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petites astuce
publié le 29/01/2008 à 14:09
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Tous les matins, je vous invite à sortir de chez vous pour marcher pendant 30 minutes, mais faites-le l'estomac vide. Vous pouvez, bien sûr, boire un verre d'eau ou de thé vert sans sucre juste avant. Si c'est vraiment impossible pour vous à cette heure là, faites votre promenade de 30 minutes à un autre moment de la journée, en vous assurant de le faire systématiquement l'estomac vide. C'est-à-dire juste avant le déjeuner ou le dîner.
Pourquoi l'estomac vide ? Ca c'est un vrai secret de stars et
c'est une pratique qui s'est largement répandue dans le cercle très
fermé des célébrités de Hollywood.
Mieux dormir pour mincir, oui c'est possible !
Plusieurs études très sérieuses l'ont montré, une durée du sommeil insuffisante perturbe le régime alimentaire et influe directement sur la prise de poids. Et comme la durée de sommeil diminue dans les pays occidentaux, les problèmes apparaissent et ont tendance à s'aggraver.
Ainsi, les gens qui ne dorment pas assez présentent des variations hormonales qui augmentent le désir de manger. Par ailleurs, cette relation entre une durée de sommeil insuffisante et un risque de surpoids élevé existe autant chez l'enfant que chez l'adulte.
N'allez pas dormir toute la journée loll. Bon courage et gros bisous mes chèrie....
Les blessures et les injures
publié le 25/01/2008 à 15:45
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Il y’avait autrefois dans la montagne une femme que le destin n’avait cessé de malmener. Elle vivait seule dans une pauvre bicoque après que la mort lui eut ravi son mari et ses 7 garçons.
Tant
que ses forces ne l’avaient pas abandonnées, elle supporta les
difficultés de la vie, mais celle-ci s’écoula bien vite et la
vieillesse arriva à grands pas.
Les longues années de dur
labeur et de solitude l’avaient tellement usée qu’elle tenait
difficilement sur ses jambes qui supportaient de moins en moins le
poids de son maigre corps. Et malgré cela, il fallait encore lutter
pour survivre .
La vie a beau être atroce, elle demeurera éternellement le seul bien dont nul ne voudra jamais se séparer !
L’hiver
est dur dans les montagnes du Djurdjura (Djurdjura, en kabyle Djerdjer,
le massif le plus imposant du nord de l'Algérie) ; les gens y sont
parfois contraints de se cloîtrer chez eux durant les grandes tempêtes.
Aussi y avaient-ils pris l’habitude de s’approvisionner en nourriture
et en bois. Pour ne pas faillir à cette impérieuse tâche, la vieille
femme partit dans la fôret un matin, ramassa du bois et en fit un
énorme fagot. Ce n’était qu’au moment où il fallait soulever le lourd
fardeau qu’elle se rappela qu’elle n’avait plus sa force d’antan.
Elle
voulut rentrer au village et demander de l’aide mais elle se ravisa
aussitôt. N’importe qui l’aurait aidée avec plaisir car, en ces temps
lointains, l’entraide n’était pas un vain mot.
La vérité était
qu’elle n’aimait pas voir quelqu’un accomplir pour elle une besogne qui
aurait incombé à l’un de ses fils si la mort ne les avait pas emportée.
Elle
était à se demander ce qu’il convenait de faire lorsqu’elle vit surgir
de derrière un fourré un formidable lion ! Croyant son heure venue,
elle se mit à psalmodier une prière. Mais il n’en fut rien ; le grand
félin prit entre ses crocs la corde enroulée autour des branchages et
le souleva. L’étonnement atteignit son paroxysme lorsque l’animal,
ainsi chargé, prit le chemin du village sous le regard abasourdi de la
vieille femme qui se mit à la suivre sans vraiment réaliser ce qui se
passe.
Arrivé en vue du village, le lion déposa le tas de bois avant de rebrousser chemin et de disparaître dans la nature. La maison de la vieille femme se trouvait à quelques mètres de l’endroit où le bois était déposé. Heureusement qu’un paysan passa par-là et lui épargna cette pénible tâche,Avant de quitter sa vieille voisine qu’il venait d’aider, l’homme se gratta la tête et fixa d’un regard interrogateur l’énorme tas de branches. Il trouvait bizarre que la vieille esseulée eût pu le ramener de la forêt jusqu’à l’orée du village et ne pouvoir le traîner sur une distance de quelques mètres !
Le lendemain, la vieille femme retourna dans la forêt. Et au moment de soulever le bois qu’elle y avait ramassé, le même lion réapparut pour lui épargner une peine qui était bien au-delà de ses capacités. Et comme la veille, le même paysan passa à l’entrée du village et transporta les branchages de la pauvre femme jusqu’à sa maison.
Cette scène se reproduisit 6 fois. A la 7eme, le lion décida de se cacher derrière un buisson afin de voir comment son « amie » s’y prenait pour emmener les fagots jusque chez elle. Il vit alors apparaître le paysan dont la curiosité était cette fois-là tellement grande qu’il ne pouvait contenir davantage la question qui le taraudait depuis une semaine : -Dis moi, grand-mère, comment fais tu pour ramener ces fagots de la forêt, jusqu’ici et ne pouvoir les traîner ensuite sur quelques mètres ? -C’est très simple ! Je me fais aider par celui dont la gueule pue, répondit la vieille femme. Le lion qui avait tout entendu, retourna dans la forêt, meurtri dans son amour propre.
Le jour se leva et trouva la vieille femme encore dans la forêt, ramassant du bois sec et guettant subrepticement le buisson d’où le grand félin avait désormais l’habitude de surgir. Il apparut en effet, au bout de quelques instants, mais cette fois-là avec un air menaçant. Etant arrivé tout près de l’ingrate, il rugit et lui demanda de se saisir d’une bûche et de le frapper avec son front jusqu’à ce que le sang en jaillisse !
Au début, la vieille refusa de lever la main sur celui qui lui avait allégé la vie plus d’une fois mais elle dut obtempérer lorsqu’elle eut vu pétiller dans ses la flamme de la colère. Elle lui asséna plusieurs coups ; le sang se mit alors à ruisseler et à strier, la face du roi des animaux demeuré impassible.
Tu vois vieille femme, dit-il, je saigne mais ce n’est pas grave. Cette blessure finira bien par se cicatriser et disparaître avec le temps ; je l’oublierai alors. Quant aux paroles offensantes que tu as proférés à mon encontre, elles seront gravées pour toujours dans mon cœur et ma mémoire !!! Ayant dit cela, le lion rugit, sauta sur la vieille femme et la dévora. En effet, on dit dans nos montagnes d’Algérie que les blessures creusent et guérissent. Quant aux insultes elles creusent et creusent toujours d’avantages !!
jijel, setif, bajaia oh non encore elle!!! lol
publié le 25/01/2008 à 13:25
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La semaine est passé telment vite...
publié le 25/01/2008 à 13:07
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Jijel est une préfecture algérienne, chef-lieu de la wilaya de Jijel à l'Est de la Kabylie. Sa population est estimée à 106 003 habitants. Elle est située à environ 400 km à l'est d'Alger.
C'est un port sur la mer Méditerranée, à l'extrémité Est d'une côte à falaises nommée la Corniche kabyle. Elle est adossée au massif montagneux de la Petite Kabylie.
Son nom chez les phéniciens était « Igilgili », ce qui donnera par la suite « Igilgilis » puis « Djidjel » et « Djidjeli ». Selon certaines version le nom originel de la ville viens du berbère « Ighil Gili » qui signifie, la colline de l'exil ou encore « Ighil Ighil » qui voudrait dire de colline en colline.
Histoire : Vers le Xe siècle avant l'ère chrétienne, les Phéniciens, marins et marchands, en quête de bases pouvant offrir le maximum de sécurité à leur commerce, s'installent à Jijel où ils fondent un comptoir.
Au Ve siècle avant J.C. les Romains occupent la petite cité phénico-berbère, qu'ils élevèrent sous Octave en 33, au rang de Colonia Romana, administrée par un sénat, à l'instar des villes romaines importantes.
Arrivant des pays germaniques, les Vandales traversèrent l'Espagne et défilent sur l'Afrique du Nord. Ils détruisent Igigili en 429. Elevée au rang de chef-lieu de Wilaya après de découpage administratif de 1974, la ville de Jijel est érigée en commune en 1860.
Poeme : l'algéroise...
publié le 24/01/2008 à 21:27
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Proverbe algérien...
publié le 24/01/2008 à 17:16
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il est venu lui mettre du khôl, il l'a aveuglé |
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Si tu rencontres ton ami monté sur un bâton, félicite-le pour son cheval |
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Le temps est une lime qui travaille sans bruit |
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Je me plaignais de ne pas avoir de chaussures, je ne me plains plus depuis que j'ai vu celui qui n'avait pas de pieds |
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Qui tue le lion, en mange, Qui ne le tue pas, en est mangé |
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Plutôt rompre que de se plier |
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Si quelqu'un te veux quelque chose, il vient chez toi en pleurant et en réclamant |
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Offrez aux rassasiés de manger davantage |
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Il ne faut pas sous-estimer ses adversaires et plus généralement il ne faut pas se considérer au centre de la terre |
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Un ennemi savant vaut mieux qu'un ami ignorant |
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Tue le lézard, avant qu'il ne devienne serpent |
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Légende de la Casbah.
Dans la Casbah d'Alger, une légende populaire court sur toutes les lèvres. Hommes ou femmes la racontent volontiers, avec seulement quelques différences de nuances .Elle est surprenante, venant d'une civilisation dont la réputation de sévérité n'est pas à faire. A sa manière, elle est aussi remarquablement morale. Deux sœurs, ayant hérité ensemble d'une maison d'Alger, vinrent l'habiter. L'une était connue pour sa vertu . La destinée de l'autre l'avait conduite à devenir courtisane. La plus sage habitait l'étage. La courtisane, le west eddar (patio). Elles partageaient la terrasse avec son minzah (séjour) et la cuisine, qui se trouvait aussi tout en haut de l'escalier. Un soir de Ramadhan, la femme "légère" dépendait le linge sec tandis que la "sérieuse" faisait la cuisine. Elle préparait un tadjin au fumet vraiment étourdissant. Une voisine, pauvre et enceinte, parut au bord de la terrasse, et demanda si l'on pouvait lui donner un peu de braise pour allumer son feu. Fatima, la courtisane, vint vers sa sœur et elle prit du kanoun (foyer)quelques braises, dans une vieille tassa(récipient)à l'étain usé, et la donna à la femme qui partit après avoir remercier les yeux baissées .Le fumet du tadjin se répandait de plus en plus, propre à donner de l'appétit aux plus rassasiés. Une seconde fois, la voisine apparut au muret de séparation des terrasses et dit, d'une voix un peu altérée, que son feu ne voulait pas prendre .Voudrait-on lui accorder encore quelques braises? On les lui donna, dans la même tassa qu'elle avait rapportée, et elle disparut de nouveau dans son escalier. La sage remit des charbons dans le kanoun et éventa le feu pour qu'ils prennent . La mer, en contrebas, était d'un grand calme encore lumineux. L'heure était plutôt lointaine où il serait enfin permis de manger. Mais Sélima, la petite voisine, était dispensée de jeûne puisqu'elle était enceinte. Ainsi pensa Fatima, la courtisane. -As-tu remarqué, dit elle à sa sœur, ses joues creuses? la pauvre ne mange peut être pas tous les jours. Je n'ai entendu personne pousser son portail aujourd'hui pour lui apporter des provisions. -Dieu pourvoira (allah inoub), marmonna la vertueuse. Que je sache, je n'ai pas été spécialement désignée pour subvenir aux besoins des autres. De l'autre côté de la murette, dans l'escalier voisin, Fatima crut entendre un soupir. -Ma part d'héritage si tu donnes à Sélima une portion de tadjin. La vertueuse ne dit rien Elle regarda seulement sa sœur avec surprise. Si celle-ci renonçait à ses droits sur la maison, il n'y avait aucune raison qu'elle y demeurât. Ainsi, la honte de son activité coupable s'effacerait avec sa présence. Elle louerait l'appartement libéré et vivrait de cette location. Comment cette étourdie ne se rendait-elle pas compte de la sottise du marché qu'elle proposait? A ce moment-là , la voisine apparut pour la troisième fois à la frontière des deux terrasses, la tassa vide à la main. Elle n'osait plus demander et regarda Fatima avec des yeux humbles. -Allons, dis aimablement la sœur vertueuse, puisque ton feu est à ce point récalcitrant, je vais plutôt te donner une part de tadjin. Fatima, déjà, s'était levée, et avait pris dans la cuisine un plat qu'elle tendit à sa sœur. Celle-ci le remplit confortablement, la fixant droit dans les yeux. La courtisane donna le plat à la jeune femme enceinte qui lui rendit en échange la veille tassa. -Merci, dit-elle chaleureusement, oh! sahha (merci) je n'ai que vous deux et Allah. Fatima sourit. Sélima s'éloigna pour manger car il faisait clair encore, et elle savait que les deux femmes respectaient le jeûne. Fatima reporta son tranquille regard vers sa sœur. Désormais, elle n'était plus chez elle. Et elle le vit, confirmé inexorablement dans le visage fermé qui lui faisait face. Néanmoins, elle savait qu'elle n'avait tout de même pas à partir sur l'heure. Madame Vertu réclamerait sans doute auparavant que tout fut ratifié clairement chez le cadi. Or il était tard, et cela ne pouvait se faire le soir même. La nuit vint, et le repas fut pris, sans que l'on reparlât de l'incident qui faisait l'une d'elles propriétaire unique. Le lendemain, Fatima, qui pourtant était matinale, ne se levait pas. -Tu regrettes, tu regrettes!..... Pensait sa sœur qui déjà se préparait pour la sortie importante que l'on imagine. Il faudra bien que tu te montres! Or Fatima était aimée, dans le quartier. Et ne l'ayant pas entendu lui dire son bonjour habituel, une autre voisine envoya son garçonnet par la rue, prendre de es nouvelles. Ce fut lui qui remarqua le prodige et se mit à appeler à grands cris. Sous la porte de Fatima (cette grande porte massive à deux battants) coulait un ruisseau d'eau claire et parfumée, qui allait se perdre, quasiment s'évaporer sur le marbre de la On se rassembla, commentant ce surprenant phénomène. Et chacune se mit à appeler alors à la porte, qui, comme chacun sait, ferme de l'intérieur. Aucune réponse . Les femmes se couvrirent et envoyèrent les enfants chercher quelques hommes afin de démonter la porte. Mais à l'étonnement de tous, elle résistait... et l'on n'osait piétiner cette eau parfumée qui ne cessait de chanter doucement sur les dalles hexagonales comme s'il jaillissait de cette chambre, une source magique. La porte, enfin, s'ouvrit d'elle même. Toute grande, repoussant par son mouvement le groupe qui tentait de la manipuler .On vit alors au milieu de la pièce un catafalque dressé, entouré de cierges allumés et recouvert de fleurs .Et tous les parfums de l'Arabie, légers pourtant, formaient l'air même de la pièce. Sous les fleurs, le corps lavé de Fatima reposait. Et l'on voyait, sur l'immobilité de son beau visage, une expression de calme bonheur. On courut chercher un imam afin qu'il dise la prière, puis, on voulut soulever le corps pour l'emmener en terre au cimetière d'EL-qatar . Las! Tous les efforts ne purent le déplacer d'un cheveu. Fatima fut donc enterrée dans sa chambre. On voit encore aujourd'hui sur le sol la marque de sa tombe. Et l'on dit que personne ne voulut depuis habiter cet appartement "L'Eternel fait succéder la nuit au jour et le jour à la nuit. Il connait le fond des cœurs." Coran, LVII, 6. On a souvent tendance à juger les gens, sur leurs apparences mais en réalité ce qui compte au fond c'est la pureté des sentiments. Parfois on se trouve confronté à des choix ou des situations qu'on n'a pas cherchés. Il est facile de juger autrui, de se dire si c'était moi..... Se remettre en question est moins facile. Sincèrement si on se remettait plus souvent en question, si on était moins obtus, les choses évolueraient dans le bon sens. Dieu tout puissant pardonne, pas l'être humain, ça porte à réfléchir. On a encore du chemin à faire et la route de la tolérance est semée d'embûches...
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En pricipe le drapeau kabyle se costitue de trois couleurs qui sont: le vert: qui symbolise la verdure et la nature de la region kabyle. le jaune c'est la couleur de la fleur la plus repandur dans la region qui s'appelle en kabyle "ouzzou" qui vient du nom de capitale culturelle tizi ouzou . le ROUGE qui il ne faut jamais oublier qui symbolise le sang de tout ceux qui sont mort pour une cause bien connue. et le bleu il symbolise la mer qui entoure la kabylie
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alors voici, l'ALGERIE, la Kabylie est une region algerienne, situee
dans les montagnes, rapide presentation de l'Algerie :
Capital : Alger Monnaie : Dinar Algerien Langue officielle : arabe Religion dominante : Islam Chef de l'Etat : Abdelaziz Bouteflika Population : environ 30M d'habitants Fetes Nationales : 1er Novembre (anniversaire de la revolution de 1954) et 5juillet (anniversaire de l'indepandance du pays, en 1962) Principales villes : Alger, Oran, Annaba, Constantine, Hussein Dey... Drapeau : apparu lors d'une manifestation antifrancaise en 1925 et adopte officiellement en 1962, il porte le vert et les astres de l'Islam, le rouge du socialisme et le blanc de la purete. Hymne nationale : Qassaman Qassaman bi n-nazilat al mahiqat wa d-dima'i az-zakiyati at-tahirat wa l-bunud al-lami'at al-khafiqat fi l-djibal ach-chamikhati ch-chahiqat Nahnu thurna fa hayat aw mamat wa aqadna al-azm an tahya al-djaza'ir fa achhadu, achhadu, achhadu... Traduction : Par les foudres qui aneantissent par les flots de sang pur et sans tache par les drapeaux eclatants qui flottent sur des hauts djebels orgueilleux et fiers nous jurons nous etre revoltes pour vivre et pour mourir et nous avons jure de mourir pour que vive l'Algerie Temoignez , temoignez, temoignez.. Paroles: Mufdi Zakariyya Musique : Muhammad Fawzi
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