Il n'y a pas plus vieux que de ne pas vouloir vieillir. C'est ce que fait notre génération. Notre monde nous renvoie une image désastreuse de la vieillesse. Nous avons peur de mal vieillir, de finir seuls, mal aimés, peut être dépendants ou déments, dans des lieux sans vie, loin de tout.

Nous conjurons cette peur, au lieu de l'affronter, en nous accrochons à notre jeunesse, dans un déni un peu pathétique. Alors nous risquons de manquer "le travail de vieillir" c'est à dire l'expérience d'une conscience heureuse du vieillessement.

Lisez le magnifique livre de Marie de Hennezel " LA CHALEUR DU COEUR EMPECHE NOS CORPS DE ROUILLER"  Elle écrit que les clés pour une vieillesse digne d'être vécue existent,,,,,,,,,,

Moi j'ai peur de vieillir, non pas sur le plan physique, mais je ne voudarais être à la charge de personne et surtout ne pas finir ma vie dans un "mouroir" c'est à ce moment là que "mourir dans la dignité" devrait être possible, ,,,,,,,,, ce n'est pas gai tout ça ,,,,,,,, 

j'ai copié pour faire un essai en espérant que cela fonctionne.....
Mes trois petites filles m'ont téléphoné et il nous  tarde de nous voir vendredi à Paris Plein de BISOUS et CALINS (les papas sont un peu jaloux......)crise de fou rire restaurant chinois car j'adore et il n'y en a pas ici BREF DU BONHEUR BEAUCOUP DE BONHEUR pendant 3 jours....
Grosses bises à toutes et bonne fête à toutes les grands mères

Apprendre à se taire sans autre motif que sa propre volonté.

Se taire pour convertir le silence en complice.

Se taire pour savoir si un écho éxiste.

Se taire pour comprendre que le silence est le masque des sons les plus beaux.

Manier le silence est plus difficile que de manier la parole (Clémenceau)

Se taire pour écouter

Se taire pour regarder

Se taire pour apprendre

SE TAIRE POUR SE TAIRE......................................

OU BESOIN DE FUITE ET SES MOTIFS INTIMES.......
Les contemporains de Freud y voyaient une variation de la folie. Aujour'hui quelques philosophes ou psychiatres considèrent la FUGUE comme une maladie mentale transitoire au même titre que la dépression . Ulysse était-il fou ????
La fugue, si radicale soit-elle reste un leurre. Le corps physique change de climat, mais pas le mental. On ne s'arrache pas si facilement à son destin, et c'est à la faveur des voyages qu'on y replonge, d'une manière frontale, car plus désarmée...

Nous vivons sous la menace de nos émotions douloureuses : colère, désir, orgueil, jalousie et ainsi de suite. Nous devons donc toujours être prêts à les contrer à l'aide de l'antidote approprié....Il faut cultiver la confiance en nous et dans la vie. L'imperturbalité face aux évènements bons ou mauvais. le désir de ce que l'on a (en cessant de penser à ce que l'on ne peut pas avoir) La chaleur humaine , une meilleure relation avec la peur. L'amitié pour nous même, le courage de renoncer à nos vieilles habitudes mentales. Il faut s'occuper de notre égo et moins de celui des autres. Notre timidité peut cacher un orgueil excessif. Il ne faut pas se faire trop de cinéma. Combattre la paresse mentale. Il faut répéter le déni de la souffrance. La confusion entre bonheur et plaisir. L'espoir en des jours meilleurs, rejeter la peur de la solitude, la victimisation, le désir de vengeance, le pessimisme et le doute.
Si nous avons tant de mal à reconnaître notre vraie nature, c'est parce qu'elle est trop simple et trop proche de nous.
EST CE LA LES ANTIDOTES APPROPRIES ???????????????,
Bisous et à bientôt

Réussir c'est arriver, parvenir quelque part et nous vénérons le succès. Nous avons tous envie de réussir d'une façon ou d'ine autre. Nous luttons pour obtenir quelque chose, sans jamais nous arrêter un instant pour nous demander si la chose recherchée mérite nos efforts. Ce n'est qu'après avoir compris que nous cessons de penser en termes de succès ou d'échec. Nous avons tellement peur de l'échec dans la vie. Nous ne sommes pas infaillibles.Tout le monde commet des erreurs. Le monde cesserait-il d'être en proie à l'horrible pagaille dans laquelle il est, si nous ne faisions jamais d'esseurs? La Société a instauré certains critères selon lesquels nous sommes reconnus comme ayant réussi ou échoué. Lorsqu'on aime ce que l'on fait on ne doit pas penser en termes de succès ou d'échec. C'est seulement lorsque nous n'aimons pas vraiment ce que nous faisons que nous pensons en ces termes là.

Plus de chant d'oiseaux, plus de bruissement de feuilles, c'est la saison du silence. La terre s'endort, la nature en appelle à une vie sans vacarme. Moment idéal; pour loin de la foule, tenter de faire silence en soi et autour de soi. Accorder un peu de douceur à nos oreilles. Cela n'est pas facile, au milieu des bruits ambiants en tous genres de ceux qu'on subit comme de ceux qu'on s'impose par habitude. C'est pourtant dans ce refuge que se puisent aussi de nouvelles énergies.

Je devais partir le 15 Février au MALI pour voir notre grande AMIE Elisabeth et visiter aussi ce pays. Malheureusement je ne peux pas y aller je le regrette beaucoup
Aujourd'hui j'ai téléphoné à notre amie pour lui annoncer ce contre temps qui nous a contrariées.....
Elle va très très bien, vous embrasse de tout son coeur. et vous transmet sa sincère amitié. Peut être la semaine prochaine elle ira à Bamako et essaiera de nous envoyer un mail, mais elle ne peut pas le faire de sa brousse.
Gros bisous

Bonsoir à toutes et tous. BONNE ET HEUREUSE ANNEE et surtout que mes voeux vous apportent une bonne santé, de la joie et beaucoup d'amour. J'ai passé la moitié de ma vie à voyager, c'est le premier voyage qui a été un FIASCO du début à la fin c'est à dire départ / retour chez moi. J'ai eu l'impression qu'il y avait "un chat noir " qui nous précédait que des ennuis heureusement sans gravité.......mais ce n'est pas la faute à l'ISLANDE quoique nous n'avons pas vu grand chose le jour se levait à 11 heures et il faisait nuit à 14 heures....il n'y avait pas de neige, mais de la pluie et pas de neige, il faisait aussi chaud qu'à Paris.
J'espère que je vais pouvoir compter sur vous pour me remonter le moral , En ce moment la météo de mon moral a l'air de virer au variable, tendance orage.grosses bises

 

Ce n'est pas parce qu'on est enveloppé qu'on ne peut être amoureux. Pour un rhinocéros, avoir du pif, être un nez , c'est l'essentiel, quand la vue d'une belle croupe est brouillée par l'imposant ornement qui orne votre face. En plus il est bigleux. Hélas, il est bien rare qu'on ne trouve pas sur son chemin quelque rival ayant aussi flairé la bonne affaire. Alors bien sûr il faut bouter l'autre prétendant et pour ce faire, après avoir grogné son dépit, croiser le fer ou plutôt la corne en un combat d'escrime improvisé. Une dizaine de minutes suffisent pour que cède l'un des deux belligérants : le vaincu se détourne sous les grondements de son concurrent. Reste au vainqueur de recueillir le prix de sa victoire, plus d'une heure d'accouplement avec la favorite et ce parfois plusieurs fois par jour, le tout précédé d'une cour succincte avec coups de tête et de corne accompagnés de piétinements, jets d'urine,puis défécations.
l'extase suprême : se rouler dans la boue avec sa partenaire avant l'acte final.
Tout ça pour ça, oui, mais le résultat, quinze mois après, sera un admirable rhinocéros miniature, d'une quarantaine de kilos, se tenant debout dix minutes après sa naissance.