Un temps maussade ce WE à Nice et pas envie de pousser jusqu'à Monaco, du coup pas vu pas pris, je suis rentrée avec mon homme et mes enfants.

Une ballade sympa dans le vieux Nice que je ne connaissais pas et un resto tout aussi sympa, à cela ajoutés poulet-riz + blanquette de veau+ crêpes party et la balance accuse + 1KG, de quoi me mettre le bourdon mais c'est décidé je repars en guerre contre ces kilos superflus.

Niveau ambiance, pas génial. Une tristesse latente et chacun essaie de faire bonne figure mais reste dans ses sombres pensées. Et puis de la tension perceptible le dimanche car pour faire plaisir aux uns, certaines personnes "indésirables" étaient présentes mais comment faire autrement.

 Patricia (aidée chimiquement) et Alexia tiennent le coup. Alexia est même surprenante, elle parle librement de la mort de son père en l'absence de sa mère (pour ne pas lui faire de peine et la voir pleurer) mais s'isole de temps en temps comme au cours de la ballade au bord de la mer pour parler à son père et parfois pleurer elle aussi. Du coup je suis rentrée avec une immense tristesse au fond de moi.

Côté boulot, pourquoi ai-je demandé l'aide d'une consultante de ma boîte? Elle ne m'apporte rien si ce n'est me faire culpabiliser d'être si peu sûre de mes résultats. Les outils qu'elle m'a envoyés me sont familiers,  je les ai déjà utilisés avec succès. La discussion avec elle ne m'a  pas permis d'avancer (elle me donne les conclusions auxquelles il faut que j'arrive pour mieux vendre une prestation derrière) et me laisse  en colère contre moi-même. Enfin elle va suivre ça de loin et je vais la tenir à distance pour mener ma barque comme je l'entends.

De Nice j'ai ramené un état grippal, mais à coup de paracétamol ça ne devrait pas durer, d'autant qu'hier soir me suis couchée tôt et je crois que je vais en faire autant ce soir. C'est pour quoi je viens de passer un peu de temps sur ce site et m'en retourne au boulot. C'est pas tout mais j'ai un déménagement à préparer moi!