... de la mélancolie. 'vi, un peu, c'est vrai, faut le reconnaître. Mais c'est que mon 'tit homme ne va pas bien du tout dans sa tête... et je me sens désarmée. De nature anxieuse, je panique quand je le vois perdre pied et jusqu'à présent j'avais tendance à l'exprimer sous forme d'agacement. Là... suite à notre conversation il y a deux semaines, je lui ai promis de changer d'hatitude par rapport à ça. Le hic, c'est que j'essaie de parler avec lui, mais il ne dit rien et se renferme à 300%. Conclusion, béh, comme je le disais à Carolinel en MP, bien je découvre vraiment le fait d'exprimer son stress en mangeant entre l'opé et ma moitié... en dépression, vi, il faut le dire. 'tention, il est déjà suivi par une thérapeuthe depuis deux ans, donc il "travaille" sur lui-même comme on dit, mais il traverse des périodes sombres.
Enfin, trève d'appitoiement ! Alors comme ça, il paraît qu'il n'y a pas moyen de laisser de com' sur mon post précédent : merci à ceux qui me l'ont signalé en MP et voyons ce qu'il en est de ce post-ci.
Faut aussi que je vous parle des bonnes nouvelles... un peu quand même. Donc rdv chez le kiné mercredi soir et je vous laisse deviner... Il était abasourdi, complètement ahuri qu'un orthopédiste et un médedin du sport aient diagnostiqué, confirmé les diagnostics et tenté de soigner une TENDINITE DU FASCIA LATA. Parce que voyez-vous, la douleur n'est pas située sur le fascia lata, mais bien sur le bas du vaste externe (muscle de la cuisse ) qui se trouve bien plus à droite que le fascia lata... et il pense qu'il s'agit plus d'une déchirure que d'une tendinite. En sus, pour en rajouter une couche, nous avons constaté, ensemble, que mon genoux gauche ne pouvait plus effectuer de rotation vers l'intérieur (aucun autre médecin ne l'a remarqué). Quelques exercices plus tard, je réactivais toute l'amplitude de la rotation de mon genoux et de ma cheville (aussi bloquée) et je me retrouve avec seulement qques petits exos à faire tous les jours à la maison pour travailler cette mobilité ainsi qu'un muscle de la fesse que le médecin du sport a probablement irrité par ses injections (d'où les lancements dans le nerf sciatique) et enfin la bénédiction du kiné pour reprendre la CAP en douceur après ma convalescence post-opératoire. Bref: je suis sortie de là en sautillant comme une gamine ;-) Reste à voir ce que cela donnera à la reprise :-)
PS : un tout grand merci pour vos MP à tous !
