1. Peu importe la vitesse à laquelle tu avances, le plus important est de ne jamais t'arrêter.

2. Celui qui connaît toutes les réponses n’a pas posé toutes les questions.

3. Quand la colère monte, pense aux conséquences.

4. Voir ce qui est juste et ne pas le faire, c’est manquer de courage.

5. Si tu détestes une personne, cela veut dire que c'est elle qui a gagné.

6. Exige beaucoup de toi-même et attend peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront épargnés.

7. Si tu sais que tu as fait une erreur et que tu ne la corrige pas, c’est là que tu commets véritablement une erreur.

8. La joie est en tout, il faut savoir l’extraire.

9. Agis envers les autres comme tu aimerais qu’ils agissent envers toi.

10. S'ils te crachent dans le dos, cela veut dire que tu es devant eux.

 

jOUR 21 - TRAVAILLER

Tout commence en nécessité et tout doit finir en liberté (Maurice Zundel)

Non qu'il faille espérer tenir notre mental en laisse et exercer sur lui un contrôle absolu. Mais juste rétablir un équilibre des forces : pouvoir se concentrer ou se calmer, par exemple, aux moments où nous en avons besoin.

Leçon : ce que recommandent les méditants chevronnés, c'est de commencer et de terminer ses journées par quelques instants de pleine conscience: en ouvrant mes yeux le matin, et le soir au moment de les fermers, prêter attention à mon expérience de l'instant présent (mon corps, mon souffle, le bavardage de mes pensées, le cours de mes émotions..). C'est aussi de traverser ces mêmes journées avec, régulièrement des espaces de pleine conscience (lors des attentes ou des transitions entre 2 activités). C'est enfin, si nous voulons aller plus loin, d'avoir une pratique approfondie toutes les semaines, pendant une demie heure ou une heure; ce qui est plus facile si on le fait en groupe et avec un instructeur expérimenté.

A chaque seconde, nous entrons au paradis ou bien nous en sortons (Christian Bodin)

Dans la tristesse,, nous arrêter et consentir à de touts petits bouts de bonheur. Même brefs, même, tristes eux-mêmes, même incomplets, même imparfaits, même fragmentaires.

Leçon : à propos du bonheur, la pleine conscience nous apprends simolement ceci : comme le bonheur est indisociable du malheur, comme la vie ne manquera pas de nous confronter au tragique désarroi, autant ne pas rêver d'un bonheur parfait et permanent. Mais apprendre à le savourer par petits bouts : lui laisser une place malgré les tracas et les soucis, au milieu d'eux et non une fois qu'ils seront enfuis ou que les problèmes seront réglés (sentir un beau jour que tout nos problèmes sont réglés, ça n'existe pas,( surtout si nous sommes des inquiets ou des mélancoliques. )

Réserver nos petits bonheurs, même dans l'adversisté. Surtout dans l'adversité. C'est là qu'ils sont  les plus touchants, les plus magnifiques, les plus indispensables

Je partage ce moment pour faire part de ma reconnaissance auprès des vendeurs de chez Conforama.

j'étais partie ce matin, avec mon ptit bon achat fidélité pour me trouver un GPS, outil indispensable pour futur job. le vendeur sur place me dit qu'ils n'en font plus mais... il me donne le nom d'une appli, gratuite, qui peut être utilisée hors connexion! Alors Merci George

Du coup me voilà me balader coté appareil cuisine et là j'hésite entre appareil à pain et un superbe appareil tout mimi qui fait des gâteaux. Là je demande à Bruno (c'est mon vendeur attitré multimédia) et il me conseille cet appareil :

Téfal Cake Factory: avec ces 5 programmes (gâteau à partager, gâteau individuel, coeur coulant,  meringue et le dernier fonte de chocolat) livré avec bouquin recettes et 3 plats! Du coup j'ai utilisé mon bon fidélité et le reste j'ai fais en 3 fois avec ma carte confo. (mensualité de 37e)

j'ai donc promis à Bruno, George, et Raquel à qui j'ai fais coucou (Raquel ma vendeuse conseil pour ma cuisine équipée) que je leur ferai un gâteau pour les remercier. Parce qu'ils le valent bien.

Cela m'a fait tellement bien leur gentillesse, leur aide. J'ai beau être secouriste mais des fois surtout en ce moment la secouriste est au bout du rouleau et a besoin qu'on lui remonte le moral, chose que je n'ai pas trop auprès de mon entourage convivial ici en Touraine.

Ma reconnaissance du jour : Merci de m'avoir mis sur mon chemin ces 3 personnes si adorables..

Hello les copinettes

ce matin je me suis levée sous un jour nouveau. je me sens plus redressée, je n'ai plus de douleur au dos en tout cas c'est léger. Comme si l'épée de damocles était ressortie.

J'ai une reconnaissance auprès d'une dame qui était dans la salle d'attente avec moi et qui m'a dit que j'avais une tête que ça allait pas. On a papoté un peu. J'ai beau être secouisite mais des fois cela fait du bien de voir qu'on s'intéresse un petit peu à moi aussi.

Mon esprit est apaisé ce matin.

Au programme du jour :

rééquilibré suite au Mc Do d'hier soir. Mais c'était un Mc Do pansement. 1h de fitness de prévu

Aller à la clinique déposer le courrier pour le psy pour démarrer les séances contre ma phobie

Aller à la biblio pour y étudier 2h

rechercher de nouvelles offres et continuer à postuler 

Bonsoir tout le monde

en ce moment ce n'est pas le top du top. Je fais des nuits blanches depuis ce que j'ai dû encaisser au boulot.

Je n'ai pas été bosser. J'ai pris rdv avec mon docteur ce soir.

Cet après midi une dame que je connais que j'avais tenté de coacher pour courir m'ayant appelé et entendant le son de ma voix s'est proposé de venir me tenir compagnie.

Arrivée à la maison c'est moi qui ai dû la consoler car elle s'est mise à pleurer suite à ses pb perso.

j'ai eu mon instinct qui m'a fortement bousculé. J'ai des offre d'emploi par chez moi en qualité d'auxiliaire de vie et cela m'a remué dans mon cerveau version cocotte minute.

Je me suis remise en question cette nuit et ce matin et cet après midi et devant le docteur. Les douleurs dorsales sont psychosomatiques, c'est mon diagnostic parce qu'en étant à la maison je n'ai plus mal au dos. Alors qu'au boulot j'ai mal au dos. D'où l'expression : en avoir plein le dos!

Mon instinct de survie (c'est ça de vivre avec un tigre) m'a fortement conseillé de m'échapper ! Je me suis renseigné. Le poste d'auxiliaire paye plus que celui que j'ai actuellement.  Il serait un tremplin en attendant que je réalise mon rêve. De plus il y a des formations en interne. Et surtout je serai plus proche de l'humain.

Mon docteur m'a arrêté jusqu'à la fin de la semaine prochaine. Sachant que jeudi il y a une campagne de recrutement par un organisme d'assistance à domicile. J'ai postulé par mail ce soir par anticipation, et aussi auprès d'une maison de retraite qui est à 10mn de chez moi à pied (ce qui économiserai ma voiture et l'essence)

mon docteur m'a dit que depuis 2 ans il a constaté que j'étais proche de l'assistance aux personnes et qu'il m'encourageai à postuler pendant toute ma semaine d'arrêt.

l'avantage : si je suis prise même pour débuter en CDD avant fin mai, j'échangerai mes congés de juin contre le préavis, je dis adieu et je m'épanoui vers de nouveaux horizont

autre avantage : ce sera une expérience forte qui comptera lorsque je rechercherai un poste d'ambulancière.

ce soir j'ai diné d'un menu double cheeze de chez mac do, parce que j'avais besoin d'un mac do pour me consoler et me remonter.

Ne pas chercher à ne ne pas soufrir ni moins souffrir, mais à ne pas être altété pas la souffrance (Simone Veil)

Leçon : parfois, on va tellement mal qu'on doit se réfugier dans l'action seule, redevenir des bestioles, produisant inlassablement des efforts pour survivre. Sans réfléchir. Parce qu'on sait que la réflexion sous l'emprise du malheur peut produire encore plus de malheur et d'aveuglement. Alors jsute agir : savoir en gros ce qui est bon ou nécessaire poru nous, tout de même, c'est à dire avoir un peu réfléchi avant! Puis agir, avec humilité totale. Le faire parce que l'on sait que cela va nous adier à survivre. Aller marcher, jardiner, ranger, bricoler, travailler. Agir non pas poru s'évader ou se sentir soulagé, mais parce qu'on ne peut rien faire d'autre et que, si l'on ne fait rien, on coule. Ce n'est ni drôle, ni valorisant, mais il y a aussi des moments comme ça dans nos vies.

Développe un esprit qui soit vaste comme l'espace, où les expériences agréables et désagréables peuvent apparaître et disparaître sans conflit, lutte ou douleur. Demeure dans un esprit vaste comme le ciel (Bouddha)

leçon : quand on souffle beaucoup, quand on est très malheureux, on se coupe au monde. On ne lui trouve plus d'intérêt, et il nous semble indifférent, presque offensant. Mais il va pourtant, à sa manière, nous aider ou nous sauver. Plus on souffre et plus on doit s'assurer de rester en lien avec tout ce qui nous entoure. La souffrance est toujours aggravée et prolongée par la rupture et l'éloignement, la réaction sur nous-mêmes. Entrainement: lorsque je me sens malheureux, continuer de rester sensible à la beauté du monde. Même si elle ne me soulage pas, même si elle ne m'aide pas tout de suite. A un moment, tout basculera et elle me sauvera.

Hello la compagnie

je vous souhaite une belle semaine

ici soleil mais froid. Cela va se radoucir dans la journée.

Ce matin séance kiné. Hier j'ai fais séance yoga spécial dos trouvé dans une magasine de la biblio. Merlin s'y est mis. Après la méditation il se met au Yoga! C'est sérieux, il s'étire en me regardant faire. Il est aussi Master chef de cuisine. J'ai mis un minuteur et quand il a sonné il a miaulé genre : "c'est prêt!"

Je prévois d'aller à la biblio cet après midi pour étudier. En fait je vais me caser lors des jours de repos des rdv biblio pour étudier sur place. Psychologiquement cela m'aide à sortir de ma zone de confort, "je pars étudier" J'entraine mon cerveau à voir autrement les choses.

Hier tirage de mes cartes. Elles ne m'annoncent plus de danger, ouf. Mais un savoir à bosser et une indifférence à mettre en place (je pense concernant mon job actuel) La semaine s'annonce cool.

Idem hier j'ai transformé des phrases. Par exemple j'avais envie d'un café. Avant je disait : je vais me faire un café.

Tout le monde dit "je vais me faire un café" ou "je te fais un café?". Cependant, si vous regardez bien, vous ne faite pas le café. C'est la machine qui le fait. Alors hier j'ai changé cette phrase en la remplaçant par :

Je m'offre un café.

En m'offrant quelque chose, mon esprit s'entraine à la douceur, mon mental se sent aimé car on lui offre quelque chose, on ne l'oblige pas à faire.

C'était la minute philosophique du jour.

bonne journée!

Où est donc ma peine? Je n'ai plus de peine. Ce n'est qu'un murmure au bord du soleil (Paul Fort)

Pourquoi vouloir commencer par changer le problème? Et si parfois nous commençions par changer notre réaction aux problèmes?

Leçon : lâcher prise, c'est quoi? Ce n'est pas fuir le réel par la distrcation ("aller, change toi les idées") ou l'auto-persuasion ("détends toi, tout ira bien"): ça nous savonds déjà faire, et parfois d'ailleurs ça marche. Mais pas toujours. Non lâcher prise c'est autre chose, de bien utile aussi: c'est rester là, présent, dans une attitude mentale particulière. Rester là en renonçant à contrôler, à trouver une solution. Mais rester là, avec curiosité, sans cesser d'être attentfif (comme un nageur qui interrompt ses mouvements et se laisse porter par le cours du fleuve. il ne s'agit pas de passivigté mais de présence.