer et mieux se connaitre cela aide beaucoup dans sa réussite personnelle! Merci et passes un bon dimanche! Bisous xxx